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TPE Santé et bien-être La médecine chimique et la médecine ayurvédique Problématique : La médecine ayurvédique propose-t-elle des cadres et des perspectives différentes par rapport à la médecine occidentale ? r 14 Sni* to View En premier lieu, il faut savoir que ce sujet : la médecine occidentale et la médecine ayurvédique, est le fruit de recherche autour de la thématique « santé et bien-être Pour bien comprendre cela, nous entendons par la médecine ayurvédique, la médecine indienne qui existe depuis de nombreux siècles et par médecine occidentale, la médecine que nous même ous connaissons et utilisons dans notre quotidien dans les hôpitaux publics ou les cliniques.
Nous vous proposons la problématique suivante : « La médecine ayurvédique propose- t-elle des cadres et des perspectives différentes par rapport ? la médecine occidentale ? Pour répondre à cette complexe question, nous étudierons dans un premier temps les principes de ces deux types de médecines bien différentes à l’aide de sein. Finalement nous conclurons notre TPE en répondant à notre problématique. I Présentation des deux médecines 1. Médecine ayurvédique a. Principe : la médecine ayurvédique s’intéresse à la santé au sens large, incluant ainsi l’hygiène de vie, le corps mais aussi l’esprit.
Elle permettait de reconnaître les particularités physiques, les maladies et les dysfonctionnements les plus courants susceptibles d’affecter les patients. Le mot Ayurveda est dérivé d’ « ayu » qui signifie « vie » et de « veda » qui signifie « connaissance L’Ayurveda est donc la « connaissance de la vie » dans sa totalité. La vie est constituée de Passociation du corps, de l’esprit et de la conscience. La santé et la maladie influent sur ces trois plans. Les fonctions physiques sont régies par trois éléments : « vata » (vent), « pitta » (feu et eau) et « kapha » (terre et eau) appelés les « doshas b. . Histoire : L’éternelle jeunesse, l’éternelle beauté et l’immortalité, c’est le rêve de tous les hommes depuis des millénaires. Ily a plusieurs milliers d’années les guérisseurs et les philosophes se demandaient pourquoi les forces vitales déclinaient-elles ? Et les réponses c’est aujourd’hui qu’on les trouve dans les fouilles archéologiques. Certaines civilisations anciennes possédaient la connaissance des forces vitales et le secret du bien-être. Celui qui prend soin de son corps vie plus longtemps de ce principe est né l’Ayuweda il y a plus de 4000 ans.
Originaire de l’Inde, elle est un système médical complet et cohérent. Il est considéré comme le système médical de l’histoire humaine. Sur des sites archéologiques, 12 est considéré comme le système médical de l’histoire humaine. Sur des sites archéologiques, la découverte d’égouts et de bains publics prouve l’importance de l’hygiène. Un miroir en cuivre a aussi été découvert. Il fat partie du mobilier funéraire dans la plupart tombe des femmes de la civilisation de l’Indus car elles ?taient persuadées qu’en se regardant dedans, elles voyaient le reflet de leur âme.
Au XIXème siècle, les britanniques s’emparent de l’Inde. Ils emprisonnent un grand nombre de vedia (médecin ayurvédique) et ferment les écoles d’Ayurveda pour tenter d’imposer la médecine occidentale dans le pays. Malgré cela, la médecine ancestrale a survécu. 2. Médecine occidentale • a. Principe : la médecine occidentale utilise les soins de santés, la recherche et les technologies biomédicales pour diagnostiquer et traiter les blessures et les maladies, habituellement à travers a prescription de médicaments, la chirurgie ou d’autres formes de thérapies.
Depuis plusieurs décennies, le soulagement de la souffrance s’est également imposé comme un objectif médical à travers des solutions chimiques mais aussi par la relation médecin-patient. La médecine occidentale est présente depuis la préhistoire et n’a cessé de se développer tout au long de ces années jusqui à nos jours. En effet il y a eu des progrès phénoménaux : Pendant la préhistoire, la maladie était vue comme une punition et fait par la volonté d’un être supérieur, et guérie par des orciers, chamans, qui identifiaient le mal.
Au Moyen Age on peut distinguer de 2 grandes phases : Période monastique qui consiste à l’apprentissage d Moyen Age on peut distinguer de 2 grandes phases : Période monastique qui consiste à l’apprentissage de la médecine dans les monastères (par les clercs) et un nouveau concept, guérir l’âme avant le corps. Cependant la chirurgie n’est pas pratiquée et les prières, servent à guérir l’âme. Période scolastique: création d’une véritable école de médecine. Les médecins reçoivent des formations basées sur la théologie, la hilosophie en plus de la médecine.
Vers la fin du Moyen Age, révolution continue avec l’apparition du diagnostic (pouls, fièvre… ) de même que les traitements (mesures hygiéno-diététiques, saignées, purges et lavements… ) La Renaissance, l’étude de l’anatomie, des transmissions de maladies et la création de Fimprimante crée la diffusion du savoir (des livres de médecine et autres. ), ainsi que l’étude du genre humain, des arts et des sciences en général. Après 1 650, l’évolution, les découvertes microscopiques et les classifications des maladies de plus que les études sur les arasitoses permettaient d’en savoir plus sur Forigine de la maladie.
