roman pere goriot
La dérivation parasyntetique, la derivation regressive ace nonb30BaTenq B c006LuecTBeTpL4CTaH,n0XOTmlBblVl c V130J1bA0ü 17. La dérivation parasyntetique, la derivation regressive 43. La dérivation parasynthétique. par la dérivation parasynthé tique on comprend la formation de mots nouveaux par l’adjonction si-,multanée à la base fonnative d’un suffixe et d’un préfixe : appontement pont – «npycTaHb Ha caaqx». empiècement < nage, visiter > visite, grogner > grogne, snober > snob.
Les mots apparus à I ?tre interprétés com L’affixe zéro apparaît significative ; il est al LII orn propre peuvent suffixe zéro. ence est s formants (dans notre cas les suffixes) explicites (ct.. calme – le calme et tendre – tendresse, modeste – modestie, etc. ). En effet, le calme ou le beau est le fait d’être calme ou beau. Donc, la structure de la signification du dérivé est plus complexe que celle du mot générateur ce qui en principe est la condition minimale nécessaire qui signale la présence d’une formation dérivée.
Généralement la for-,me dérivée est plus complexe non seulement quant au sens mais aussi quant à la forme). Notons que ce procédé de formation qui consiste à faire passe Swipe to nex: page passer la forme d’un mot d’une catégorie dans une autre a déj? existé à l’époque reculée de la formation du français sur la base du latin populaire. Souvent les mots passaient d’une catégorie dans une autre à la suite d’une ellipse : un groupe de mots se réduisait à la suite de ‘omission d’un des mots formant ce groupe : le mot qui survivait absorbait le sens du mot disparu : fontana (adj. aqua – eau de source » > fontana > fontaine ; exclusa (adj. ) aqua – « eau d’écluse » exclusa > écluse : forestis (adj. ) sylva – « forêt non entourée de murs » > forestis > forêt : tempus hibemum (adj. ) – « période tempétueuse de l’hiver » > hibemum > hiver. Il y a eu des participes passés qui ont fourni des substantifs, comme par exemple, débitant (de debere – « devoir > dette ; ortum (de torqueré – « tordre » > tort ; fonditam (de fundere – « noyer, fondre ») > fonte : defensam (de defendere – « parer ») > défense.
Certains adverbes du latin classique deviennent des prépositions déjà dans le latin populaire, par exemple : sub – « dessous » sous, foris -« dehors » > hors. Le passage d’un mot d’une partie du discours dans une autre à la suite d’une ellipse est aussi bien fréquent de nos jours une [ville] capita-,le, une [voiture] automobile, un [avlon] supersonique.