Rapport de stage BP

essay B

Rapport de stage La Banque Régionale Populaire Fès-Taza Encadré par Mr BENAMAR Mr AMRANI TAKI Bennani Dosse Salm orq5 Sni* to View An Sommaire Remerciements…. Introduction générale….

Réalisé par : 2012 Chapitre : vue d’ensemble sur le secteur bancaire marocain Section 1 : le secteur bancaire marocain Section 2 : la loi bancaire marocaine de 14 février 2006 Chapitre Il : présentation du crédit populaire du Maroc Section 1 : historique Section 2: missions du groupe Section 3 : valeurs du groupe Chapitre Ill : Organisation et structure du CPM Remerciements Avant d’entamer les différentes étapes de ce travail, j’aimerai bien emercier toutes les personnes qui m’ont aidé de près et de loin dans la réalisation de ce rapport, et pour l’accomplissement de mon stage dans les meilleures conditions.

Je tiens à remercier tout particulièrement M. BENAMAR qui a eu la bienveillance de guider mes efforts pour élaborer ce travail et qu , j’espère être à la hauteur de ses espérances. Je tiens aussi à exprimer mes sincères remerciements et ma gratitude envers M. AMRANI TAKI Abderrahim « chef du département Appui Technique et Recouvrement Amiable de la BRR Fès-Taza » pour son accueil, ses consells et ses directifs tout u long la période du stage. e tiens à exprimer mes vifs remerciements à M. BOUBACHIR, de m’avoir accepté en tant que stagiaire au sein de leur entreprise. Enfin, je tiens à témoigner ma reconnaissance et ma gratitude a tout le personnel de la Banque Populaire Fès-Taza, notamment les membres du département MDM et PP en général et particulièrement : Mlle KITAN Ilham, Mme SLAOUI Bouchra, Mlle ALAOUI HASSANI Zineb, Mme BENKIRANE Ouafae et Mme OI_JDGHIRI Ouafae pour leur sympathie. e dédie ce rapport à ma mère et mon père. Introduction En qualité d’entreprise commerciale et dans un monde de lus en plus concurrentiel, la banque doit tout mettre en œuvre pour être rentable, dévelop er une réelle stratégie de marché, respecter les équilibres fin e évoluer les métiers qui PAGF 7 5 d’effectuer un stage au sein de la banque populaire de Fès-Taza pendant une période allant du 01 Juillet 2012 au 31 Juillet 2012. lus largement, ce stage a donc été une opportunité pour moi de découvrir comment une entreprise dans un secteur en plein expansion, avec une concurrence accrue et une évolution très rapide, a pu dépasser ces obstacles pour établir une stratégie par laquelle elle a pu devenir une banque leader au Maroc. L’élaboration de ce rapport a pour principales sources les différents enseignements tirés de la pratique journalière, des taches auxquelles j’étais affecté ainsi que les nombreux entretiens que j’ai pu avoir avec les employés des différents seraices de la banque.

En vue de rendre compte de manière fidèle et analytique des 4 semaines passées au sein de la banque populaire, il apparaît indispensable de présenter à titre préalable l’environnement économique du stage, à savoir le secteur bancaire marocain, puis d’envisager le cadre du stage : banque populaire, la structure et divisions du groupe. Ensuite, il sera a précisé les différentes missions et tâches que j’ai pu effectuer au sein de la direction MDM et les nombreux apports que j’ai pu en tirer, puis j’ai mis fin à mon travail par une concluslon.

L’activité des établissements de crédit présente des risques multiples, c’est pour cette raison qu’apparait l’importance de l’audit au sein de l’établissement bancaire. Il permet de contrôler ces risques et d’évaluer l’activité des services bancaires de manière objective et indé PAGF 3 5 objective et indépendante. Ainsi, Pévaluation du contrôle interne bancaire nécessite une onnaissance profonde de la profession bancaire et de son environnement : activités, cadre règlementaire, risques liés aux opérations bancaires,.

Section 1 : le secteur bancaire marocain . A : les principales banques marocaines : Au Maroc, la forte régulation de secteur bancaire, se politique de gestion du risque ainsi que son intégration limitée au système financier mondial lui ont permis d’être épargné par la crise financière. De plus, l’activité du secteur étant centrée principalement sur les métiers traditionnels de la banque, à savoir l’intermédiation bancaire et le crédit au marché domestique, a rotégé le système des dérives de la finance internationale.

Le secteur bancaire marocain a connu un mouvement de restructuration et de consolidation depuis les années 2000, qui a permis de renforcer la concentration des établissements bancaires, de mettre sur pied des banque publiques qui étaient au bord de la faillite et de donner naissance à des banques nationales capables de développer une dimension internationale. En 2010, le secteur se compose de 9 principales banques dont cinq en bourse. Ces 9 banques peuvent être réparties en trois groupes bancaires compte tenu de la structure de leur actionnariat.

