S Quence 1
Groupement de textes : Femmes tragiques L’origine de théâtre et de la tragédie Étymologie théâtre = ce qui est regarder. Ainsi dès son origine il s’agit d’un genre lié au spectacle. Liorigine du théâtre. Tragédie grecque= drame (action qui imite la vie des hommes sur une scène de théâtre). Un chœur présent sur scène Etymologie tragédie cérémonies religieuses tragos (e bouc sacrifié rituellement) org Sni* to vieu du vin et de la fête) Eschyle = tragédien V si cle av.
J-C ur Dionysos (Dieu Sophocle Dedipe Roi Euripide Electie Thème Mythe grecque Aristote (384-322 av J. C) Citation homme vs force qui le dépasse « La tragédie s’efforce le plus souvent de tenir en une seule révolution du soleil » « La tragédie est l’imitation d’une action sérieuse et concrète, complexe, les évènement y sont jouées par des personnages et non raconter en un récit ; enfin elle provoques la pitié et la crainte pièce ?
I – Une scène d’exposition • Présentation du cadre spatio-temporel : La scène se déroule dans les appartements d’Emilie (Didascalie) n dans le palais d’Auguste • Personnage : Nous apprenons a connaître Emilie, qui est sur la scene, que son ère est mort (v2) er qu’elle est amoureuse de Cinna (v18) mais que cette dernière déteste Auguste. • Intrigue : Emilie va essayer de venger son père (v18 et v36) en tuant Auguste. Cette scène d’exposition prend la forme d’un monologue.
Il – un monologue • Dilemme d’Emilie Amour pour Cinna (amour, aimer) = haine contre Auguste (rage, haine, ressentiment, fureur) • Débat intérieur V1 à 8 : Premier mouvement : Emilie recherche un moment de répit afin de savoir où elle en est. Nous pouvons aussi remarquer une rupture du vers 9 avec connecteur « Quand » v9 à 16 : Second mouvement : Elle exprime son désir de engeance contre Auguste. V1 7 à 41 : Troisième mouvement : Son amour pour Cinna reprend le dessus et supplante son désir de vengeance en protégeant Cinna.
V41 à 52 : Quatrième mouvement : Cest finalement la vengeance qui prend le dessus sur l’amour à cause de l’honneur prendra la forme d’un monologue. Cette forme de monologue va être critiquée par la suite. Exercice : Relever et analyser les figures de rhétorique employées dans les vers 1 à 10 de la tirade d’Hermione (Acte V, scène 1, p. 68). Monter comment elles servent à exprimer la fureur et le désespoir d’Hermione. Vers 1 à 2: Gradation Vers 5 : De quel œil il m’a congédiée C] lilote Vers 9 : Antithèse parcours de lecture : Phèdre, Racine p. 9 La tragédie classique I – Un système dramatique précis Inspiré de la Poétique d’Aristote 1- La structure Il y a un déroulement préétabli qui montre une crise en plusieurs temps essentielle . L’exposition, le nœud, (péripétie), (catastrophe), dénouement C Pièce en 5 actes. Acte 1 Exposition : Doit instruire du sujet des circonstances du lieu de la scène et éventuellement l’heure du commencement. Elle donne le nom, l’état et le caractère de tous les personnages principaux.
Corneille : « L’acte auxquelles se limite le plus souvent l’exposition, doit contenir les semences de tous ce qui doit arriver tant pour l’action principal que pour les épisodlques, en sorte qu’il n’entre aucun acteur dans les actes suivant qui ne soit connu par ce premier. » Atte 2 et3 : Dans les actes 2 et 3 1’action se noue Thésée qui a été donné pour mort à fait son retou se prépare, Phèdre accepte sa nourrisse Oenonne calomnie Hyppolite. La catastrophe c’est la mort d’Hyppolite (par un monstre envoyé par Neptune) Le dénouement c’est que Phèdre et Oenonne vont se suicidés. Les règles : A- La règle des trois unités * Unité de temps : La crise doit se dérouler en 24h mais en générale une pièce dure 12h * Unité de lieu : Toute la pièce se déroule dans un seul et même lieu (qui peut-être vaste) * Unité d’action . La pièce doit raconter une seule action, même si deux intérêts peuvent-être mêlés comme l’amour et la politique B- La règle de la Bienséance (z on ne montre pas de scène violente) On ne montre pas au public ce qui peut le choquer (scène sanglante).
