Un Long Dimanche De Fian Ailles HDA
Un long dimanche de fiançailles de Jean-pierre jeunet, 2004 Problematique : Comment l’auteur mêle-t-il Histoire et Fiction pour composer une intrigue et des personnages qui présentent sa vision de la première guerre mondiale ? Arts du visuel, Arts états et pourvoir. Nature de l’œuvre : un extrait de long-métrage ( cinéma=7eme art) Contexte . Ce long-métrage de 134 minutes, tourné en France, sorti au cinéma en 2004, est récompensé par 5 césars. Il est l’adaptions d’un roman du mémé titre écrit par Sébastien Japrisot et paru en 1991.
La mémoire de la pre différent domaines a dans sa bande dessi La guerre 14-18 est i ou le réalisateur retr Biographie de l’auteur : pa s’exprime ainsi dans le fait également ranchés ( 1993). resque romanesque udrey Tautou. Jean-Pierre Jeunet est un cineastre Français né en 1953 et plusieurs fois primé. Ce réalisateur a commencé par des films publicitaires et des clips musicaux puis des court-métrages. I a également travaillé aux États-Unis ou il est connu pour sa réalisation d’un épisode d’Alien, la résurrection.
Nombre de ses ilms sont des succès au box-office : délicatesse, le fabuleux destin d’Amelie Poulain, micmacs a tire larigot.. Description et analyse de l’ouvre : L’extrait donne a voir un assaut raconte par un soldat Français rescapé de la PGM. En util to next page utilisant la technique de flash-back. le réalisateur alterne la scène ou le poilu témoigne des années plus tard dans un intérieur chaleureuse et celle qui se déroule sur le champ de bataille dévaste. La caméra multiplie les angles de prises de vue ( plongée, contre-plongée).
Varie Péchelle des plans ( du gros plan ou plan d’ensemble), bouge en travelling et en caméra portée pour montrer les soldats qui courent, tirent, tombent. Le sang gicle. La bande son accumule les cris d’attaque et de douleur, les bruits métalliques des baïonnettes et des balles sur les casques, les explosions d’obus. Le spectateur est ainsi au cœur de l’action. Cet extrait monte la violence des combats et a quel point la guerre est une boucherie. Le réalisateur veut nous faire comprendre que les soldats n’ont aucune chance de survie et éussit a rendre cette scène fictive très réaliste.
Quatre-vingt-dix ans après, le film apporte un témoignage sur la PGM et une dénonciation de ses horreurs . 1 aprésenter l’œuvre Nature de l’œuvre : C’est une scène d’ouverture d’un film Auteur/ Réalisateur : Jean-Pierre Jeunet Titre : « Un long dimanche de fiançailles » Date de réalisation : 2004Genre : Réalité historique/ Fiction Autres informations : Le film a tout d’abord été un roman écrit par Sébastien Japrisot en 1991 20 Contexte historique Le principal sujet du film est laPremière Guerre Mondiale 1914-1918).
Mais aussi l’après-guerre, notamment les années 191 9-1920. L’histoire commence le 6 janvier 1917, en parlant des mutineries des sol 2 les années 1919-1920. L’histoire commence le 6 janvier 1917, en parlant des mutineries des soldats. Nous apprenons que ces actes sontpunis sans procès, alors pour ne pas avoir à les fusiller (ce qu’ils n’ont officiellement pas le droit de faire), les sergents et hauts-gradés envoient les condamnés sur le No man’s land du front dela Somme, afin qu’ils se fassent tuer par des allemands ou u’ils meurent de froid.
Les images nous montrent les tranchées qui sont remplies d’eau, de boue, c’est invivable. Mathilde part à Iarecherche de Manech, ce qui permet de retracer ce qu’ont vécu les condamnés et ceux qui les avaient rencontrés dans les tranchées. Nous apprenons que les recherches sont difficiles, à cause, notamment desarchives d’Etat classées confidentielles 3 0 Décrire et analyser l’œuvre Synopsis : Un matin d’août 1916, Manech, dit au revoir à sa fiancée Mathilde ; il est envoyé sur le front de laSomme.
En 191 9, on transmet à Mathilde un avis officiel, disant que Manech est mort au combat. Mais Mathilde semble convaincue que son fiancé est vivant. Elle décide de se battre pour apprendre ce qu’ila vécu et savoir si il est vraiment mort. Le chemin est fait d’embûches, mais Mathilde est convaincue d’y arriver. Elle va mener un vrai combat et se raccrochera obstinément à son intuition. Analyse : Dans ce film, il y a un procédé de dénonciation par la « colonne » des mutins (condamnés à mort pour s’être mutinés) 3