Tres de Mayo oral

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Je vais vous présenter le tableau « Los fusiliamentos del très de mayo » qui a été fait par Francisco de Goya et créé en 1814. La technique utilisé est huile sur toile c’est une peinture. Le tableau mesure 2,66m x 3,45m. Cette œuvre est actuellement conservée au Musée du Prado à Madrid en Espagne. pour poursuivre je vais vous présenter l’auteur, puis décrire l’œuvre et vous l’interpréter, je situerais l’œuvre dans son contexte, je vous donnerais mon opinion personnelle pour ensuite terminer par une conclusion.

Francisco Goya est commence son app Luzan, et il est partit Fernando. Il échoue ors Snipe to e Saragosse. Il a l’atelier de José l’Académie San voie et réussie grâce au peintre Francisco Bayeu. Goya atteint les sommets en peignant des portraits de la famille royale. Mais à partir de 1808, Napoléon occupe Madrid et chasse le roi tandis que le peuple se révolte. Goya s’engage contre la guerre et crée une série de tableaux pour dénoncer l’horreur du combat. En 1819, gravement malade, il échappe de peu à la mort.

En 1824, craignant pour sa vie et celle de sa famille, Goya s’exile en France, d’abord à pans puis ? Bordeaux, où il peint jusqu’à sa mort le 16 Swipe to View next page avril 1828. premier plan : des hommes déjà exécutés, leur corps baigne dans leur sang. On voit aussi, à droite, les soldats Français avec leur fusil pointé sur les Espagnols. On ne voit pas leur visage, car ils sont de dos. Tous habillés pareils et dans la même position, ils ont l’air sûr d’eux. Goya veut montrer qu’ils n’éprouvent aucun emords.

Ils représentent la brutalité de la guerre. Second plan : des condamnés qui vont être exécutés, avec un prêtre qui prie, un homme qui se cache le visage, Goya veut émouvoir. Au milieu de ces condamnés, un se démarque des autres. Il a les bras en croix et regarde la mort en face, c’est un martyr, associé à Jésus Christ, il a aussi les stigmates sur les mains. Il symbolise la résistance Espagnole. Derrière : les futurs exécutés qui ont peur, ils se prennent le visage entre les mains.

On voit beaucoup d’émotions sur le visage des Espagnols, qui contrastent avec les Français, presque inhumains, transformés en « machine à tuer Goya, pour montrer cet aspect, a peint les corps des victimes avec beaucoup de balles. Il veut dire que les 43 condamnés n’avaient aucune autre issue que la mort devant la détermination des troupes napoléoniennes. Arrière-plan : le palais Liria, dans la banlieue de Madrid qui est plongée dans la nuit, symbolique de celle dans laquelle est plongée l’Espagne. Contexte artistique : p