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Le rugby se développe dans le Sud, des parties sont organisées à Toulouse. À partir de 1904, la suprématie des équipes de la moitié Sud de la France devient écrasante. Le SUBI dispute toutes les finales entre 1904 et 1911 et n’en perd que deux[5]. Le rugby s’enracine profondément dans un rectangle Lyon-La Rochelle-Biarritz-Toulon : la vallée du Rhône, le langue, le réussirions, le Pays basque, la vallée de la garenne, les éprennes succombent au charme du ballon ovale. Naturellement, de grands clubs apparaissent[5].
Les finales de 1906 et 1907 sont arbitrées par allant hennir mur qui est alors joueur international, ancien champion de France en 1901 et 1 903 et futur patron des sélectionneurs du SÈVE de France de 1911 à 1919 (il sera aussi sélectionneur de l’équipe de France de Coupe divisa en 1922 et 1923). Hennir maman est un des grands joueurs de l’époque avec cinq titres remportés, puis l’arbitre de la finale de 1913, Marc agacerai a fait de même avec six titres et une finale arbitrée en 1912. Avec eux, on peut citer lois dédie, marche liftier, Auguste grigou, mariée pruneau, P. Do roi
brancha de silos paraphons et Hennir marin qui ont tous remporté six fois le championnat de France. En raison de la Première Guerre mondiale, le championnat est interrompu entre 1914 et 1919. Pendant cette période « Vierge Rouge », comme on surnommé le club rouge et noir suite à son titre de 1912 au cours de laquelle l’équipe reste invaincue pendant toute la saison. Les années 1930 sont dominées par l’USA Perpignan qui remporte trois fois le championnat, par le Biarritz olympique (quatre finales disputées et deux titres de champion) et le Lyon OU (trois finales disputées et deux titres de champion).
Hors du terrain, les années 1920 et 30 sont des années de crise pour le championnat. Le titre de champion de France attise les convoitises et entraîne des dérives : violence sur les terrains et accusations d’amateur risée marron rythment les saisons de plus en plus souvent. En décembre 1 930, quelques clubs dénoncent le professionnalisme déguisé pratiqué par certaines équipes (un patron peut salarier ses joueurs dans son entreprise comme par exemple celui de l’US aquilin, trois fois finaliste entre 1928 et 1930, et champion en 1929, dans une ville de trois mille habitants) et font sécession.
Dix clubs fondent l’FAR (Union française de rugby amateur), qui se targue de rester fidèle aux idéaux de faire plan et d’amateurisme du rugby, et demande à la Fédération française de remettre de l’ordre dans sa maison[6]. Sept d’entre eux sont d’anciens champions de France, mais ils sont exclus du championnat. Au total, 14 clubs font sécession dont sept anciens champions de France. Suite à ces tensions, le SÈVE de France est boycotté par les équipes britanniques qui voient ces dérives d’un très mauvais ?il, au point d’être exclu du Tournoi des cinq nations.
La FER trouve enfin un accord en 1932 avec les lobs entrés en dissidence, mais les conséquences de la crise sont profondes : ses effectifs diminuent très fortement et le nombre de clubs passe de 784 en 1930 le championnat de 1940 à 1942. Après trois saisons de compétitions non officielles, la FER décide, le 5 juin 1942, de rétablir le championnat de France. Le championnat est disputé par quarante clubs de la zone occupée et cinquante-cinq clubs de la zone libre.
Après l’invasion de la zone libre par les Allemands en novembre 1942, la Fédération changea les appellations en « zone nord » et « zone sud ». La finale est disputée entre Bayonne et Agen, ui ont remporté respectivement les compétitions des zones sud et nord. Le nombre de clubs participants augmente régulièrement, passant de 95 en 1942-43 à 1 54 en 1945-46. Après la guerre, le nombre de clubs de l’élite est réduit à 64 clubs pour la saison 1946-47 et varie par la suite entre 40 et 80 jusqu’ la saison 1991-92. Le championnat 1944-45 est remporté par le SU Agen qui bat le FOC Lourdes en finale.
Parmi les joueurs du SU Agen, noter la présence de albâtre ferrées et gué basques qui seront plus tard président et vice-président de la fédération française de rugby. Le SU Agen dispute également deux finales en 1943 et 1947. Toutefois, l’après-guerre est dominée par le FOC Lourdes qui remporte 7 fois le Bouclier de bruines de 1 948 à 1960 (plus un autre titre en 1968). Plusieurs alourdis de cette génération dorée cumulent ainsi au moins six titres de champion de France: antenne labiaux, Jean para, atomes émaneront, mariée para, lois guindé et rogner martinet.
L’équipe compte huit joueurs internationaux en activité en 1948 et encore sept en 1958. La finale du championnat 1948-49 présente la particularité d’avoir été disputée deux fois, le premier match s’étant hermine sur une égalité 3-317], finalement c’est le Castres olympique qui remporte le titre aux dépens du Stade match, Pour éviter la sanction, la fédération française promet d’abolir le championnat de France et fournit une liste de joueurs jugés coupables de professionnalisme, dont Jean dégager, Robert sors et mariée sinon.
L’exclusion du Tournoi est ainsi évitée et en fin de compte e championnat de France 1952-53 est maintenu à la suite de la pression exercée par la grande majorité des clubs français[9]. La FER décide d’alléger la compétition en ne faisant disputer que les matchs aller du championnat, elle opprime aussi la Coupe de France.
Pour la seule fois dans l’histoire du championnat, les clubs non qualifiés (après la phase de qualification avec poules de huit) disputent une épreuve de consolation appelée la Coupe curry-retoucheur en l’honneur d’un ancien capitaine du SÈVE de France au début des années 1900 La finale de 1957-58 voit l’opposition des deux frères émaneront qui jouent dans des équipes opposées: le FOC Lourdes et le sportifs Club mezzanine. Les deux équipes sont conduites par deux fortes personnalités, le alourdis Jean para, « Monsieur Rugby » et le « Docteur » mais du côté mezzanine.