aéronautique militaire

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SOMMAIRE L’Historique de l’aviation militaire. La classification…. 4 Page 5 Carmement dans l’aviation militaire…. aéronautique militaire Premium By Geottrcy-l_e Grin (beepanR 05, 2015 18 pages professeur de Technologie M. PINEAU 8 p g La vitesse du . … Page . page 2 page 7 première fois, le premier vol motorisé et dirigé d’une machine. Il s’agissait du Flyer. Orville Wright était aux commandes de l’appareil et réussira à faire voler cet avion sur une hauteur de 36 mètres.

Trois autres vols suivirent, le dernier étant le plus performant avec une distance couverte de 260 mètres. Ces vols urent lieu sans témoin et le monde ne fut pas informé qu’un homme avait réussi à voler dans une machine plus lourde que l’air. (LE FLYER DES FRERES WRIGHT) Cest seulement trois ans plus tard, le 23 octobre 1906, que le monde réalisa qu’un « plus lourd que l’air » pouvait voler. Le 10 novembre 1907, Henry Farman est le premier au monde à réaliser un vol de plus d’une minute. Le même pilote (avec le même avion) parcourut le premier kilomètre en vol le 13 janvier 1908.

Ces deux performances permirent à Henry Fannan d’obtenir les 50 000 francs français, du Grand Prix d Aviation Deutsch/ Archdeacon. Mais de grands changements se préparaient… (LE BLERIOT XI) Le 25 juillet 1909, le Français Louis Blériot, à bord de son  » Blériot XI l’, équipé d’un moteur de 25 chevaux, réussit à traverser la Manche en 37 minutes. Cest un véritable exploit. Les recherches se poursuivent dans le sens de voler non seulement plus vite, mais également plus haut, car à ce moment, les avions volent à une vitesse moyenne de 66 km/h et n’atteignent pas encore les 1 .

OOO m d’altitude. Au cours de la guerre 1914-1918, l’Allemagne produira 48. 537 avions, la France 51. 040 aéronefs. D’autres pays à l’instar des Etats-Unis, la Grande Bret vont également produire 2 OF l’Italie, vont également produire de nombreux avions qui participeront aux différentes batailles. TROUVER LA MACHINE DE GUERRE DEALE Lorsque la guerre s’achève le 11 novembre 191 8, toutes les nations qui y ont pris part, ont pris conscience des énormes possibilités de l’aviation militaire.

A partir de 1931, le caractère aventureux de l’aviation va progressivement céder la place à une certaine routine : l’explorateur est remplacé par le commandant de bord ; l’imprévu par le respect de l’horaire. Mais c’est durant la seconde guerre ondiale que l’aviation militaire prend son essor. On assiste ? cette époque à la naissance d’appareils de légende tel que le Supermarine Spitfire, le Messerschmitt BF 109, le Mitsubishi A6M et le Hawker Hurricane. SUPERMARINE SPITFIRE) Suite à cette seconde guerre mondiale, les hélices vont faire place aux réacteurs et de nouveaux engins apparaitront. Les avions de chasse prendront une place importante dans l’aventure de l’aviation militaire tout comme les plus récents « Drones servant principalement dans l’espionnage et la reconnaissance aérienne. (DRONE) LA CLASSIFICATION Dans l’aviation militaire, on classe les appareils en différentes catégories, selon leurs missions.