Répartition des banques marocaines 5 Capital, Upline Group, Capital Trust) et les banques offshore (Attijari international Bank, Banque Internationale de Tanger, BMCI Bank off-shore, Chabbi international Bank, SGMB Bank off-shore, BMCE Bank off-shore). 3 : Les différentes catégories d’établissements de crédit . Le secteur bancaire joue un rôle prépondérant dans l’économie marocaine. En effet, il est considéré comme l’un des moteurs du développement de l’économie du pays et de sa prospérité, ce dernier est devenu dans une courte période un secteur moderne et efficace.

Il se partage en quatre catégories d’établissement ?? Les banques de dépôts classiques : parmi lesquelles on trouve les cinq grandes banques privées qui réalisent près des deux tiers de la collecte des dépôts bancaires, à savoir : ATTIJARIWAFA BANK, la Banque Marocaine du commerce Extérieure (BMCE) et les trois filiales françaises, en l’occurrence la SGMB, la BMCI et le CREDIT DU MAROC. • Le Crédit Populaire Du Maroc (CPM): est constitué de la Banque Centrale Populaire (BCP) et son réseau de Banques Populaires Régionales (BPR).

Organisme public particulièrement concerné par la collecte de la petite épargne et la distribution es crédits aux PME, la BCP est devenue une société anonyme en février 2002. Elle est engagée depuis cette date dans un processus de privatisation. Leader historique du secteur jusqu’en 2005 (22,7% de parts de marché), la BCP s’est fait dérober le 1 er rang en 2006 par ATTIJARIWA BANK mais reste incontournable en termes de collecte des dépôts (27,1 % fin 2006). ?? Les anciens organismes financiers spécialisés : dans le financement de secteurs PAGF s 5 Les anciens organismes financiers spécialisés : dans le financement de secteurs d’activités particuliers : il s’agit du Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH), de Crédit Agricole du Maroc (CAM) et de la Banque Nationale pour le Développement Economiques (BNDE), qui viennent d’acheter leur processus de restructuration et d’assainissement : Le CAM, devenue S.

A en 2005 avec prise en charge per l’Etat du soutien aux petites et moyennes exploitations agricoles. La BNDEa été reprise en 2003 par la CAISSE DE DEPOT ET DE GESTION (CDG), établissement public aux missions. Le CIH, devenu S . A à conseil de surveillance et directoire en janvier 2007, est passé sous le contrôle de la CDG. Une prise de particpation par le groupe des CAISSES D4EPARGNE FRANCAISES st en cours. ?? Diverses autres banques : dont la création répond à des besoins spécifiques BANK AL AMAL, pour le financement de projets d’investissement des marocains résidant à l’étranger, MEDIAFINANCE et CASABLANCA FINANCE MARKETS qui interviennent sur le marché des titres négociables de la dette, et le FONDS D’EQUIPEMENT COMMUNAL (FEC) dédie au financement des collectivités locales. Le secteur a connu diverses réformes qui en font aujourd’hui un systeme moderne, adapté aux besoins de la société comme à ceux des entreprises.

Depuis 1993, un certain nombre de mesures ont été prises, et ont introduit d’importants hangements il s’agit en Foccurrence La levée, par les autorités monétaires, de l’encadrement du crédit (qui a été mis en place en 1974) et la libéralisation de l’ensemble des intérêts débiteurs et créditeurs (sauf pour les intérêts appliqués pour les crédits à l’ex 6 5 créditeurs (sauf pour les intérêts appliqués pour les crédits ? l’exploitation et les crédits à moyen terme accordés aux PME).

La diversification des intermédiaires financiers, par la création de deux nouvelle banques, Bank AL Amal et la Banque de Développement des Collectivités Locales. L’adoption de règles prudentielles permettant un contrôle déquat de l’activité bancaire. L’adoption de normes internationales, notamment le ratio « Cook » correspondant à la couverture de l’ensemble des risques bancaires par des fonds propres.

Ces réformes ont permis au système bancaire marocain une plus large ouverture vers l’extérieur, plusieurs banques commerciales marocaines ayant ouvert des succursales à l’étranger. En parallèle, l’année 2006 a été marquée par l’entrée en vigueur de la réforme de la loi bancaire et des statuts de la banque centrale consacrant son autonomie. Il faut ajouter a ceci que le secteur bancaire marocain se aractérise par une forte présence de banques étrangères de ce fait toutes les grandes banques privées du royaume comptent dans leur actionnariat des banques étrangères.

