Acc S Aux Ressources V G Tales En Forets
Laigle Alexis Delattre Julien Collombier Paul Groupe 2 Mme Hinnewinkel Accès aux ressources végéta es en forets. or 19 Sni* to View Figure 1 Souches d’a Les forêts sont des écosystèmes très complexes mais elles ont une importance écologique considérable. Les écosystèmes forestiers sont parmi les plus robustes et complexes du monde vivant malgré leurs exploitations par IHomme. Ces écosystèmes recouvrent environ 30% de la surface des terres émergés.
Mais au-delà de leurs complexités, elles sont un besoin majeur pour les societés humaines. La forêt, en occident, était vue comme un ndroit de retour aux sources. Pendant des siècles, elle était la source de bienfaits (comme le bois pour se chauffer ou la faune pour se nourrir) mais aussi un lieu craint par l’homme pour ses dangers. Les foret ont été des endroits peu accessibles, mais aussi sacrés, chanté, vénéré, représenté… L’histoire des sociétés occidentales démontre un changement de vision de la forêt avec sociétés humaines ?
La forêt a-t-elle un rôle fondamental dans l’évolution du monde de demain ? pour commencer, nous verrons que le rapport à la forêt a évolué dans le temps dans lequel on donnera une définition de la essource végétale et on regardera la manière dont la forêt est vu aujourd’hui. Ensuite, nous détaillerons comment la ressource végétale forestière a pris part dans l’évolution des hommes avec les intérêts et les enjeux de la forêt mais aussi les mesures prises pour tenter de contrer la déforestation massive.
Pour enchainer, sur l’impact de ce phénomène qu’est la déforestation sur Penvironnement et les populations en se concentrant sur le XXe et XIXe siècles. pour finir, nous étudierons les écosystèmes forestiers et leurs importances pour la vie sur Terre avec ‘ampleur de la déforestation et de la disparition des espèces liées à la déforestation. Plan : l) Le rapport de la forêt qui a évolué au cours du temps. 1 ) Quelle définition de la ressource végétale aujourd’hui ? 2) Comment la forêt est-elle vue aujourd’hui ? n besoin matériel ou immatériel ? Il) La ressource végétale dans la mondialisation : vu par l’occident et les pays développés. 1) Les intérêts et les enjeux de la forêt (économiques, politiques, environnementaux). 2) La lutte contre la déforestation (Chartre des Nations-unies). Ill) Le déboisement, un phénomène ui a un impact sur ‘environnement et les po PAGF lg écosystèmes forestiers, éléments importants pour la vie sur Terre. 1 ) Ampleur de la déforestation. 2) Disparition de la faune et de la flore terrestre. ) Le rapport de la forêt qui a évolué au cours du temps 1) Quelle définition de la ressource végétale aujourd’hui ? Pour définir la notion de ressource végétale, il faut d’abord définir le terme de végétation. Celui-ci représente l’ensemble des végétaux dans un lieu donné, qui n’est pas figée dans le temps, qui évolue en permanence. Quant à elle la ressource est selon Levy et Lusso une réalité ntrant dans un processus de production et incorporer dans le résultat final de cette production; ce qui signifie qu’elle sert avant tout de support.
Le terme de ressource naturelle a véritablement vu le jour dans les années 1970 et c’est à cette époque qu’on a cherché et commencer à la définir comme un élément de la nature qui va entrer dans un processus de production. Dans les années 90, on va encore approfondir la notlon de ressource naturelle, Constanza va introduire le concept de service écosystémique. On introduit une vision plus utilitaire de la nature. Les termes de ressource naturelle et de ressource végétale se rejoignent, la ressource naturelle vue ici avant tout comme écologique.
Il existe différentes dimensions de la ressource végétale: celle- ci assure avant tout une fonction écologique mais elle s’inscrit également aujourd’hui dans un service écosystémiques, faisant partie d’un tout. Enfin il existe également une dimension beaucoup plus sociale de la ressource végétale, c’est un bien véritablement approprié par l’homme. 2) Comment la forêt est-elle vue a végétale, c’est un bien véritablement approprié par l’homme. Le terme de fonction écologique donne une vision mécaniste de la nature, comme si celle-ci poursuivait un but.
Alors qu’un service écosystémique est un bénéfice qui peut être direct ou indirect, qu’on retire d’un processus biologique. Il existe une relation étroite entre un service écosystémique et la fonction écologique, l’un dépend de l’autre. On va distinguer des biens matériels de biens immatériels selon leur utilisation (de production, de consommation et intermédiaire). Il va y avoir également différents modes d’appropriation de cette ressource végétale. Cette appropriation peut être concrète (règles d’accès, pratiques) ou idéelle (les représentations qu’on en fait).
