Risques Pays
Risques Pays Forces Faiblesses Opportunités Menaces Ralentissement marq En 2014, la croissanc de croissance, la pro ssL , S. wp next page décevante. Les créati e crédit, carburant e source principale ation devrait être s nombreuses. ation, ralentit du fait de la circonspection des banques et des ménages endettés (le service de leur dette représente de leur revenu), confrontés au relèvement des taux d’intérêt. L’investissement est susceptible de pâtir du report de plusieurs grands projets (concessions), sachant que la tenue des élections en octobre2014 plongé les décideurs dans l’expectative.
La construction devrait encore bénéficier du financement public du logement social et de l’achèvement des équipements sportifs. Les exportations profiteront de la reprise des Etats-Unis (11% des exportations) et de la reprise en zone euro (16%) mais souffriront de la récession en Argentine (8%) et de la décélération de la croissance chinoise (17%). Les exportations pétrolières augmenteront avec la mise en exploitation de nouveaux gisements.
Cependant, la stabilisation des prix des matières premières (50% des ventes à l’export avec e fer, le soja, les céréales, le café et le sucre) ne permet pas la dégradation des comptes publics et aux interrogations des investisseurs, un resserrement de la politique budgétaire se profile en 2015 : il devrait intervenir après les élections d’octobre 2014, pour lesquelles la présidente Dilma Rousseff du Partido dos Trabalhadores est encore favorite, bien qu’elle ait perdu du terrain dans les enquêtes en avril-mai, ce qui augmente la probabilité d’un second tour.
Le gouvernement devra toutefois tenir compte des promesses (investissements dans la santé, les ransports publics et l’éducation) faites lors des manifestations de la mi-2013. Les dépenses courantes, l’essentiel du budget, avec les salaires et les allocations sociales indexées sur l’inflation, continuent d’augmenter. En outre, suite à la sécheresse, qui cause une utilisation accrue de centrales thermiques onéreuses au détriment des centrales hydroélectriques, et à un report de la hausse annoncée des prix de l’électricité en 2015, l’Etat devra soutenir le secteur de l’énergie à hauteur d’environ du PIB en 2014.
La politique budgétaire devrait donc être légèrement xpansive en 2014, l’excédent primaire se situant probablement en-deçà de l’objectif gouvernemental de 1,9% du PIB. Ce solde primaire excédentaire permettra cependant de maintenir la dette publique (surtout libellée en réal et dont la part extérieure est faible) stable (67 % du PIB en brut, mais 34% en net). A la différence de la politique budgétaire, la politique monétaire a été mise à contribution (hausse du taux directeur à en avril, soit une hausse de 3,75 points depuis 1 an) pour lutter contre les tensions inflationnistes. _a Banquecentrale est également ntervenue sur le marché des devises afin d’atténuer 2 inflationnistes. La Banquecentrale est également intervenue sur le marché des devises afin d’atténuer la dépréciation du real susceptible de les renforcer : ceci a contribué ? l’appréciation du réal de 8% par rapport au dollar entre février et mai 2014. Cependant, les causes structurelles de l’inflation limitent l’efficacité de cette politique : le taux d’inflation reste proche de 6,5 %, soit la limite supérieure de la zone cible dela Banquecentrale (2,5 % – 6,5 %). Si dans l’immédiat,la
Banquecentrale devrait marquer une pause dans le cycle de hausse des taux, ces pressions inflationnistes plaident pour un nouveau resserrement monétaire en 2015. Des comptes extérieurs solides,une légère reprise des exportations La dépréciation du real en2013 astoppé le creusement du déficit courant, qui restera stable à 3,6 % du PIB en 2014. L’excédent commercial, en diminution depuis 2008, au point de presque disparaître en 2013 du PIB), retrouve des couleurs avec des exportations manufacturières progressivement dynamisées, malgré la faiblesse des exportations vers FArgentine, en écession.
Les échanges de services et de revenus (tourisme, dividendes, intérêts) resteront largement déficitaires. Le déficit courant sera financé à par les investissements directs étrangers, le solde par les investissements étrangers dans la dette brésilienne. Le poids de la dette extérieure atteint 33% du PIB. La part des débiteurs publics (15%) s’est nettement réduite au profit du secteur privé. Son service, ainsi que le déficit courant, sont largement couverts par les réserves de change qui représentent un an et demi d’importations. otentiel de croissance obéré par les carences structurel U 3 et demi d’importations. n potentiel de croissance obéré par les carences structurelles Le Brésil bénéficie de ressources abondantes et d’une industrie diversifiée, mais dont l’exploitation est entravée par le manque d’infrastructures et de main d’œuvre qualifiée, l’interventionnisme étatique et la bureaucratie. Ces facteurs pèsent sur l’offre : les coûts des entreprises augmentent plus rapidement que leur productivité, les contraignant à augmenter leurs prix, au détriment de leur compétitivité.
Des mesures protectionnistes et fiscales ont été adoptées afin de les soulager. La pression fiscale demeure toutefois forte (les dépenses publiques représentent du PIB, une proportion très élevée en Amérique latine). Le ralentissement de la consommation fragilise les industries et le commerce qui en dépendent : électroménager, électronique, automobile, La dépréciation du real en 2013 pèse aussi sur les entreprises dont fendettement en devises s’est accru. ne évaluation des risques géographiques et environnementaux : les risques environnementaux . e paradoxe brésilien : ?? les énergies non fossiles au Brésil fournissent près de de l’énergie du pays – le Brésil est le 4ème émetteur de gaz à effet de serre de la planète ce qui s’explique en partie par une forte déforestation. -> Fort développement des agro carburants — Or cette industrie met en danger la biodiversité en raison de la reconversion des sols en surface cultivée. les risques sanitaires et épidémiques Forte prévention contre les maladies transmises par les piqûres d’insectes tels que le Paludisme (l’Amazonie étant classée en Zone 3 de vigilance), la Dengue (épidémie de Dengue dans 4