La première famille est celle des avions de combat : – les avions de chasse, et d’interception ; (Spitfire, Messerschmitt, – les avions d’attaque au s 2C Goshawa 3 OF bombardement tactique ou stratégique (Douglas 8-23 Dragon, (Curtiss BF2C Goshawk) La seconde famille est celle des avions de soutien : – les avions de reconnaissance, de patrouille maritime, et de surveillance ; (Mitsubishi Ki-15, AD Navyplane, – les avions de transports de troupe, de matériels ; (Consolidated C-87 Liberator Express, Consolidated C-87 Liberator Express) – les avions de largage de parachutistes ; (Halifax 8-111, – les avions d’école, d’entrainement ; (CASA C-IOI Aviojet, – les avions de ravitaillement en vol (Airspeed AS. 10 Oxford, Certain avions militaire encore, sont multitâches. Cest notamment le cas du McDonnell Douglas F-1 5 Eagle qui servait dans l’armée américaine en guise d’avion de chasse. ne nouvelle version de l’appareil sera mise au point plus tard : le F-15E Strike Eagle. LA VITESSE DU SON Depuis l’arrêt du Concorde, un avion de ligne supersonique, en 2003, seuls des avions militaires atteignent des vitesses upersoniques. Les vitesses atteintes vers la fin de la Seconde Guerre mondiale par les appareils à hélices, surtout en piqué, avaient mis en lumière des hénomènes nouveaux : vibrations, durcissement des comma léments. Les ingénieurs l’air lui-même. L’expression « Mur du son » est due à un ingénieur britannique des années 40, W. F. Hilton, qui se demandait si un avion ne pourrait jamais passer la vitesse du son. Lorsque les premiers avions approchaient la vitesse du son, à environ 1. 00 km/h, les vibrations devenaient telles que le pilote perdait parfois le ontrôle de son appareil et celui-ci pouvait même se disloquer en plein vol. Avec Faugmentation de la vitesse la compression de l’air forme des ondes de choc qui martèlent littéralement la structure de l’appareil. Des douzaines de pilotes ont d’ailleurs perdu la VIe en tentant de franchir le fameux mur du son. À cette époque, dépasser la vitesse du son semblait assez problématique et l’expression mur du son » est passée dans le vocabulaire courant. Le 14 octobre 1947, le pilote américain Chuck Yeager réussira finalement à dépasser la vitesse du son à bord de l’avion expérimental X-l. L’ère du vol supersonique venait de sonner. Les dates importantes : mur du son 14 octobre 1947 : Chuck Yeagerfut le 1er à franchir la barrière sonique en volant à bord du X-l à 1. 066 km/h au-dessus du lac asséché de Rogers dans le sud de la Californie, à 12. 000 mètres d’altitude. 26 avril 1948 : le North Américan XP-86 Sabre vola à la vitesse du son. Février 1950 : le MiG-17 passa Mach 1 en vol horizontal. 12 décembre 1 953 : Chuck Yeager atteignit Mach 2,44 sur Bell X-l A. 4 février 1953 : Constantin s OF le premier pilote d’essai Sabre fut le 1er chasseur supersonique de série. Fin 1953 : le Douglas Sky Rocket qui atteignit Mach 2,005. 27 octobre 1956 : Bell reprit la formule sur le X-2 et atteignit la vitesse de Mach 3,2.

En 1956 : le Fairey Delta 2, avion expérimental britannique ? voilure Delta, propulsé par un moteur à réaction ordinaire, prouva qu’un appareil correctement conçu pouvait franchir le mur du son sans ressentir les effets des ondes de choc. 3 octobre 1967 : le prototype expérimental d’avion fusée le North American X-15 piloté par William J. Knight, largué d’un Boeing 8-52 Stratofortress, puis propulsé par des fusées de 26. 000 kg de oussée, atteignit 7. 290 km/h à 3. 100 m d’altitude. Polémique Un ancien pilote allemand de la Luftwaffe, Hans Guido Mutke, affirme avoir été le premier à franchir le mur du son en 1945, deux ans avant le célèbre pilote d’essais américain Chuck Yeager.

En 1945, Mutke était en phase d’écolage sur le célèbre chasseur à réaction Messerschmitt 262. Le 9 avril, il effectuait un vol d’entraînement à une altitude de 12. 000 mètres quand un Mustang attaqua un Me-262 de son escadrille. Mutke entama une descente en piqué, pleins gaz, et fondit sur l’Américain pour défendre son coéquipier. A ce moment, son Me-262 se mit ? vibrer violemment et les commandes cessèrent de répondre. Après ce piqué fou, Mutke réussit néanmoins à reprendre le contrôle de l’appareil. Mais plusieurs instruments de bord avaient été endommagés et l’indicateur de vitesse était, lui, resté bloqué à 1. 100 km/h. OF mitrailleuse Les mitrailleuses sont l’un des premiers équipements militaires adapté sur les aéronefs, dès le début de la Première Guerre mondiale, avec pour objectif d’abattre les aéronefs ennemis, mais aussi mitrailler les troupes au sol, les véhicules et les installations ennemies. Cet armement est généralement fixé dans ou sur le nez de l’appareil, dans ou sous les ailes, ou en sabords. L’évolution technologique s’oriente sur une augmentation de la fréquence de tir, du calibre et du nombre d’armes montée sur les appareils. Les munitions sont également améliorées, dans leur composition, le choix des matériaux et de la poudre utilisée. Au cours de la Seconde Guerre mondiale plusieurs combinaisons de ces facteurs sont utilisées. Les avions américains misent souvent sur l’augmentation du nombre de mitrailleuses pour augmenter la capacité de destruction de leurs appareils.

Les Allemands, faisant face à une augmentation du blindage des appareils et véhicules ennemis, privilégient l’augmentation du calibre, évolution qui conduit à la création de petits canons automatiques. L’augmentation de la fréquence de tir présente le problème de l’échauffement du tube, et des systèmes multitubes sont développés par les Américains depuis le XIXe siècle, sur le principe de la Gatling. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des systèmes automatiques sont développés, par récupérations des gaz dans le canon. Parallèlement, l’amélioration de la qualité des atériaux, la complexité des systèmes multitube et leur poids conduit au quasi abandon des systèmes multitubes pendant la Seconde Guerre mondiale. Mitrailleuse LMG 14 Parabellum lacée à l’arrière d’un avion de reconnaissance allemand Guerre mo IU Parabellum placée à l’arrière d’un avion de reconnaissance allemand de la Première Guerre mondiale) es obus utilisés subirent également des améliorations dans leur conception, au niveau de la charge, de la mise à feu et du type de tête. Les ogives se répartissent principalement en 5 types : explosives, incendiaires, à fragmentation, perforantes et raçantes. L’augmentation du calibre permit l’ajout d’une charge explosive dans la tête de l’ogive, efficace contre les véhicules et aéronefs légèrement blindés. Les ogives incendiaires servent à générer un incendie sur la cible, particulièrement efficaces sur les structures en bois ou lors d’un impact sur un réservoir de carburant.