Appropriation concrète : La forêt va pouvoir être privatisée ou non, son accès pourra être restreint ou non Appropriation idéelle: Il y a trois grandes catégories de représentation de la nature: Anthropocentrées cela veut dire que l’homme va utiliser la nature, c’est elle qui va tourner autour de lui. Biocentrées: la nature va être «sacralisée», on va respecter la nature, c’est l’homme qui va s’adapter à la nature. Ecocentrées: c’est avoir une vision plus pragmatique de la nature, espect des grands principes de la vie, maintien des milieux naturels.
La ressource végétale en forêt est aujourd’hui de plus en plus rare, contrôlée et même de plus en plus artificielle aujourd’hui, faites de la main de l’homme. Il) La ressource végétale dans la mondialisation : vu par l’occldent La ressource végétale dans la mondialisation : vu par l’occident et les pays développés. Avec les grandes découvertes, les européennes explorent de nouvelles terres dont les richesses offertes par le monde végétal tropical. Encore méconnu, ce monde révèle des ichesses infiniment plus nombreuses et prometteuse pour les conquistadors.
Le développement de nouvelles espèces permet l’aclimatisation de ces espèces (pomme de terre, pour les planter en métropole. Mais à cette période, le commerce triangulaire se met en place et permet l’échange entre les continents. Dans chaque empire se tisse alors un réseau qui envisage la plantation sur place ou l’aclimatisation des espèces en métropole ou autre. La plupart des jardins qui regroupes toutes ces espèces végétales se trouve en zone tropical pour le climat qui reste loin des usines et de la pollution.
La ressource végétale structure l’espace, prenons l’exemple de l’archipel brésilien où la mise en valeur de chaque ile régionale à reposer sur l’exploitation d’un produit en particulier. En 1960, la dictature brésilienne a décidé de relancer la production de cannes à sucres et de biocarburants qui a eu des conséquences dramatiques sur le développement social et environnemental. De plus les forces de ce monde n’ont pas hésité à faire la guerre pour contrôler l’exploration de ressources végétales. Le commerce de l’opium avec la guerre de chine au XIXe siècle avec es anglais ou plus récent en Afghanistan depuis trente ans.
Il existe des conflits pour le contrôle des réglons pétrolières. PAGF s OF lg Afghanistan depuis trente ans. Il existe des conflits pour le contrôle des régions pétrolières. Depuis le XXe siècle et le début de la mondialisation, les grandes forces économques ont un fort intérêt pour la végétation car c’est elle qui a modifié la structure du monde. En effet, la végétation est un besoin vital pour l’homme et son développement. Avec la formation du capitalisme, le monde a vu la création de centaine de circuits économiques fondés sur es productions végétales.
En effet, aujourd’hui un grand nombre de nos dorés alimentaires suivent un « court » à la bourse qui en déduit son prix. Figure 2 Lieu d’exploitation du bols Alors depuis la nuit des temps, les forêts subissent de grands changements et subissent les politiques des différentes époques et d’exploitation. Elles sont sources de richesses et permet le développement de l’homme et son environnement. Face à l’ampleur du phénomène qu’est la déforestation les Nations-Unies ont décidé de créer une chartre dans lequel on y trouve des articles pour préserver les forêts du monde.
Il faut savoir que la déforestation est responsable de la disparition de plus de 13 millions d’hectares de forêts par an. De plus, si on maintient le rythme de la déforestation dans 45 ans, il y aura plus assez de surfaces forestières pour satisfaire la demande. cette chartre, écrite le 12 août 1992, a pour titre : « DÉCLARATION DE PRINCIPES, NON JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE MAIS FAISANT AUTORITE, POUR UN CONSENSUS MONDIAL SUR LA GESTION, LA CONSERVATION ET ‘EXPLOITATION ECOLOGIQUEMENTVIABLE DE TOUS LES TYPES D MONDIAL SUR LA GESTION, LA CONSERVATION ET L’EXPLOITATION ECOLOGIQUEMENTVIABLE DE TOUS LES TYPES
DE FORÊTS Tout d’abord, on remarque que ce texte est un enchainement de principe que les états doivent suivre mais sans être punis si il ne le respect pas. Donc, on y voit une première limite dans cette charte qui a très peu de pouvoir sur la gestion des forêts des états. Elle est composée d’un préambule de huit paragraphe dont le septième met en avant le rôle des forêts : « Les forêts sont indispensables au développement économique et à l’entretien de toutes les formes de vie. » qui démontre bien l’importance des forets dans le monde.
Mais le préambule rappel aussi la définition es forêts et incorpore avec tous les élements qui touche de près ou de loin à la forêt. Le texte définis au final ce qu’est l’écosystème forestier. Ensuite, on y trouve quinze paragraphes qui détails les différents principes ou éléments qui citent tous les moyens qu’un état devrais mettre en place pour la gestion et le contrôle des écosystèmes forestier sur son territoire. Le premier article donne le droit souverain aux états dans la gestion de leurs forêts mais que l’utilisation de cette ressource ne cause pas de dommage ? l’environnement.