Pendant le siècle des lumières (soit XVIIIème siècle) la médecine devient plus scientifique et lai@ue, de plus la vaccination (Jenner), les accouchements pris en charge et la chirurgie (hernie, fractures, cataracte… ) sont en progrès. Les chirurgiens deviennent l’égal des médecins. Lors de la première partie du XIXème siècle, de nombreux scientifiques élaborent des théories sur le corps humain comme Schleiden et Schwann qui ont conçu une théorie cellulaire. Lors de la seconde partie du XIXème siècle, l’examen clinique rogresse ainsi que le 2 cellulaire. rogresse ainsi que les examens de labo (urée, sucre, albumine… ) et les outils de diagnostic apparaissent (thermomètre, spiromètre… ). On assiste au développement de la biologie cellulaire, et physiologie (théorie cellulaire (division cellulaire, chromosome, mitose… ), vient ensuite la Microbiologie avec Pasteur, Koch et le développement en chirurgie avec 3 principaux facteurs : les améliorations dans le domaine de l’anesthésie, du contrôle des hémorragies et la prévention des infections. Au XXème siècle, le développement de la médecine continue.
Puis u NIème siècle, évoluent la robotisation, le télé-enseignement. Et encore de grands progrès et amélloratlons sont à venir. Il) Guérison du cancer : les deux médecines 1 . Qu’est-ce-que le cancer ? Le cancer est une maladie caractérisée par la prolifération incontrôlée de cellules, liée à un échappement aux mécanismes de régulation qui assure le développement harmonieux de notre organisme. En se multipliant de façon anarchlque, les cellules cancéreuses donnent naissance à des tumeurs de plus en plus grosses qui se développent en envahissant puis détruisant les zones qui les entourent (organes).
Les cellules cancéreuses peuvent également se disperser à distance d’un organe pour former une nouvelle tumeur, ou circuler sous forme libre. En détruisant son environnement, le cancer peut devenir un réel danger pour la survie de l’être vivant. Exemple du cancer du sein Ces tumeurs sont principa s 2 s dans la moitié sont principalement situées dans la moitié supérieure externe du sein ou dans le mamelon. Elles touchent plus fréquemment le sein gauche que le sein droit et, dans de rares cas, elles sont présentes dans les deux seins.
Certaines tumeurs évoluent très lentement alors que d’autres se propagent rapidement ux tissus voisins et créent des métastases, en particulier chez les femmes jeunes. Le cancer du sein constitue le type de cancer le plus fréquent et parmi les plus mortels chez la femme occidentale. Des modifications accidentelles du génome peuvent se produire dans des cellules somatiques et se transmettre ? leurs descendantes. Elles sont à l’origine de la formation d’un clone cellulaire porteur de ce génome modifié. La formation d’un tel clone est parfols le commencement d’un processus de cancérisation.
Des modifications somatiques du génome surviennent par mutations spontanées ou favorisées par un agent mutagène. D’autres sont dues à des infections virales. La connaissance des perturbations du génome responsable d’un cancer permet d’envisager des mesures de protection (évitement des agents mutagènes, surveillance, vaccination). 2. Exemple précis: Marinella Banfi fut porteuse du cancer du sein. En effet, quand elle apprit sa maladie, elle fit d’abord appelle à la médecine classique : la médecine occidentale. Mais peut satisfaite des médecins elle décida de commencer en parallèle un traitement ayuNédique.
Elle a suivi un traitement ayurvédique classique : massages, méditation appris par un moine philosophe et le yoga e la respiration, qu’elle a pratiqués en Inde pendant trois heures matin et so 6 2 et le yoga de la respiration, qu’elle a pratiqués en Inde pendant trois heures matin et soir, puis à Paris une heure matin et soir ; ainsi qu’un travail de psychothérapie, pour découvrir l’origine du mal. En tout, le traitement a duré trois ans, avec des allers et retours constants entre les deux pays. Après sa guérison, son docteur de médecine chimique demanda à rencontrer le médecin ayurvédique. III.
Confrontation des médecines L’Ayurvéda a les connaissances et l’autorité nécessaire pour onner son point de vue sur cette maladie particulièrement complexe qui touche de plus en plus de personnes. En France, en 2012, 355. 000 nouveaux cas de cancers ont été diagnostiqués. Certes, les statistiques montrent que la mortalité par cancer a diminué au cours des vingt dernières années. Mais le cancer reste néanmoins la première cause de mortalité chez l’homme, plus touché par le cancer du poumon, du côlon et de la prostate, et la seconde chez la femme, plus touchée par le cancer du sein, du colon et du poumon.
