Mac donald
Inspiré par l’exemple du succès e la chaîne au canard, il sera le premier restaurateur américain à tenter l’expérience d’implanter une chaîne de restauration américaine en réussie. Aujourd’hui incommodons moussu est pris en exemple dans les Universités du monde entier pour la réussite stratégique qu’il évoque. Mais il a fallut passer par bien des étapes avant d’en arriver à ce succès. Un des plus grand challenge pour égorge canon, fut, non pas de susciter la demande, mais de créer son propre marché. En effet, contrairement à toute attente le premier problème rencontré ne fut pas de convaincre la population
premier boy poupin horripila 11, 2009 40 pages économiques et polo tiques, les complexités de venir manger dans un faste-foot américain mais tout simplement de trouver des fournisseurs. Bien d’autres problèmes structurels et organisations ont ralenti le développement de la chaîne et l’ouverture de son premier en faveur de son implantation. incommodons a donc eu recours à la mise en place d’une joint aventure pour surmonter une partie de ces problèmes. Ce choix a été fait pour permettre une meilleure compréhension des problématiques soviétiques et donc une meilleure adaptation à ce marché.
Mais comment le groupe s’ est-il pris pour gérer ce projet international, dans un contexte peu favorable? Quelles sont les étapes qui structurent cette réussite? Et surtout en quoi la stratégie « teint global, acte local » a-t-elle bénéficié à la chaîne de restaurant? Nous tenterons, au travers de ce rapport, de répondre ces questions qui rappellent les stratégies internationales prendre en compte dans toute entreprise à l’étranger, en particulier dans le cas des joint-aventures.
Dans une première partie, nous reviendrons sur le contexte dans lequel égorge canon a décidé de pénétrer le marché Russe. Nous évoquerons la situation politique, suite à la préhistoire et feront un état des lieux économique et sociale et des notions juridiques de l’époque. Dans la deuxième partie, nous détaillerons la mise en place du projet, avec notamment les raisons motivant cette implantation et les étapes qui la composent.
Enfin, la troisième partie nous permettra de développer la stratégie de incommodons, à partir de l’utilisation du principe « teint global, acte local ». 1. incommodons en réussie : Analyse de la situation Toute entreprise désirant s’implanter dans un pays étranger doit au préalable analyser l’environnement ludique, économique et social du pays sélectionné afin d’identifier ses différentes caractéristiques, ses risques et ainsi être capable de s’adapter au pays. incommodons s’est intéressé à la réussie, pays dans lequel le groupe a l’intention de s’étendre.
Afin de montrer au mieux comment s’est passé l’implantation de incommodons en réussie, nous allons essayer de dresser un état des lieux du pays au moment de l’implantation, c’est à dire à la fin des années 70. 1. Le contexte politique Lorsque incommodons commence à s’intéresser à la réussie la fin des années 70, nous sommes en pleine Guerre Froide. Les relations entre les états-Unis et l’OURS sont très tendues. Nous allons analyser quelle est la situation politique et législative de ces années et des années 80, période de l’implantation effective de incommodons en réussie.
L’union soviétique du début des années 80 connaît des évolutions contradictoires. Le système de croissance extensive, fondé sur le gaspillage des ressources, privilégie une croissance rapide et visible au détriment des infrastructures et de l’environnement. Le coût élevé du rayonnement international de l’OURS – notamment la course aux armements, le soutien aux pays du bloc viatique, le conflit en figurant pèse grandement sur le niveau de vie de la population. Face à cette stagnation du niveau de vie, le travail au noir se développe.
L’année 1 980 est celle du paradoxe, on voit d’un côté voit d’un côté incommodons étudier le marché de l’OURS avec attention et initier des démarches pour l’ouverture de restaurants et de l’autre côté l’équipe américaine boycotter les jeux olympiques de moussu. En 1 982, avec l’affaiblissement de brève, les cadres du parti et le chef du KG reprennent le pouvoir avant l’arrivée d’un certain grabataire. Celui-ci se lance dans un orgasme de réformes économiques et politiques connu sous le nom de « préhistoire » (restructuration) et de « glanions » (transparence).
Son projet se veut global et radical, la « préhistoire » dépasse la simple question de l’économie pour embrasser à la fois la société, le système politique et les relations internationales. Ces réformes suscitent le scepticisme de la majorité de la population et l’opposition de la nomenclature et de l’intelligentsia qui sentent leurs privilèges menacés. La libéralisation des prix est constamment repoussée par le gouvernement qui craint une flambée des prix et ‘accroissement du chômage.
Le désarroi grandit car la classe moyenne avait un emploi vie assorti d’une faible exigence de travail alors que la préhistoire est synonyme de suppression des postes de travail inutiles, de rentabilité, de chômage et d’inflation. Petit à petit celle-ci s’installe dans un pays où pourtant le prix du ticket de métro n’avait pas bougé depuis 1945. Les salaires ne suivant pas la hausse des prix, les grèves se multiplient et la production industrielle chute de 25% entre 1985 et 1990. Quant à la glanions, celle-ci va stimuler le désir d’autonomie et d’ni entre 1985 et 1990. ‘autonomie et d’indépendance des peuples qui étaient maintenus de force dans l’OURS et entraîner des tensions intrinsèques dans certaines régions. Par le libre accès des citoyens à l’information, la glanions propose d’associer la population à la vie politique, de concilier régime communiste et démocratie afin de rendre l’économie plus performante. Sur le plan international, grabataire s’engage dans une politique de détente avec l’ouest et peu à peu ouvre son marché aux entreprises étrangères.
incommodons qui avait fait toutes les démarches nécessaires pour son implantation en réussie va profiter de cette situation pour ouvrir un premier restaurant à moussu dès janvier 1 990 et ainsi être une des premières entreprises américaines investir directement sur le sol de l’union soviétique. Au niveau de la législation, la préhistoire a produit une nouvelle loi de propriété, de crédit-bail et une nouvelle loi agraire[l]. D’après les lois soviétiques, toutes les affaires doivent être traitées avec l’état.
