TDABC

essay B

Limites du TDABC 1/ Les limites de l’évaluation du coût de la sous-activité En effet, on pourrait s’interroger sur le niveau normal d’activité auquel il faudrait rapporter les ressources afin de présenter des coûts homogènes. Kaplan et Anderson (2003, 2004) retiennent environ 80 % de la capacité théorique pour les heures de main-d’oeuvre. Ce taux indique un coût de sous activité et donc un signal de gaspillage de capacité et non une mesure de coût d’opportunité Solutions : pour cela, il faudrait s serait possible d’éco 2/ Un modèle fondé p g emplois alternatifs

L’utilisation des heures de main d’œuvre pour la répartition des charges est quasi exclusive dans la méthode TDABC. Ce qui était reproché à la méthode ABC entre autre par Kaplan car elle ne tenait pas compte de l’évolution des technologies de production et processus de création de valeur. Kaplan et Norton, en proposant une l’estimation des taches élémentaires (par des interwiews ou observation directe), n’ont pas tenu compte de la difficulté de la mesure du temps passé dans les prestations de service. En effet, le temps passé à des prestations de service est difficilement esurable.

En effet, il semble difficile pour les entreprises d’arbitrer entre les réels dans la détermination du coût unitaire. Le principe d’homogénéité est bien souvent négligé, l’évaluation du temps n’est pas évidente et le problème d’évaluation du coût de la sous- activité subsiste toujours. l. Limites de la méthode TDABC Bien que la méthode TDABC permette de combler les limites de la méthode ABC avec pour spécificité d’être une méthode simplifiée, moins onéreuse et plus pertinente grâce à l’intégration d’une ?quation sur le temps, celle-ci présente néanmoins certaines insuffisances.

Le problème de l’homogénéité Ce principe suppose que dans un département il doit exister un équilibre entre les activités et les ressources consommées. Beaucoup d’entreprises n’intègrent malheureusement pas cette donnée dans leurs travaux. Aussi, ne pas tenir compte de ce principe peut provoquer des biais et des erreurs lors du calcul des coûts. Le problème d’évaluation du coût de la sous activité L’analyse du coût de la sous-activité ou des capacités inutilisées st importante car elle intervient de manière décisive dans les prises de décisions.

Kaplan et Anderson (2003, 2004) retiennent environ 80 % de la capacité théorique pour les heures de main- d’oeuvre. Cependant, il subsiste le problème de détermination du niveau de l’activité et de la capacité à la prendre en compte. Le problème de l’évaluation du temps L’utilisation des heures de main dœuvre pour la répartition des charges est 2 l’évaluation du temps charges est quasi exclusive dans la méthode TDABC. Elle propose une estimation des taches élémentaires par des interwiews ou bservation directe.

Cependant si cette approche fonctionne ? peu près dans un environnement très industriel (avec une forte proportion de coûts directs), elle n’est point adaptée dans le secteur des services, compte tenu de la difficulté de la mesure du temps passé dans les prestations de service. Ce qui provoque forcement des biais et de nombreuses erreurs dans la mesure du temps. e problème d’arbitrage entre coûts standards ‘coûts réels pour la détermination du coût unitaire Les auteurs de la méthode TDABC préconisent à travers leurs ravaux, l’utilisation du coût standard pour déterminer le coût unitaire du groupe de ressources.

Cependant, il apparait plus pertinent et pragmatique pour bon nombre d’entreprises d’utiliser les coûts réels. Ceci pour plusieurs raisons : Les coûts réels sont plus pertinents que les coûts standards car plus tangibles Il n’est pas nécessaire de faire des prévisions budgétaires au préalable pour utiliser ce modèle, ce qui n’est pas le cas pour les coûts standards Face à toutes ces faiblesses, comment parvenir à rendre fiable les calculs de coûts issus du modèle TDABC ? 3