Ce qui inquiète le plus les spécialistes, c’est la progression de la maladie. En effet, celle-ci à une capacité à se propager rapidement de manière incontrôlable par division cellulaire. Ce mécanisme est pourtant nécessaire pour le bon fonctionnement de l’organisme, il permet une cellule mature de se diviser en deux cellules filles, mais en cas d’erreur dans la reproduction génétique, les cellules filles peuvent se dupliquer de manière anarchique : c’est le point de départ de la maladie. Selon une étude de l’American Cancer Society, les cas de cancer risquent de doubler dans le monde avant 2050.
Face ? 7 2 de l’American Cancer Society, les cas de cancer risquent de oubler dans le monde avant 2050. Face à cette maladie, la médecine moderne affiche d’indéniables progrès en termes de statistiques. Cependant, le traitement du cancer restera un grand défi tant qu’il ne sera pas possible de parler de guérison. La recherche s’active pourtant dans toutes les directions : biochimie, biologie moléculaire, génie génétique, etc. De nombreuses thérapies sont appliquées dans les hôpitaux de médecine chimique.
Elle est principalement fondée sur la guérison, son but et de guérir le patient de sa maladie et pour cela les médecins se concentrent principalement sur la maladie en elle-même. Comment les médecins de la médecine dite chimique font pour guérlr le cancer et quels accompagnements proposent-ils à leurs patients ? Les médecins qui s’occupent du traitement du cancer du sein sont soit des cancérologues. Tout d’abord, les médecins définissent le niveau de développement de la maladie selon ces trois critères : la taille et l’infiltration de la tumeur, atteinte ou non des ganglions lymphatiques, présence ou non de métastases.
Il existe cinq niveaux ; qui permettent de définir le stade d’avancement du cancer et ainsi de trouver le traitement le plus approprié au patient. En fonction du niveau du cancer le médecin propose plusieurs solutions de traitements par exemple pour le cancer du sein : -la chirurgie : C’est une opération qui a pour objectif d’enlever les tissus atteints par les cellules cancéreuses. En parallèle à une chirurgie, le traitement peut être suivit d’une radiothérapie ou d’une chimiothérapie. une chirurgie, le traitement peut être suivit d’une radiothérapie ou d’une chimiothérapie. la radiothérapie On a recours à des rayons ou à des particules de haute énergie pour détruire les cellules cancéreuses. plus précisément elle consiste à diriger précisément ces ayonnements (appelés aussi rayons ou radiations) sur la zone ? traiter, tout en préservant le mieux possible les tissus sains et les organes avoisinants, d’ts organes à risque -la chimiothérapie (on a recours à des médicaments anticancéreux (cytotoxiques) pour traiter le cancer) Les médicaments de chimiothérapie agissent sur les mécanismes de la division cellulaire.
Ils sont administrés le plus souvent par perfusion, ou parfois par voie orale sous forme de comprimés. La chimiothérapie permet d’atteindre les cellules cancéreuses quelle que soit leur localisation dans le corps, même si elles sont isolées t ne sont pas détectables par les examens -l’hormonothérapie Certaines tumeurs du sein ont pour caractéristique d’être hormonosensibles, ce qui signifie que les hormones féminines (œstrogènes, progestérone), naturellement produites par l’organisme, stimulent leur croissance.
L’hormonothérapie est un traitement qui consiste à empêcher l’action stimulante des hormones féminines sur les cellules cancéreuses, elle ralentit la croissance et la propagation des cellules cancéreuses du sein en modifiant les taux d’hormones dans le corps ou en empêchant les cellules cancéreuses d’utiliser ‘œstrogène. Après avoir guéri du cancer, les risques de le récupérer sont assez élevés pendant cinq ans. C’est pourquoi les médecins continuent PAGF risques de le récupérer sont assez élevés pendant cinq ans.
Cest pourquoi les médecins continuent à suivre leurs patients après la guérison. Des consultations sont généralement prévues tous les 3 à 6 mois durant les 5 premières années après la guérison puis tous les ans passés les cinq ans. Les médecins prennent également en compte la réadaptation après la maladie. Par exemple, pour le cancer du sein, après une hirurgie de la rééducation peut être nécessaire au niveau du bras et de l’épaule ou encore de la chirurgie esthétique pour redonner la forme initiale au sein de la patiente.
L’utilisation de la chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, thérapie hormonale, entrainent des effets secondaires particulièrement handicapants : perte de cheveux, nausées, éruptions cutanées, douleurs du corps, perte de poids, faiblesse, perte d’appétit, diarrhée, saignements, impuissance. Heureusement, en marge des traitements proposés par la médecine occidentale, de nombreuses recherches ont mis en évidence la relation étroite ui existe entre le mode de vie et le cancer.
Plusieurs résultats de ces travaux ont servi de point de départ à des démarches alternatives cherchant toutes à guérir ce fléau par des moyens plus naturels et moins violents que ceux de la médecine moderne et ces travaux montre une convergence de vue avec les conseils préconisés par l’Ayurvéda, notamment en termes de mode de vie. Les conseils de ces approches alternatives sont nombreux : éviter les excès de sucre, d’alcool, de tabac, d’aliments industriels et de protéines animales. Autres facteurs de risque : le surpoids, le manque d’exercice,