ecriture d’invention dystopie

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Écriture d’invention Littérature Dystopie or 3 Sni* to View Sujet : Vous écrirez u Vous choisirez une cène une dystopie. us-même) susceptible de la repr senter, et vous genderez ce document iconographique. annonça la publication prochaine du rapport. 1976, fût marqué par la publication des notes du journaliste, en voici un extrait : « Je m’apprêtais à me défendre de mes kidnappeurs, quand la camionnette s’ouvra. Je ne savais où je me trouvais. Autours de moi, un brouhaha brumeux. Je m’éclipsa de cette cacophonie, pour me retrouver, plus loin, sur le haut d’une colline infect. Au dessous de mes pied, les détritus.

Je me tourna vers la gauche, l’image de cette guerre revenu, plus loin, le paysage laissa apparaître des lignes et des courbes lumineuses en tout genre, des bâtiments satinés d’or, lustrés. Puis, j’observai à ma droite. Et là, ce fut l’ébranlement. Dans mes yeux, l’image non pas d’un lac, mais d’une mer immense de déchets. On pouvait y retrouver des reste d’aliments, des couches sales, un fauteuil, un lit, une télévision, des tonnes et des tonnes de carton, et une quantité indénombrable de plastique. Des déchets en tout genre. Un lieu poisseux, où se dégagent un fétide écrasant.

Une odeur acide et aigre démesuré. Le plus terrible fût que cet endroit était habité. Ce fût un heurt de voir des enfants courir dans ces couloirs étroits qui séparaient leur maison. Des galeries à perte de vue, constituait d’une matière visqueuse, adipeux ; avec un air de ressemblance avec la boue. Armé d’un courage que je ne me connaissais pas, je m’engouffra dans cette jungle de détritus. Plus je traversait ces passages, plus un s connaissais pas, je m’engouffra dans cette jungle de détritus. Plus je traversait ces passages, plus un sentiment d’effroi pris part de moi.

Dans cette ville, si l’on peut l’a qualifiée ainsi, j’étais perdu. La nuit approchait quand une femme et son enfant me proposèrent l’hospitalité. Accueillants, la qualité de la maison me paraissais être un détail, jusqu’à ce que ces personnes me proposèrent un repas, un petit peu différent du notre. L’enfant, me tendis un morceau de pain pourri et des carcasses de viande déjà consommé, j’ai refusé poliment. Plus tard dans la nuit, je fus réveillé, par un tonifiant ronflement d’une benne à ordure, cela signé le début d’une nouvelle journée. » Sulte à cette publication de 1976, le président tenu sa parole.

Les rapports historiques fût diffusé dans le monde entier, nous proposant la description d’un lieux hideux. Le reporter enchaîna les interview les un sur les autres, tous voulaient avoir le témoignage de celui-ci. Enfin, afin de respecter ses engagements, Richard Nixon mit à disposition des moyens de transports aériens. Et le 5 avril 1977, une livraison de toute sorte d’objet, et de nourriture fût envoyé à ces gens démunis. De nos jours, cette action est renouveler grâce à la participation de nombreux bénévoles, et associations. Journal français, Les Américains news 2012