A partir de 1987 ces lois permettent l’ouverture du capital des sociétés russes aux sociétés étrangères mais dans la limite de 49% du capital. Ces lois incitent aussi à la création e joint-aventure, société mixte, de capital mi-russe mi- étranger, avec comme restrictions de ne pouvoir importer que des produits nécessaires à leurs propres besoins et de ne pouvoir exporter que leur propre production. Leur propre production. A partir de 1990, un décret présidentiel autorisera l’établissement d’entreprises soviétiques avec 1 000/6 de capital étranger.
On assiste alors au lancement de privatisation de masse, avec entre autres la distribution de coupons à la population et aux travailleurs leur permettant d’acheter des actions dans les entreprises transformées en sociétés anonymes. Cette loi est la seule mesure socialiste conservée par grabataire, bisexuelle laisse la priorité aux employés des entreprises pour acheter toute ou partie des actions représentant le capital de leur entreprise. Mais ces privatisation et l’ouverture au capital étranger se sont toutes traduites par des scandales liés à la corruption.
quoiqu’ advienne la politique russe n’about it jamais l’établissement d’un multiplierais classique pour des raisons liées à l’histoire constitutionnelle, à la taille du territoire, et aux traditions de la réussie. En effet, ce pays a une tradition parlementaire faible. Les partis politiques ‘ont jamais servi d’intermédiaires entre le gouvernement et le peuple. Sous le régime soviétique, la structure verticale du pouvoir était renforcée par le monopole exercé par le parti communiste sur toutes les activités de la société.
lorsque’ un vrai mouvement d’opposition a fait surface au milieu des années 80 alors que le régime soviétique était affaibli, chaque groupe d’intérêts était incapable de comprendre la nécessité et les avantages d’une collaboration avec les autres partis. Le comportement des membres du Congrès et des députés du peuple élus en 1990 le démontrait de façon éloquente. Au lieu d’adopter ne ligne de parti, la plupart des députés ont agit comme des indépendants sans attache politique. Les coalitions se formaient et se déformaient au gré des votes, quelque soit le sujet, sans égard à l’appartenance politique de chacun. . L’environnement économique Dans le milieu des années 70 (1 976), les conditions économiques en réussie étaient très mauvaises. Comme nous l’avons déjà vu, c’était la période de la guerre froide et le pays souffrait encore du système communiste qui ne favorisait pas l’initiative privée. En effet, le système instauré ne poussait pas les travailleurs à donner le meilleur d’eux- mes, ce qui aurait pu poser des problèmes pour le bon fonctionnement de incommodons. En définitive, on s’aperçoit que l’économie russe évoluait à un rythme relativement lent dans un contexte de monopolisation fort.
Face à cette situation en perte de vitesse, beaucoup de pays étrangers se sont retirés de la réussie par crainte de réaliser de grosses pertes sur ce marché. Il est important de préciser qu’ l’époque la réussie n’avait pratiquement pas de relations commerciales avec les pays de l’ouest. L’implantation de incommodons était donc une première. A cette époque, il règne une forte agitation parmi les énormités nationales, problème qui concerne tout de même la moitié de la population. Par conséquent, le climat économique n’était pas très favorable à l’implantation population.
Par conséquent, le climat économique n’était pas très favorable à l’impie natation d’entreprises étrangères en réussie. ? Technologie : Le système agricole et industriel était dépassé et peu efficace. La plupart des équipements étaient cassés ou abîmés, les travailleurs démotivés, le blé dépérissait, etc.. Il s’agissait d’une industrie avec des techniques simples, voire dépassées en raison des mauvais résultats économiques. L’outil industriel en réussie n’était donc pas très performant, manquait de technicité et de modernité.
D’après les documents fournis avec le cas « incommodons au pays des Soviets », la technologie industrielle soviétique avait deux générations de retard par rapport au marché global. Des investissements étaient donc à envisager pour l’implantation de incommodons en réussie. De plus, l’agriculture occupait 19% de la main d’?ouvre à la fin des années 70[2]. Ce qui montre une fois de plus que les conditions économiques étaient mauvaises. Sur le plan économique, on constate également des gradations aussi bien agricoles qu’industrielles.
En effet, les travailleurs russes étant informés des meilleures conditions de travail à l’étranger, pouvaient se sentir lésés et donc démotivés. Cette prise de conscience a forcément eu des répercussions sur le pays. De plus, le système de distribution, ainsi que les infrastructures n’étaient pas adéquates et en très mauvais état, voire sur le point de s’effondrer, ce qui risquait de freiner la mise en place et le développement des restaurants incommodons. ? Qualité : Le problème de la qualité dans l’industrie et la restauration était un problème majeur en réussie. Plus le temps passait et plus la qualité se dégradait.
En effet, les industries n’étaient pas toutes de qualité. En 1976, en réussie, les restaurants n’étaient pas très développés. AI s’agissait essentiellement de restaurants très froids et conventionnels. La qualité, la propreté et la gaieté n’étaient pas présentes dans ces restaurants. Les travailleurs russes avaient la réputation d’être austères et très peu motivés, ce qui est à l’opposé du concept de incommodons (orienté service) qui enseigne « la culture du sourire ». Ce petit aperçu économique permet d’identifier le contexte u moment où incommodons a décidé de s’impie antre en réussie.