Rapport de stage
Il y a presque un an jour pour jour, le bras de fer entre Bafetimbi Gomis et l’olympique Lyonnais débutait lorsque l’attaquant du club rhodanien refusait une prolongation proposée par Jean- Michel Aulas. C’était le début d’une guerre ouverte dans laquelle le président lyonnais dégoupillait régulièrement contre son joueur, provoquant une mise à l’écart de deux mois, jusqu’à la fin du marché des transferts. une période qui n’a rien arrangé pour l’OL même si, un an après, fancien stéphanois s’en est xpliqué pour la première fois avec du recul.
Pour Gomis, il était impossible d’accepter une prolongation de contrat, sans augmentation de salaire, et surtout sans garantie d’avoir du temps de jeu. « C’était ni le bon mo chose. Parce que lors e or 2 Sni* to nextggge de me proposer la proposes une augmentation à un joueur, c’est pour le valoriser, le récompenser. Et moi, je n’ai pas senti une récompense. C’était une prolongation aux mêmes conditions. Et puis, vu que Lisandro voulait jouer dans l’axe, je me sus retrouvé sur le banc.
Tu ne vas pas prolonger dans un club si tu ne joues pas, si tu n’as pas de vision à long terme… Sachant qu’à chaque mercato, j’étais aussi susceptible de partir. Je ne sentais donc pas la confiance que parfois d’autres joueurs au club ont eue… Voilà les questions que je me posais a expliqué dans Planète Lyon un Bafetimbi Gomis qui a desormais l’embarras du choix en ce qui concerne sa future destination, qui ne sera bien évidemment pas POL, où la prolongation de contrat n’a jamais été réellement abordée depuis le début de saison.