179617 APS2 Dos 6 STUB Corrige
DOSSIER NO 6 : SARL SOCIÉTÉ DE TUBES BRESTOISE Fiche d’instruction no 1, p. 99 1) Coûts préétablis par la méthode des centres d’analyse a) Centre approvisionnement (tonnage de matières à acheter) : – Ciment : (0,08 t 0 2 000) + (0,16 t 0 3 000) + (0,20 2 500) = 1 140 tonnes. – sable 06 : (0,24 t 0 2 000) + (0,43 t 3 000) + (0,64 t 2 500) 3 370 tonnes. – Graviers 6/10 : (0,20 t 2 000) + t 3 000) + (0,60 t 2 500) = 3 100 tonnes. – Fers trefils : (0,012 t 0 3 000) + (0,018 t 2 500) = 81 tonnes. Tonnage total : 1 140 +3 370 +3 100 +81 7 691 tonnes. Ateliers de productio – Bétonnage : (5 mn 1 500 mn – 1 025 h. Ferraillage : (20 mn 250 h. or27 ment-machines) + (11 mn 0 2 500) = Sni* to View 0) 135 = 2 – coulage : (10 mn C 2 000) (12 mn 3 000) + (16 mn 0 2 500) – 96 000 mn = 1 600 h. Coûts unitaires prévisionnels des unités d’œuvre Approvisionnement Bétonnage Ferraillage Coulage Charges variables 6 n 1 025-6150 502250 11 250 15 Cl 24000 Charges fixes 50 000 unitaire (tonne) 26,50 18,50 21,50 506,50 c) Coûts de production unitaires préétablis et coûts de revient préétablis des trois types de buses 8400 B600 8800 Éléments de coûts pour une buse Quantités Coût unitaire
Montant ament 0,080 126,50 10,12 60 20,24 0,200 25,30 Sable 0,240 4,44 0,430 Activité Coût total annuel (€) Nombre d’inducteurs Coût unitaire (E) Contrôle de réception des matières livrées et règlement des fournisseurs(l) 30 000 + 15 000 = 45 000 9012) 500 Gestion des relations avec les fournisseurs 20 000 5 000 Études et méthodes 17 160 3(4) 5 720 59 450 1 025 h 58 67 500 2 250 h 30 Lancement des lots de fabrication au coulage 5 790 193 lotS(5) 64 000 1 600 h 40 Transport des buses 22 500 3 OF l’activité « contrôle de réception… ? 500 € 0 36 18 000 € 500 € 024- 2 000 € 500 € 06 3 000 € Charges de l’activité « gestion des relations fournisseurs » 5 000 € Coût d’achat total 159 800 € 57 440 € 63 500 € 48 500 € Coût d’achat unitaire (tonne) 159 800/1 140- 140,18€ 57 440/3 370 – 17,04 € 63500/3 100 20,48 € 48500/81 – 598,77 € unitaires préétablis des trois types de buses B400 administratives 9 509 26 004 29 487 Coût de revient total 2 000 42,28 84 559 3 000 85,22 255 654 2 500 116,16 290 402 Remarque : les temps-machines ont été convertis en heures. Exemple : bétonnage pour les 8400 : 2 000 unités Cl 5 mn / 60 = 66,67 heures.
Les autres activités dadministration générale (coût total égal à 65 000 €) sont à répartir entre les 3 produits au prorata des valeurs ajoutées aux matières incorporées dans les produits. Cette valeur ajoutée est égale à la différence entre le coût de production et la valeur (en prix d’achat) des matieres utilisées. Calcul pour les 8400 – valeur des achats en prix d’achat : 2 000 C] [(120 0,08) + (12 0,24) + (15 0,20)] 30 960 € ; – coût de production total = 75 050 € ; – valeur ajoutée aux matières utilisées = 75 050 — 30 960 = 44 090
Par un raisonnement identi ue on calcule que la valeur ajoutée aux deux autres produits PAGF s OF méthode ABC 598,76 € Écarts (en % des coûts méthode 1) 10,8 % -7,9 % -4,7 % + 18,2 % Tableau comparatif des coûts unitaires de revient des produits obtenus par les deux méthodes Baoo BBOO Coûts unitaires par méthode 1 38,37 € 85,43 € Coûts unitaires par méthode ABC 42,28 € 85,22 € 116,16 € 10,1 % -0,1 % La lecture des deux tableaux ci-dessus fait clairement apparaître que les deux méthodes de calcul de coût conduisent à des résultats plus divergents en ce qui concerne les coûts d’achats.
Au contraire, cette différence est moins marquée pour les coûts unitaires des produits. Ce a priori, surprendre, car PAGF OF comportement des coûts d’approvisionnement. Une analyse plus détaillée des activités d’approvisionnement fait apparaitre deux inducteurs de coût : le nombre de livraisons et le fait d’être en relatlon avec un fournisseur. pour quelles raisons les coûts des matières ciment et fers sont-ils nettement plus importants dans la méthode ABC ? – Les tonnages achetés de ces deux matières sont nettement plus faibles que ceux des deux autres (1 140 et 81 tonnes contre 3 370 t 3 100 tonnes).