Sectlon 2 : la 101 bancaire marocaine du 14 février 2006 Au Maroc, l’activité bancaire est règlementée par de multiples textes de lois tels que la loi bancaire du 14 février 2006, le code de commerce, la loi régissant la société anonyme, les circulaires de Bank AL Maghreb, les circulaires de l’office de change,…. Nous allons nous focaliser principalement sur la loi bancaire du 14 février 2006 qui décrit d’une façon synthétique et claire les ctivités bancaires. A : présentation La nouvelle loi bancaire marocaine du 14 Février 2006 est venue se substituer à celle de 1993.

L’objectif étan 7 5 marocaine du 14 Février 2006 est venue se substituer à celle de 1993. L’objectif étant de régir le secteur bancaire marocain, en fonction des changements et des évolutions et aussi pour répondre aux mutations profondes que connait le paysage économique et financier. Laquelle loi, vise non seulement le renforcement du contrôle des établissements de crédit, mais aussi la modernisation du secteur bancaire et sa stabilité, la ransparence et le renforcement des déposants, le contrôle et la gestion des risques et enfin le renforcement du système de contrôle de Bank-AL-Maghreb.

Les grands traits abordés par cette loi se répartissent en 6 chapitres : Le champ d’application et le cadre institutionnel des établissements de crédits Les conditions d’octroi, d’exercice et de retrait de l’agrément à ces établissements Les dispositions comptables et prudentielles Le contrôle des établissements de crédit L’administration provisoire et liquidation des établissements de crédit La protection de la clientèle des établissements de crédit

B : champs d’application La loi du 14 février 2006 concerne tout établissement de crédit, qu’il soit une banque ou une société de financement, effectuant des activités principales telles que : La réception des fonds du public, Les opérations de crédit La mise a li dlsposition de la clientèle de tous moyens de paiement ou leur gestion Ou des activités connexes, sous réserve de respecter les dispositions législatives et règlementaires, telles que : Les opérations de change Le conseil et l’assistance e estion de patrimoine 8 5 matière de gestion financière, l’ingénierie financière et, d’une anière générale, tous les services destinés à faciliter la création et le développement des entreprises La présentation au public des opérations d’assurance de personnes, d’assistance et d’assurance-crédit par ailleurs, l’organisation de factivité des établissent de crédit est assurée par un certain nombre de commissions de conseil, associations,…. tels que le conseil national du crédit et de l’épargne, le comité des établissements de crédit, la commission de discipline des établissements de crédit, le Groupement Professionnel des Banques du Maroc et enfin l’association professionnelle des sociétés de financements. Section 1 • Historique Tout a commencé le 25 mai 1926, quand le Dahir portant sur la création du modèle organisationnel de la Banque Populaire a été adopté.

Fondées dès le départ sur les bases de mutualité et de coopération qui font toute leur particularité, les premières Banques Populaires à vocation régionale ont vu le jour dès la fin des années 1920. Avec l’avènement de l’indépendance, la Banque populaire est appelée à devenir le noyau dur de ce qui allait être le système bancaire et financier national. Sa refonte, par le Dahir du 2 février 1961 , s’est traduit par une nouvelle appellation, le crédit Populaire du Maroc (CPM), mais aussi par une réorientation de ses missions, désormais t e développement de PAGF 5 Populaire et une nouvelle instance fédératrice : Le Comité Directeur du CPM. Depuis le groupe a fait bien du chemin sur la voie du développement et de la croissance pour devenir, à la fin des années 1960, le premier réseau du Maroc avec 43 agences.

D’autres étapes ont été franchies par la suite, d’autres défis relevés Quelques dates importantes : 1964 : Inauguration, par feu S. M. le Roi Hassan Il, du siège social de la Banque Centrale Populaire, avenues des F. A. R à Casablanca 972 : Ouverture effective à l’international avec la création de la banque Chaabi Du Maroc (BCDM) à Paris. 1974 : Le groupe devient leader du secteur bancaire national en matière de dépôts. 1976 : Inauguration de la succursale de la BCDM à Bruxelles. La fin d’année 80 : Création des filiales en Centrafrique et en Guinée, des représentations en Côte d’Ivoire, au Canada et en Allemagne. 2000 : Reforme du Crédit Populaire Du Maroc. 2004 : Introduction en bourse de la Banque Central Populaire. 008 : Relèvement de (pour les personnes physique) ? 596 (pour les personnes moral) du plafond de la partlcipation inoritaire dans le capital de la BCPC. 2009 : Participation minoritaire croisée OCP/BCP, en vue de consolider le positionnement des deux groupes sur leurs marchés respectifs ; et prise de participation majoritaire de dans le capital de Maroc Leasing. 2010 : Acquisition par la BCP de participation dans des Banques internationales : British Arab Commercial Bank (Royaume-Unis), Union des Banques Arabes et Françaises et Arab Italian Bank. Section 2. Mission du groupe Le crédit Populaire du Maroc, fidèle à son esprit d’entreprise, s’est fixé comme objectif d’accompagner toutes entreprises moyennes ou p