Sabotages sncf et ultra gauche

essay B

Le plan va se diviser en trois parties : dans un premier temps nous parlerons de l’extrême gauche, puis dans un second de la SANS et enfin nous analyseront à travers les journaux comment est traitée l’histoire. I – l’lutta gauche 1) L’historique Le mouvement autonome est né au début des années 70 dans la lignée du mai 68. l’lutta gauche est un groupe en marge des partis politiques, ces activistes préfèrent l’action premier boy féminin I harpon 18, 2009 11 pages 01 2/08 radicale plutôt que de voter ou faire des actions pacifistes.

Ils sont lutta minoritaire. Les acteurs de la mouvance ‘extrême gauche) » le centre de gravité de l’extrême gauche se déplace vers la gauche. Le parti d’Olivier Besançon va remplacer le Parti Communiste : ceux qui refusent de jouer le jeu se retrouve donc dans ce qu’on peut appeler l’lutta-gauche. Ces militants critiquent le gauchisme et considèrent que les acteurs de la gauche sont trop mous. Pour eux, l’activisme traditionnel ne suffit pas. Ils privilégient dès lors les actions plus violentes qui vont s’apparenter à du sabotage.

Ils sont anti électoralistes : ils ne rentrent pas dans la logique d’un Olivier Besançon et de son Nouveau Parti anticapitaliste car ils refusent ouate idée de parti politique. Ils préfèrent se regrouper par affinités dans des structures décentralisées. Ils sont plutôt dans des actions « contre On va les retrouver dans le combat anti-nucléaire, dans la défense des sans-papiers, ou encore dans les actions contre le contrat premier embauche (CÈPE). Ils rejettent violemment l’état oppresseur et tout ses symboles. Ils font confiance à l’auto organisation du groupe.

Pour Serge cesserons, on ne peut pas parler de terrorisme. Ils sont bel et bien dans une logique de violence et de destructions, comme on vient de le voir avec les lignes SANS, mais ils ne veulent pas l’élimination de personnes physiques. AI seraient actuellement quelques centaines, plutôt jeunes et en pleine radicalisation depuis l’élection de encollais sarraus. 2) Les actions Le groupe de la « mouvance an depuis l’élection de encollais sarraus. Le groupe de la « mouvance anarchie-autonome » d’lutta- gauche a déjà fait parlé de lui. Voici quelques actions depuis 2006.

Pendant les grèves du mouvement contre le CÈPE en 2006 ou contre la LEUR (loi relative aux libertés et responsabilités des universités) en 2007, certain mouvement d’anarchiste autonome sont qualifiés d’lutta gauche. A la mi-juin 2007, des appels anonymes affirmant que des bombes avaient été placées dans des TIGE en Savoie avaient entraîné la saisie de la section intériorisée du parquet de Paris. Aucune bombe n’avait été retrouvée, mais dans une cabine d’où avait été passé un appel, les enquêteurs avaient trouvé une lettre de revendication en italien « en souvenir des Brigades rouges ».

Le 24 janvier 2008, une femme de 24 ans et un homme de 26 ans étaient interpellés à un péage à hauteur de Vierzon (Cher) lors d’un contrôle des douanes. Dans le coffre de leurs véhicules avaient été découverts deux achetés d’un kilo de chlorure de soude. L’DAN de la jeune femme correspondait à une empreinte relevée sur un engin explosif artisanal trouvé sous une voiture de police aux abords du commissariat central du suivisme arrondissement de Paris le 2 mai 2007, à quelques jours du second tour de la présidentielle. ‘années ont été mis en examen après l’incendie d’une voiture contenant trois bouteilles de gaz devant la direction régionale des douanes en novembre 2007. L’incendie n’avait fait ni victime ni dégât matériel. S’ensuit trois mois d’incidents sur la SANS. 17 août, 5 septembre, 10 septembre, 14 septembre, er éventré et 8 novembre. Tous ces incidents sont des arrachements de actionnaires dans différentes régions de France, et donc sur différentes lignes de train. A chaque fois des milliers de voyageurs sont touchés.

Les jeunes gens soupçonnés d’avoir participé au sabotage de lignes SANS sont arrêtés à leurs domiciles à Tarn, en Corrèze, petite commune de 330 habitants, le 11 novembre dernier. Les journalistes se sont emparés de l’affaire, ignorants la présomption d’innocence. Même si Aujourd’hui, il ne subsiste plus aucun soupçon, le vil âge se méfie maintenant des journalistes. Aucune revendication encontre n’ été communiquée. Il -La SANS La SANS, Société National des Chemins de Fer, est l’une des principales entreprises publique française La SANS a été créée le er janvier 1938 par le gouvernement de camp île chahuteuse.

Depuis février 2008, le PIED du groupe est aiguillage pape. Salariés cumulent 200/0 des jours de grève effectués en France 2) La raison des sabotages Le groupe d’lutta gauche, assez minoritaire, a saboté le réseau SANS car ils revendiquent des idées anarchistes, d’autogestion, de refus de l’autorité et de toutes contraintes. C’est pourquoi en touchant le réseau reverrai national, ils visent directement le gouvernement et l’état, qui rappelons -le, est l’actionnaire majoritaire. De plus, l’impacts de leur action sur la population qui se verra couper de transport en commun, sera immédiatement répercuté dans les médias.