Or, le coût subi des relations avec le fournisseur est constant (5 000 € par an), quel que soit le tonnage acheté. Le coût de cette activité se répartissant sur un faible volume pour les matières ciment et fers conduit à des coûts unitaires élevés. Ce phénomène est plus marqué pour les fers car le tonnage acheté est très faible. La deuxième activité « gestion des réceptions et règlement des fournisseurs » coûtera plus cher aux matières pour lesquelles les commandes et livraisons seront nombreuses ; c’est justement le as du ciment (36 réceptions par an).
On peut donc conclure que dans la méthode des centres d’analyse, les matières sable et graviers subventionnaient les matières ciment et fers en réduisant leurs coûts unitaires. b. Subventionnement croisé et coûts de revient Parmi les activités de production recensées, seules celles dont l’inducteur de coût n’est pas volumique pourraient conduire à des résultats divergents au niveau des coûts unitaires de production et de revient.
Un inducteur volumique est un inducteur dont la quantité annuelle sera directement fonction du volume nducteur volumique est un inducteur dont la quantité annuelle sera directement fonction du volume de production annuel (heures de fonctionnement machines, buses produites et transportées… ). Dans le cas étudié, deux activités n’ont pas un inducteur volumique : « études et méthodes « lancement des lots au coulage Le coût de la première ne dépend que de la variété des produits fabriqués (trois) et est indépendant des quantités produites pour chaque type de buse.
Le coût de la deuxième varie en fonction du nombre de lots lancés. Pour quelles raisons, le phénomène de subventionnement croisé st-il relativement limité ici ? – Le volume de production est d’un même ordre de grandeur pour les trois buses (2 000, 3 000, 2 500). Le coût de l’activité « études et méthodes » s’imputera donc de façon à peu près égale sur les coûts des trois produits. Certes, le volume de production des B400 étant plus faible, le coût unitaire de ces buses va s’élever dans la méthode ABC.
Au niveau de l’activité « lancement des lots au coulage D, il n’y a pas non plus de grande divergence dans le planning de fabrication des trois types de buses. Si on calcule le nombre moyen de buses ar lot de fabrlcation, on arrive aux résultats sulvants 0400. 2 000 / 51 lots 39,2, n B600 : 3 000 / 78 lots = 38,5 ; : 2 500 / 64 lots = 39,1. Les tailles moyennes de lots étant quasiment identiques, la prise en compte de cette activité ne peut donc être à l’origine d’écarts de coûts unitaires.
L’objectif des calculs de coûts entrepris à la STUB est de mettre ? jour les prix des p BOF L’objectif des calculs de coûts entrepris à la STUB est de mettre à jour les prix des produits. Compte tenu des résultats obtenus (faible divergence), il n’est pas certain que la méthode des coûts ar activité soit à imposer, dautant plus que sa mise en œuvre est plus complexe. Fiche d’instruction no 2, p. 100 1) Prévision des ventes annuelles de buses en N + 1 a) et b) Feuille de calcul D Années Buses vendues Budget (KÉ) 5 356 78 4 2 5719 87 PAGF Cliquer sur l’onglet fx. Choix de la fonction : statistiques. – Nom de la fonction : ORDONNEE. ORIGINE. – Plage des cellules à sélectionner : Coefficient de corrélation entre buses vendues et budget du fonds routier : cellule BI 7 : r = 0,97 : – Cliquer sur Fonglet fx. – Nom de la fonction : COEFFICIENT. CORRELATION. Plage des cellules à sélectionner : (C3:C8;D3:D8). Droite de régression entre buses vendues et budget du fonds routier : procéder de façon identique pour calculer la pente de la droite et l’ordonnée à l’origine que pour la drolte d’ajustement linéaire : Plage des cellules à sélectionner : (C3 :D8).
On obtient : pente de la droite : 56,03. Ordonnée à l’origine : 1 019, 10. Prévision des ventes de N+l en utilisant la droite d’ajustement linéaire : 7 516 buses Cellule F23 7*811+812 Prévision des ventes de N+l en utilisant la droite de régression : 7 295 buses cellule F25 = 112*320+B21 ) La droite d’ajustement linéaire des ventes de buses en fonction du temps(Y 359,37 t + 5 000,2) donne une prévision pour N+l de 7 516 buses vendues.
Cette méthode de prévision fait l’hypothèse que la tendance observée au cours des six dernières années sera obligatoirement maintenue dans l’avenir, du moins dans l’avenir proche. Or, raugmentation régulière des ventes de buses est expliquée par des facteurs réels autres que le temps. Si ces facteurs ne jouent plus en N+l, la prévision des ventes sera sans fondement. La forte corrélation observée entre les deux variables statistiques « ventes annuelle