Ex : On ne montre pas la mort d’Hyppolite sur scène. C – La distinction des genres La tragédie ne tolère pas les mélanges des genres, la règle est moins stricte pour la comédie – La fatalité tragique PAGF Thésée et accompagné d’Ariane (sœur de Phèdre) qui déroule un fils d’or pour permettre à Thésée de retrouver la sortis. Thésée séduit un homme qui les accepte sur son bateau. Ariane est laissée sur un ile, Naxos, et épouse Phèdre.
Mais Thésée ? un fils avec Antiope dès que Phèdre voit son fils, elle en tombe amoureuse. 2- La machine infernale On peut dire que la tragédie classique est une véritable machine infernale car le héros subit un fait de la fatalité qui se retrouve ans une situation compliqué et inexplicable. Le personnage se débat et lutte afin de modifier son destln. Ce dernier se croyant libre et le spectateur adhérant à cette idée, se retrouve finalement piégé. Le personnage n’a aucune emprise sur l’action qui progresse inexorablement.
Le système est simple : étant donné qu’il n’y a pas de solution autre qu’elle celle qui ‘habite, le personnage La conclusion étant connue d’avance, le spectateur se concentre sur la progression logique de l’action et c’est ainsi que va se produire la catharsis (z purgation des sentiments éprouvé par le pectateur : terreur et pitié) 2 : La robe Phèdre est rouge qui symbolise la passion qui l’anime et symbolise peut-être également le sang (tragédie) sort de Phèdre peut-être la mort dans la tragédie. ?? Contexte : Antiquité • Au bord de la folie, rancunière Photo 3 : Le costume noir de Phèdre symbolise la morte, le deuil (d’Hyppolite). • Cheveux lâchés et détachés qui montre la tristesse du personnage. Le fond noir de la scène semble noyer Phèdre, la capturant comme si cette dernière était prisonnière de son destin.
Concluslon : Toute mise en scène est une interprétation, une relecture du hoix du metteur en scène (peut choisir de mettre en scène une scène de son époque où modernisé) Analyse de mises en scène : Le rôle de l’accessoire dans le Cid 1 – Décrivez la position et l’expression des visages des personnages sur chacune des photographies : Que traduisent- elles ? Photo 1 : Les corps des personnages sont très proches, sans doute dans un combat afin d’attraper l’épée.
Le visage de Chimène semble nous montrer une souffrance alors que celui de Rodrigue montre une obstination de sa part. • Ils sont dans une lutte pour attraper l’épée : cependant il semblerait que sa soit Rod igue qu’il ai. Photo 2 : es personnages sont face à face : Chimène est devant Rodrigue le dominant. Ce dernier est en posture sacrificiel. Leur visage indique le doute, l’hésitation entre amour et honneur. • Chimène tient l’épée dans une osture offensive.
Photo 3 : Rodrieue essais tion de Chimène. l’épée dans une posture offensive. Photo 3 : Rodrigue essais d’attirer l’attention de Chimène. Le visage de cette dernière nous montre de la tristesse hors celui de Rodrigue reste assez fermer. • Rodrigue tient ‘épée mais semble vouloir la transmettre ? Chimène qui tente désespérément de partir. Exercice page 58 : Lexique de l’honneur : honneur, vertu, généreux et courage Lexique de la passion : cher, chère, passion, doux et possession.
Texte 2 : Phèdre, Racine, acte IV scène 6 Phèdre est amoureuse d’Hippolithe, son beau-fils qui au départ de Thésée son époux. partit depuis des mois, cette dernière fait part à sa confidente sa flamme à l’encontre d’Hippolithe qui lui conseille de lui avouer sa flamme car il se pourrait que Thésée soit mort. Mais à l’annonce de cette dernière, Hippolithe la repousse avec horreur hors nous apprenons par la suite le retour de Thésée. Phèdre laisse sa gouvernante accuser a tort, Hippolithe de lui avor falt des avances : Thésée maudit son fils.
Phèdre prlse de remord décide de lui avouer la vérité lorsque cette dernière apprends qu’elle a un rival : Aricie, seul rescapé d’une famille décimé par hésée. V1 à 6 : Phèdre exprime le fait que ses souffrances passées ne sont rien comparé à celle du présent de la jalousie. V7 à 17 : Elle se représente en imagination le bonheur des amants. v 17 à Fin : • Le lexique dominant est le lexique de la tragédie « tourment » : Souffrance moral – « transport » : Mouvement violent de passion q