Princesse De Cleves
Camila Medina Professeur Naginski 91E 24 octobre 2014 Les institutions du mariage dans la Princesse de Clèves Le mariage est un acte officiel par lequel un homme et une femme établissent entre eux une union dont les conditions, les effets et les dissolutions sont régies par la loi. La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette illustre le rôle important du mariage par rapport à l’intrigue du roman.
Ce livre fait apparaitre des questions éthiques qui ne sont pas du tout faciles à expliquer Sni* to View concernant le mariag dilemmes moraux m comme Madame de Clèves fait à Nemour pour l’intrique de l’hi or 7 parle sur des ieux intentionnée que que Mme de st fondamentale us al-Je pas connu devant que d’être engagee ? » (245) La r ponse à cette question peut avoir le pouvoir de changer toute l’intrigue. La Princesse de Clèves représente une version originale du thème du mariage. Au 17eme siècle, quand ce roman a été écrit, le mariage était une union institutionnelle plus qu’une union basée sur ramour.
Dans ce roman il y a un fonctionnement complètement diffèrent du mariage dans la sphère publique et la sphère privée. Dans la sphère pub Swipe to View next page publique le mariage se présente plusieurs fois comme un contrat ntre deux personnes. A cette époque un bon mariage était considéré comme un bon contrat. Il était également énormément commun d’avoir des mariages arrangés. Si le mariage est arrangé, d’où vient l’amour en forme ? C’est une question qui se présente quand on parle du mariage dans cette circonstance, une ère où l’amour dans un mariage est secondaire.
Le mariage du roi peut être interprété comme un geste vide avec des motivations politiques et sociales. Ce renoncement a un lien entre le mariage et l’amour, le bonheur ou tout objet plus profond que la bienséance. Le pouvoir politique, la fortune et la position sociale ont les principaux facteurs à l’origine de ces mariages. Ici le mariage est pratiquement un outil de négoclation politique, un instrument que les royaux et les nobles utilise pour améliorer leurs position ou celle de leur pays. C’était la norme d’avoir des mariages comme partie d’un traité.
Henri Il utilise son mariage pour avoir de bonnes relations avec l’Espagne et L’Angleterre. Il veut marier sa fille avec le fils du roi d’Espagne. Quand la situation change il décide de la marier au Roi Philippe lui-même. Malgré sa répugnance, la fille d’Henri Il doit accepter ce mariage organisé arce que c’était un comportement attendu de cette époque. La non-pertinenc PAG » rif 7 mariage organisé parce que c’était un comportement attendu de cette époque. La non-pertinence de l’amour dans le mariage est considérée comme une règle dans la sphère historique de l’époque. ? la cour il est presque impossible de coupler les mots mari et amant. Cette disjonction entre amour et mariage offre un cadre intriguant pour la relation la plus importante du roman qui essaie d’avoir ramour et le mariage ainsi dans le sens de la définition originelle du mariage, une union légale entre un homme et une femme. L’intrigue du roman est basée autour du mariage organisé par Madame de Chartres pour sa fille « elle ne craignit point de donner à sa fille un mari qu’elle ne pût aimer en lui donnant le prlnce de Clèves». On peut dire que la mère de la princesse ne voulait pas que sa fille aime le prince.
Cela illustre le rôle important que joue la mère, un rôle répressif. Mais un problème se présente dans cette citation. On ne sait pas si « aimer » dans ce cas représente l’amour passion ou bien l’amour amitié. L’amour qui se développe avec le mariage, c’est ce qui compte vraiment selon les intérêts de Madame de Chartes. L’institution u mariage est une manière de montrer statut social. A cause de cela elle a mis très profondément Vidée dans la tète de la prlncesse que le mariage n’est qu’un contrat. Madame de Chartres encourage l’union e PAGF3C,F7 dans la tète de la princesse que le mariage n’est qu’un contrat.