Les obus à fragmentation visent à augmenter les dégâts à l’impact en facilitant l’explosion du projectile ou en y incorporant de petites billes dans un matériau plus solide. Les ogives perforantes peuvent être des têtes contenant des matériaux de masse élevée, omme de l’uranium appauvri, possédant de meilleures capacités de pénétration du blindage. Certaines munitions sont à charge creuse, contenant un explosif dont la forme spécifique sert ? projeter un jet de métal en fusion qui perfore le blindage de la cible. Les munitions traceuses dégagent un effet pyrotechnique qui illumine l’ogive sur son trajet vers la cible, permettant une aide visuelle au tireur.

Certaines munitions sont spécifiquement destinées à un usage air-sol, et une même salve de canon contient généralement un mélange de différents types de munitions, dans des proportions variables. Des munitions ont également été développées pour répondre à plusieurs caractéristi ues en même temps, par exemple pour être à la foi et explosives, ou expl BOF caractéristiques en même temps, par exemple pour être à la fois incendiaires et explosives, ou explosives et perforantes. Ces caractéristiques sont obtenues grâce à une architecture interne en compartiments spécifiques, par exemple un liquide incendiaire à l’avant de l’ogive, et un explosif à l’arrière. Chasseur-bombardier Republic p-47 Thunderbolt et ses huit mitrailleuses lourdes Browning M2) Après la Seconde Guerre mondiale, le développement des oteurs à réaction conduit à une augmentation très forte de la vitesse des avions, réduisant le temps alloué pour viser et tirer au canon. Parallèlement l’apparition des missiles conduit à des tentatives d’abandon du canon, comme sur le F-4 Phantom, mais ces tentatives s’avèrent des échecs sur le terrain, et le canon reste depuis un armement de série pour les avions et hélicoptères de combat. Plusieurs améliorations sont réalisées, notamment dans les systèmes de refroidissement et de chargement. Quelques systèmes reprenant le principe de la Gatling sont développés ar les Américains et l’Union soviétique, comme le canon MSI Vulcan ou le GAU-8 Avenger qui équipe l’A-10 Thunderbolt.

Dans l’armée américaine, ils composent l’armement principal des gunships comme l’AC 130 sur lequel ils sont montés en sabords. Des versions de calibre plus petit ont donné naissance au minigun équipant de nombreux véhicules et aéronefs, dont notamment les hélicoptères. Les canons automatiques équipant les avions de construction européenne sont généralement monotubes. Le principe du canon revolver utilise un s stème de barillet rotatif, comme sur le Mauser BK- Panavia Tornado, l’Alpha 8 le Panavia Tornado, l’Alpha Jet, le JAS 39 Gripen, et l’Eurofighter Typhoon. Le type chain gun est monotube et à un seul barillet, comme sur le Hughes M230 Chain Gun équipant l’Apache.

Pour augmenter la puissance de feu des appareils, des canons ont été montés en pads fixés généralement sous les ailes, notamment sur les premiers gunships, et sur certains F-4 Phantom pendant la guerre du Viêt Nam pour pallier un temps à leur absence de canon. Ces pods sont également disponibles pour les hélicoptères, comme le Mil Mi-24 par exemple. La Bombe Les bombes (aériennes) ont été développées dès la Première Guerre mondiale, avec déjà des « bombardiers lourds » mis en service par les forces allemandes en 1917 (Zeppelin Staaken R. VII), mais les bombes n’ont massivement été utilisées qu’? partir de la Seconde Guerre mondiale. Les militaires utilisent en général des bombes larguées depuis un avion. Les bombes sont le principal armement air-sol depuis les origines de l’aviation militaire.

Les bombardiers sont spécifiquement développés en tant que vecteurs de ces armes, mais la plupart des avions disposent de capacités d’emport de cet armement. our augmenter leur capacité de destruction, plusieurs facteurs sont développés : leur poids et le type d’explosif utilisé, la capacité d’emport des bombardiers, et la précision. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les bombardiers deviennent de plus en plus gros, et volent de plus en plus haut. Les bombardements stratégiques de haute altitude requièrent le largage d’une grande quantité de bombes pour espérer la destruction de l’objectif, du fait de la faible précision. Les chasseurs-bombardiers, et les avions d’attaque au sol en piqué emportent un nombre limité d 0 8