mbkinfo

essay A+

République Algérienne Démocratique et Populaire Minstère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Universite Africaine Ahmed Draia – Adrar Faculté des Sciences et Technologie Département d’informatique Mémoire de fin d’étu Présenté pour fobte p g Mastre Il Presenté par Thème : BAKKI Mohamed partage P d’un soluté entre deux phases se traduit par le rapport des concentrations du soluté dans les deux phases.

Dans ce travail on propose une nouvelle méthode de calcul théorique pour la détermination de coefficient de partage (octanol/ eau d’une série des composés organiques à partir d’un certain ombre des paramètres caractéristique des solvants et du soluté. Les valeurs de P calculées par la méthode proposée sont comparées avec celles obtenus par les méthodes expérimentales. La moyenne de l’erreur absolue est de l’ordre de O. 10 et la moyenne de l’erreur relative est 12%.

Introduction générale L’estimation du rendement de l’extraction liquide-liquide d’un composé chimique, ainsi que la prévision de la valeur de son taux de partage entre les phases présentes dans le mélange, sont les facteurs les plus déterminant de Fopération d’extraction, ces entités varient en fonction de plusieurs paramètres otamment, les volumes des deux phases, la nature du milieu et celle du constituant à extraire, les concentrations des différents composés présents en solution ainsi que les coefficients de partage de la substance à extraire entre les deux phases.

Les relations exprimant ces entités sont purement théoriques[l]. Pour une extraction réactive les paramètres les plus influençant sur le coefficient de partage sont la concentration en ligands pour les complexes, et le pH pour les acides et les bases[21. Ces relations deviennent de plus en plus longues et compliquées au fur et à mesure de l’augmentation du nombre de constituants en olution, ou si ceux-ci 2 OF s compliquées au fur et à mesure de l’augmentation du nombre de constituants en solution, ou si ceux-ci réagissent avec les solvants.

Chapitre : Intitulé du chapitre -1 -Définition de coefficient de partage logp Le coefficient de partage octanol/eau (P), généralement exprimé en logP, d’une substance A est défini comme étant le rapport de la concentration en équilibre de la substance A dans la phase d’octanol et celle dans la phase aqueuse. Les concentrations sont exprimées en termes de masse ou de moles de produit chimique par volume unitaire de liquide. ncentration de la substance A dans la phase octanol : concentration la substance A dans la phase aqueuse Le coefficient de partage octanol/eau logP est le paramètre physico-chimique le plus facile à mesurer au laboratoire et utilisé pour caractériser quantitativement la nature hydrophobe des composées organiques. Il est l’indicateur majeur concernant le partage entre l’eau et la matière organique.

Le tableau 1-1 montre la contribution des fragmentations dans le calcul de logP. Atom type Atom type in xlogP Contribution 2. 269 2 CH3 2X0. 484 RNH 64 -0. 212 R3CH 3 OF s Les valeurs calculées de logP sont comparées avec les valeurs xpérimentales, la corrélation entre les valeurs expérimentales et les valeurs calculées est représenté dans la figure 1-1 .

Figure 1-1 Corrélation entre logP expérimental et logP calculé Conclusion générale La méthode de calcul de logP proposée dans ce modeste travail, est d’importance cruciale, en effet, en plus des paramètres relatifs à l’opération d’extraction liquide-liquide qu’on peut calculer par la méthode proposée, à savoir rendements et taux de partage, et d’étudier leurs variations en fonction d’entités les plus influents sur l’opération d’extraction, la méthode permet aussi de prédite t de calculer d’autres paramètres tel que PL ( pH ), quantités des produits après extraction dans les deux phases, … tc. C’est donc un outil qui permet de prédire le coefficient de partage avec une grande précision donc éviter des essais erreurs en paillasse, et de prédire le sort de ces opérations c’est-à-dire possibilité ou impossibilité de réalisation pratique, et ce, dans les conditions opératoires choisies. D’après les exemples des cas étudiés, on peut dire que les résultats des valeurs de logp calculées à l’aide de la méthode proposée sont très proches des valeurs expérimentales.

D’autre part, la méthode semble être un bon outil pour prédire le logP de certaines composés organométalliques de taille raisonnable, comportant moins de 20 atomes de carbones. Références bibliographiques Toutes les références bibliographiques citées dans le texte doivent figurer dans cette section. Les références bi 4 OF S références bibliographiques citées dans le texte doivent figurer dans cette section.

Les références bibliographiques citées dans le texte doivent être signalées par un numéro entre crochets. Dans la bibliographie, les références seront classées par ordre roissant, conformément aux exemples ci-après. Livres Les initiales des prénoms d’auteurs suivis des noms, l’année d’édition, le titre de l’ouvrage, l’éditeur, le lieu d’édition, les pages de la citation. Ex : G. Charlot (1983), les réactions en solution aqueuse, Masson, Paris, p. 43 Thèses et mémoires Les initiales du prénom d’auteur suivi de nom, l’année, le titre, l’intitulé du diplôme, établissement universitaire, les pages de la citation. Ex : N. Arbaoui (2004). Effet du gradient de température sur la corrosion des concentriques, Mémoire de Magister, Université de Ouargla, p. 67. Article de journal ou de revue Les initiales des prénoms d’auteurs suivis des noms, le titre du périodique, le volume, le numéro (s’il ya lieu), la première page de l’article, l’année de parution de l’article, Ex: T.

Canez, L. Bechki, and M. Saidi,J. Soc. Ag. Chim. 13, NO 2, 251 (2003). Site internet Nom du cite, date de consultation Ex : http://wem. gfev. univ-tln. fr/ternaire/extraction. htm, 21 juin 2007 Rapport Les initiales des prénoms d’auteurs suivis des noms, le titre du rapport, le numéro du rapport, l’année d’édition, l’année d’édition. Ex : H. Naoui, corrosivité d 12/9. 1017, CRD S OF s