Peine de mort
La fusillade en chiné, la pendaison ailleurs, le gaz ou l’empoisonnement aux états-Unis : des hommes, des femmes, des mineurs, des handicapés, des exclus de toute sorte, des opposants politiques, des innocents et des coupables subissent cet assassinat qu’est la peine de mort.
L’exécution d’êtres humains dessine à travers le monde ne carte de l’horreur imbécile qui transcender les régimes et abolit les frontières. Les états-Unis y côtoient Cuba ou l’arc ; ces pays s’associent à l’arable saoudite. La liste n’est pas limitative. Tout a déjà été dit et écrit quant à l’inutilité et l’illégitimité d’une sanction qui a l’apparence d’un acte de justice et la réalité d’une vengeance. Inlassablement, il faut répéter que la peine capitale cumule toutes les injustices. Elle conduit l’exécution d’innocents.
Elle s’applique en priorité aux minorités et aux personnes venues de milieux sociaux récriras. Quant à son utilité, toujours démentie, rien ne sert d’en discourir tant il est vrai que tout postulat qui a pour fondement la mort d’un homme est, par essence, un échec. « Un Peine de mort premier bu aiguillonnerai I harpe 16, 2009 5 pages Pour l’abolition universelle de la peine de mort swaps toi vie nixe page « Un homme tué par un homme effraye la pensée, un homme tué par les hommes la consterne », écrivait victoire aigu dans son adresse aux gênerons.
Pourtant, 87 pays continuent à appliquer la mort pour les hâtifs les plus divers : parmi eux, certains connaissent des régimes de dictature où l’arbitraire de l’état va ainsi jusque’ sa logique ultime. D’autres, en revanche, se réclament de la démocratie. Parce qu’ils sont le pays le plus puissant du monde, les états-Unis tiennent une place emblématique dans le concert des pays non abolitionnistes. Un homme tué par un homme effraye la pensée, un homme tué par les hommes la consterne » victoire aigu A l’inverse du incarcéra et de l’affaire du Sud où l’avènement de la démocratie a entraîné l’abolition de la aîné capitale, trente-huit états des états-Unis et leur gouvernement ont, depuis 1976, rétabli la peine de mort. Plus de 3 700 condamnés à mort végètent dans les couloirs de la mort, dont une cinquantaine de femmes et autant de mineurs au moment des faits, sans compter les handicapés mentaux dont il est impossible de déterminer le nombre exact. Inégalité de traitement et discrimination raciale sont la règle.
La dimension politique n’est pas absente dans un certain nombre de cas. Celui de mima bu-jamais, dont la condamnation à mort date du 3 juillet 1982, illustre as as. Celui de mima bu-jamais, dont la condamnation mort date du 3 juillet 1982, illustre assez bien le mélange dangereux que constitue une enquête faussée et un passé politique de Panthère noire regardé comme sulfurer. Haut de page Certes, une évolution se dessine. Le gouverneur de l’liions vient de proclamer un moratoire, considérant qu’entre 1997 et 1 999, 12 personnes avaient été exécutées alors que le même nombre était innocenté et libéré.
Un état a adopté une législation excluant les handicapés mentaux de ‘application de la peine capitale et l’adhésion populaire cette peine diminue d’intensité. Légers progrès qui ne doivent pas faire illusion notamment face aux modifications législatives intervenues dans plusieurs états qui réduisent les possibilités de recours et les délais. On continue et on continuera à tuer dans les prisons américaines. Rien n’évoluera si, aux états-Unis même, une puissante volonté politique ne se manifeste.
Il n’en a pas été autrement en France où la volonté de français méditerranéen et le combat inlassable de Robert badiner et de tant ‘autres ont permis de mettre un terme à la peine capitale. AI n’en sera pas autrement pour tous les pays qui l’appliquent encore. Nous pouvons et nous devons, cependant, contribuer leur évolution. A Strasbourg, les 21 et 22 juin, des participants venus du monde entier, des représenta évolution. A Strasbourg, les 21 et 22 juin, des participants venus du monde entier, des représentants de nombreux Parlements européens vont dire publiquement leur opposition à une pratique d’un autre âge.
Nous entendons bien, à cette occasion, montrer que le combat contre la aîné de mort n’est pas enfermé dans des frontières nationales mais atteint l’universel, qu’il n’est pas limité par le temps mais se poursuivra aussi longtemps qu’un seul état continuera à tuer. Au-delà des mots, ce sont des mesures concrètes qui peuvent être aussi mises en ouvre : d’abord n’oublier aucun de ceux dont la vie est en danger. De mima bu-jamais au moins connu d’entre eux, aux états-Unis et ailleurs, nous devons restituer un visage à tous, rappeler aux bourreaux qu’ils n’ont aucune légitimité à tuer.
En France, plus articulèrent, deux ressortissants américains peuvent être extradés pour être jugés et risquent la peine de mort. Il faut que e gouvernement refuse de se prêter au jeu des assurances données par les autorités américaines et dont rien n’assure qu’elles seront respectées. Dès lors que a peine de mort est encourue, la coopération judiciaire n’ plus sa place et les gouvernements, comme les juges doivent refuser d’extrader.