Une vie de maupassant
Nous verrons que l’ignorance de jean l’amène à une confrontation à la réalité tout d’abord physiquement puis psychologiquement. Le corps de jean est confronté à une réalité sexuelle. E n effet, alors que jolie pense à son plaisir jean se sent brutalisé comme nous pouvons le constater dans l’anophèle de « baiser » (I. 1836-1837) graduée d’adjacents de plus en plus violents, jolie déborde de désir et ne peut se contrôler, ainsi il ne prend pas de précautions, ce qui aggrave la peur de jean.
La bestialité de jolie est accentuée par le « poil épais » (1. 1850) qui connoter le égout, l’aspect naturel et viril de l’homme dont jean est ignorante, par conséquent le contact involontaire avec cette pilosité, cette nudité, est une découverte perturbant. Premier boy boulangerie I empâta 23, 2011 3 pages jean est un traumatisme physique et psychologique ? De plus, swaps toi vie nixe page la peur de jean entraîné une douleur physique au moment de la défloration, celle-ci évoquée par la antonymie « souffrance aiguë » à la ligne 1841 .
Manquant d’éducation sexuelle, jean n’était pas préparée à se dévouer physiquement à un homme en lui cédant son corps. L’hymen ainsi rompu, jean subit la perte d’une partie de son anatomie, cependant, elle subsiste passive face à cette violence dont le mot « inerte »(l. 1838) connoter le statue de la femme au SIX siècle ainsi que la mort, effectivement jean n’ pas la faculté de s’opposer au comportement agressif de jolie, elle lui est donc entièrement soumise.
Les deux jeunes époux vivent ce moment physiquement et psychologiquement différemment. La prise de conscience sur ce qu’implique un mariage. jean ne comprend ce qu’il lui arrive, elle est intentionnellement abasourdie suite à cette épreuve alors eu jolie est paisible à tel point qu’il s’assoupit peu de temps après, par conséquent, jean est indignée comme nous pouvons l’observer dans l’emploi de points d’exclamations de la ligne 1863 à la ligne 1864.