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essay A+

Vous répondrez en vous appuyant sur le texte d’éléphants Audet> Puisque le corpus ne contient qu’un seul texte, il est I et sur d’autres ouvres que vous connaissez. I nécessaire d’ajouter d’autres exemples à celui de Audet. ? ?AI s’agit de produire une dissertation littéraire, qui doit être écrite comme un essai. ? Les références au texte résumer premier boy mena pique 19, 2009 7 pages l. .Certains écrivains.. La’ Limiter vos swaps toi vie nixe page texte du corpus sont obligatoires, celles à votre culture littéraire acquise en cours ou non, sont aussi exigées.

Avant de choisir un plan, il faut bien réfléchir sur l’énoncé u sujet. Vous devez vous demander pourquoi des écrivains font le choix de la fiction : ceux-ci n’utilisent pas, pour écrire, des faits qui se sont réellement passés, mais préfèrent inventer de toutes pièces ce qu’ils livrent à leurs lecteurs. S’ils préfèrent inventer des faits ?imaginaires, fictifs, irréels, c’est parce qu’ils estiment que c’est un moyen plus efficace pour transmettre leur message.

Votre travail est donc de comprendre comment la morale et des idées estimées vraies, passent mieux ouillères ont comme support une fiction. Quel plan choisir ? Un plan dialectique : On ne vous demande pas si la fiction art à transmettre des vérités ou des leçons, mais on vous demande d’expliquer pourquoi certains écrivains font le choix de la fiction. Dès lors, il est difficile de choisir un plan dialectique (c’est-à-dire du type : thèse, antithèse, synthèse). On peut cependant envisager la solution suivante : 1. L’écrivain qui donne des leçons de façon directe risque vite d’être ennuyeux.

La fiction est alors un moyen commode de plaire tout en instruisant. 2. Il existe cependant des écrivains qui choisissent de délivrer directement leurs messages en puisant dans la cependant des écrivains qui choisissent de délivrer récemment leurs messages en puisant dans la réalité : ils contraignent leurs lecteurs à voir d’emblée le monde comme il est. 3. Quel que soit son choix, ‘écrivain opère des transformations. Son originalité, son imagination l’emportent, et c’est toujours d’une façon distancée et personnelle qu’il transmet ses idées.

Un plan analytique : Vous pouvez envisager un tel plan : il faut exposer les raisons du choix de la fiction, puis montrer les conséquences d’un tel choix : 1. L’écrivain utilise la fiction pour mieux susciter la curiosité et l’adhésion à ses idées. 2. Le lecteur est contraint d’interpréter la fiction. Il est un lecteur plus actif. 3. La littérature, en se détournant du réel, permet cependant à l’écrivain de dire ce qu’il pense du monde et des hommes.

L’écrivain utilise la fiction pour mieux susciter la curiosité L’écrivain choisit d’utiliser la fiction, car il souhaite d’abord attirer l’attention de son lecteur, susciter sa curiosité, le charmer, afin de l’amener plus facilement à entendre son message. Ioniser dans Les Chaises crée une situation totalement irréelle : un couple de vieillards reçoit des invités, leur râle, alors que e spectateur ne voit que des chaises. Cet effet de surprise, qui peut parle, alors que le spectateur ne voit que des chaises.

Cet effet de surprise, qui peut dérouter le lecteur ou le spectateur, peut aussi permettre à l’écrivain de mieux introduire son message. Les grands discours sont ennuyeux : pour convaincre un lecteur il faut d’abord l’attirer. Une anecdote célèbre depuis l’antiquité rappelle que le grand orateur grec démontrent parlant au peuple de la guerre qui s’annonce, découvre que son public est inattentif. Il change subitement le contenu de son discours et raconte une anecdote à propos d’un âne t de son ombre. Le public l’écoute, alors qu’il s’agit d’un sujet bien futile par rapport au danger imminent…

La Fontaine reprend une histoire analogue dans « Le pouvoir des fables ». Ce titre est très clair : c’est en parlant l’imagination du lecteur qu’on peut le mieux capter son attention. En choisissant la fiction, l’écrivain peut mieux diriger l’esprit de son lecteur. En effet, puisqu’ invente une fable, un conte bâti de toutes pièces, il peut graduellement amener le lecteur à rentrer dans ses idées. Transition On pourrait penser que ces stratégies de l’auteur sont seulement une manière de manipuler le lecteur.

On va se rendre compte que le lecteur a, lui aussi, quelque chose gagner. Deuxième PARTIE Le lecteur est contraint d’interpréter la fiction. Il est un Le lecteur est comme surpris : il pensait lire une pure fictif est un lecteur plus actif. Le lecteur est comme surpris : il pensait lire une pure fiction et voilà qu’il est amené à « décoder » des idées. On lui a fait croire qu’il pourrait s’abandonner au plaisir des « légendes » mais l’auteur lui demande en fait d’être un lecteur très actif.

Il sollicite à la fois son imagination et sa pensée. On peut trouver cela aussi dans un texte poétique qui rend l’allure d’une fiction, comme dans Les Petits poèmes en prose de baudrier : « Le mauvais Vitrier », par exemple, raconte comment le poète se venge brutalement d’un vitrier qui ne lui apporte que du verre blanc alors que le poète voudrait toutes sortes de verres colorés. Au lecteur de décrypter et de comprendre que baudrier veut souligner le désir que l’homme a de s’évader pour ne pas voir la réalité.

Solliciter le lecteur, le rendre plus actif est donc une conséquence du choix de la fiction. La fable, ‘allégorie, le conte ont une puissance d’expansion dans l’esprit du lecteur. Une fois sa lecture achevée, le este continue à interroger le lecteur qui sent bien qu’il doit chercher des significations à un texte aux allures quel fois étrange. Un lecteur du texte de Audet pourra se demander qui sont ces hommes à la cervelle d’or que le monde exploite : est-ce le génie qu’on utilise sans le reconnaître ?

Est-ce un être qui a reçu un don et qui le dilapide dans des actions futiles ? Est-ce celui qui est i un être qui a reçu un don et qui le dilapide dans des Est-ce celui qui est incapable de résister aux sollicitations du désir ? Dans la mesure où l’idée n’est pas explicitée, le lecteur est mené à faire des hypothèses multiples pour saisir le message ou les messages de l’auteur, pour envisager des hypothèses multiples pour comprendre le message, la leçon de l’auteur.

AI garde ainsi une part de liberté. Les leçons ne sont pas assénées mais le lecteur doit les deviner. On s’aperçoit que ces textes qui s’éloignent de la réalité nous ramènent à une interrogation sur la réalité de la vie. Troisième PARTIE La littérature, en se détournant du réel, permet cependant à l’écrivain de dire ce qu’il pense du monde et des hommes. La littérature qui s’éloigne de la réalité par l’imaginaire, la entêtais, permet souvent de mieux cerner le monde.