Madame de Chartres encourage l’union entre la princesse et le prince précisément parce que sa fille ne l’aime pas avec une passlon SI forte qu’elle ne peut pas résister être loin de lui. pour Madame de Chartres l’amour dans le mariage ne peut être compris qu’en termes de devoir. e mariage dans la sphère privée entre Madame et Monsieur de Clèves représente un mariage d’inclination du coté de Monsieur de Clèves mais plus un contrat du coté de Mme de Clèves. Le manque d’amour réciproque entre Madame de Clèves et Monsieur de Clèves provoque un déséquilibre dans leur relation.
Monsieur de Clèves est inconditionnellement amoureux de Mme de Clèves, mals elle n’a pas les mêmes sentiments d’estime et d’affection pour lui : « M. de Clèves était peut-être l’unique homme du monde capable de conserver de l’amour dans le mariage » (242). On peut dire que M. de Clèves est nalT parce qu’il est impossible de croire qu’il ne voit pas la vérité, que sa femme ime quelqu’un d’autre. Comme lectrice il est évident que Madame de Clèves respecte son époux mais l’amour passionné n’existe pas entre eux, bien au moins on peut le dire du côté de la princesse.
Les sentiments du couple marié peuvent se résumer par deux mots : amant pour Monsieur de Clèves et devor pour sa femme. Tout au long se résumer par deux mots : amant pour Monsieur de Clèves et devoir pour sa femme. Tout au long du roman la relation entre les deux est vécu aux niveaux différents. L’aveu représente une grande partie de l’intrigue du roman parce que c’est où on voit un changement de caractère du côté de a princesse. L’aveu ou bien la confession peut être interprété comme un acte sibyllin et ambigu parce que la princesse de Clèves ne dit presque rien.
On peut dire qu’elle ne confesse rien. Mais c’était une action courageuse et choquante pour l’époque parce que c’était la première fois qu’une femme avait fait un tel aveu à son mari dans un roman « je vais vous faire un aveu que l’on n’a jamais fait à son mari » (166). C’était un acte où la sincérité triomphait. Mais cet aveu illustre aussl que comme épouse la princesse était égoïste et naiVe en même temps. Elle n’a pas ensé aux sentiments de son mari car pour elle ce mariage est simplement un contrat ; c’était deux systèmes de valeur qui s’entrechoquaient : l’égoïsme et la nativité.
Elle dit qu’elle se sent mieux après l’avoir fait ; elle le fait plus pour elle-même que pour son mari. Le problème est que après cet aveu, Monsieur de Clèves reste passionnément amoureux de sa femme ; il ne peut pas accepter que son mariage puisse exister sans amour. Mais cela change après la rumeur qul a fait toute I que son mariage puisse exister sans amour. Mais cela change après la rumeur qui a fait toute la situation exploser. D’ailleurs le ari en mourra. Il meurt en pensant que son mariage et l’amour qu’il a eu pour son épouse étaient légltimes.
Tous les efforts de la princesse l’ont causé de perdre. Sa mère lui a laisse croire que le mariage est un contrat, un amour sans passion et affection. Et pour cela la princesse a marié Monsieur de Clèves sans penser à ses sentiments et si elle l’aime vraiment et veut partager toute sa vie avec lui. Elle aime quelqu’un d’autre… Nemours : « Je vous avoue que vous m’avez inspiré des sentiments qui m’étaient inconnus devant que de vous avoir vu, et dont j’avais même si peu d’idée qu’il me donnèrent ‘abord une surprise qul augmentait encore le trouble le qui les suit toujours. ? (238). Indépendamment de tous ses efforts de sauver son mariage et de cacher ses sentiments pour Monsieur de Nemours, elle n’a pas réussi. Son mari est mort et elle décide de ne pas épouser le duc. C’est intéressant que la princesse de Clèves jure après la mort de son mari qu’ « elle ne ferait dans le reste de sa vie que ce qu’il aurait été bien aise qu’elle eut fait s’il avait vécu C’est ironique que le devoir et la fidélité se trouvent les valeurs les plus importante pour la princesse quand son mari est déjà mort. On peut