Il dit aussi que la gestlon des forêts doit se faire vec une coopération internationale. Le deuxième article est tout aussi important, car il demande aux états de gérer leurs ressources forestières selon leur besoin pour leur développement mais aussi à leur niveau de développement économique et social. Par le biais de l’utilisation des terres dans le cadre du rationnel et non dans la surexplotation. cet le biais de Putilisation des terres dans le cadre du rationnel et non dans la surexploitation.
Cette charte rappel aussi le rôle vital des écosystèmes forestiers pour l’environnement avec le maintiens de l’équilibre écologiques ? toutes les échelles (locale, régionale et mondiale). Seulement, depuis cette charte de principes, l’ONU n’as pas sortie de nouveaux textes qui ferai avancer la lutte contre la déforestation. Donc les états ne sont pas punis pour leurs excès et leur surexploitation des forêts. III) Le déboisement, un phénomène qui a un impact sur l’environnement et les populations. 1) XXe et XIXe siècles : un tournant dans la gestion des forêts.
Depuis le XXe siècle, on assiste à un recul très important du couvert forestier, en effet les forêts primaires qui forment plus du tiers des forêts dans le monde ont perdu plus de 40 illions d’hectares en l’espace de 10 ans, ce qui correspond ? de diminution par an. La situation devient de plus en plus préoccupante, notamment pour les générations futures; le terme de développement durable prend encore plus son sens aujourd’hui. Tout cela est dû à différents facteurs qui se cumulent comme l’exploitation du bois, le défrichement, la désertification, les incendies…
Le rythme d’apparition de nouvelles forêts est beaucoup moins important que celui de la déforestation: 5 millions d’hectares contre 13 millions. De plus les forêts dites «naturelles» sont de moins en moins importantes alors que les orêts dites «artificielles» sont en constante progression. Les régions du monde les plus touchées par cette régression du couvert forestier restent quand même l’Amériqu du monde les plus touchées par cette régression du couvert forestier restent quand même l’Amérique du Sud et l’Afrique qui sont les plus surexploitées alors que dans le même temps les bolsements au Nord sont en tram de progresser.
Cela est dû tout d’abord au fait que ce sont souvent des forêts étendues riches en espèces résineuses et feuillus qui sont aménagées et «traitées rationnellement» mais c’est lier aussi et surtout au recul es activités agricoles et pastorales dans un certain nombre de régions de montagne notamment. L’Europe est la seule région du monde qui a continué de croître entre 1990 et 2010. Malgré ça les forêts boréales en Russie subissent des coupes très importantes et au Canada les incendies de forêts sont importants.
On assiste également depuis le XIXe siècle à une accélération des extinctions d’espèces végétales sous l’effet de différentes causes humaines ou non, qui vont être peu à peu remplacées par la diversification d’autres lignées végétales. ) L’emprise de l’homme sur son milieu. L’homme, depuis le Néolithique, est devenu un puissant agent environnemental qui a des répercussions plus ou moins importantes sur les couverts végétaux qui l’entoure.
L’anthropisation du milieu est un phénomène important, qui a profondément modifié la nature et la structure de la végétation depuis plusieurs siècles déjà. Les actions humaines engendrent aujourd’hui de plus en plus un appauvrissement, une dégradation et de plus en plus une destruction des écosystèmes qui nous entourent. L’emprise de l’homme est aujourd’hui beaucoup trop orte mais cela n’est pas tout récent, l’emprise de l’homme a commencé à s aujourd’hui beaucoup trop forte mais cela n’est pas tout récent, l’emprise de l’homme a commencé à se faire ressentir depuis l’Age de Fer.
En effet c’est à cette époque que l’anthropisation, l’action de l’homme s’est accélérée. Prenons l’exemple du Midi Méditerranéen Français et de ses marges, à ce moment l’agro-pastoralisme dominait avec l’essor dans le même temps de nouvelles céréales et de la vigne cultivée. Cest aussi à cette époque qu’ont lieu les premiers défrichements pour l’installation de pâturages. La dynamique «anthropique» est donc déjà importante à cette époque.
Au XIIème siècle, la polyculture règne avec la présence de blé, vigne, seigle, arbres fruitiers; puis au XIV-XVème siècle on assiste à un arrêt des débolsements et à la reconstitutlon des espaces boisés. Au XVIème siècle et jusqu’au XIXème, avec l’essor démographique et économique, on assiste à une nouvelle vague de défrichements qui vont avoir un impact important sur les garrigues et les forêts montagnardes. Au XIXème siècle, c’est la prise de conscience du rôle utile des forêts et on assiste peu ? eu à un travail de reconquête des espaces boisés.
Durant cette période, l’anthropisation se traduit alors par une progression des formations ligneuses. On peut donc dire que les mutations du paysage dans le Midi Méditerranéen et ses marges ont été importantes mais sans l’intervention de l’homme, la couverture végétale aurait sans doute était encore plus importante. ‘homme a eu une véritable influence sur les modifications de la couverture végétale en Méditerranée et on peut dire que l’action anthropique ayant était dominante dans cette région, I