L’histoire à travers les journaux il – 1) Libération Nous allons faire une rapide présentation des journaux sachant que les groupes d’avant l’on déjà faites. Donc Libération a été fondé par Jean-Paul Sarthe. Le premier numéro est paru le 18 avril 1973 et est positionné l’extrême gauche à ses débuts, Libération évolue vers la huche socialement démocrate au début des années 1 980, suite au départ de Jean-Paul Sarthe. La diffusion du journal est en moyenne par jour de 140 000 exemplaires papiers, et de 150 000 visiteurs en ligne. Le sujet des anarchie-autonome de l’lutta gauche prend deux pages du journal (page 2 et 3).

Il fait la une du journal ce jour là, ensuite on peut voir une photo qui prend la titre avec un jeu de mot « Raid à grande vitesse contre les pirates du rail ». En rappel l’essentiel des incidents qu’ils ont provoqués. En encadré une dépêche de l’FABLE sur la communauté arrêtée. Ainsi qu’un éditorial écrit par français Sergent le directeur adjoint de la rédaction. Et enfin trois citations . L’une de miches allait-Marie (ministre de l’intérieur) début 2008, d’une publication de la mouvance lutta-gauche au printemps 2008, et de Jean-vies Camus (historien) début 2008. Le er article est de égale Cogné.

Il est jeune journaliste sorti de L’SUJETS (Lille) en 2007. Il est aussi pigiste (journaliste rémunéré à la tâche) pour le figura et rue 89 (quotidien seulement en ligne). égale Cogné, nous raconte l’arrestation ainsi que la façon dont les anarchie autonome ont procédé pour les sabotages qui étaient toujours effectués avec le me procédé. Enfin il a interviewé un criminologue qui nous explique la dangerosité de l’acte qui aurait pu provoquer un déraillement. Le Emme article est de fabricant tasses. Il nous explique que la police les surveillait depuis plusieurs mois avant de les interpelle.

L’affaire était compliquée du au fait que le groupe soit réduit à une dizaine de personnes. Puis il nous raconte les faits qui ont confirmé auprès de la police qui était ce groupe. A la fin tout c’est fait très vite. Une cellule intériorisée à Paris a même été créée. 2) Le Parisien Le Parisien est un journal quotidien régional français été créée. Détenu par le groupe murmura. Le siège et l’imprimerie sont situés à Saint-noue (sein-Saint-dénis). Premier quotidien sur Paris et Île-de-France, il comprend dix éditions départementales.

Le Parisien est décliné sous la forme d’une édition nationale intitulée Aujourd’hui en France. Dès sa création en 1944 par millième murmura (membre éminent de la Résistance), Le Parisien libéré se présente comme un « journal populaire de qualité ». Cependant, malgré des chroniqueurs talentueux, il reste longtemps synonyme de presse de caniveau, sensationnelle, approximative et volontiers populiste. Afin de casser cette image, le 25 janvier 1986, le quotidien change de nom pour devenir Le Parisien. Toutes éditions confondues (Aujourd’hui en France inclus), le titre dépasse aujourd’hui les 600. 00 exemplaires quotidiens. AI s’impose comme le premier quotidien parisien. Aujourd’hui, Le Parisien est un des seuls quotidiens français dont les ventes augmentent, et qui parvient à résister aux journaux gratuits. L’histoire du sabotage prend environ la moitié de la Une, avec sur l’autre moitié une interview de filon. C’est donc un des deux événements les plus importants du 12 novembre. La photo en couleur montre que le journal roter de l’intérêt à l’événement. La photo représente un policier cagoule, embarquant dans une voiture un des suspects qui lui est masqué par un pull.

Bien que cagoule, embarquant dans une voiture un des suspects qui lui est masqué par un pull. Bien que ce fait fasse la Une du journal, il est ensuite relégué à la Emme et Emme page du journal. L’article prend une double page avec beaucoup de petits articles. Les pages sont dominées par deux photos, l’une d’un TUF, et l’autre des policiers qui ont arrêtés les suspects. Le premier article traite de l’histoire en général, ce que l’on retrouve dans les autres journaux. On raconte l’arrestation, on définit le groupe des anarchie autonomes et on exprime le contentement de encollais sarraus sur la rapidité de l’enquête.

S’en suit une interview du porte parole du syndicat SUD-Rail qui donne rapidement son avis sur l’affaire. On a ensuite une autre interview, cette fois-ci celle d’un historien qui a étudié l’extrême gauche. Il décrit le groupe des anarchie-autonomes tel que je vous l’ai décrit dans la erre partie. Dans le petit cadre bleu, on revient sur les différentes actions du groupe d’lutta-gauche que Charlotte a cité. L’article page 9 parle du chef présumé du groupe, jolie Cou pâti. AI est décrit comme un gourou charismatique en mal de reconnaissance. Il était apparemment surveillé depuis plus de 7 mois.

C’est ce que raconte le dernier article. Il retrace l’investigation des policiers de ces 7 derniers mois. C’est après avoir placé jolie coupait sous surveillance que les policiers l’auraient relié à l’affaire des sabotages de la SON sous surveillance que les policiers l’auraient relié à l’affaire des sabotages de la SANS. Il se trouvait en effet près du lieu des sabotages le samedi 8 novembre. Lors de la perquisition on retrouve chez lui des horaires des trains, de ‘outillage pour entretenir les actionnaires, du matériel d’alpinisme et un livre sur comment se conduire en garde vue.