Projet marketing

essay B

ÉTAPE 1 ANALYSE INTERNE FORCES FAI BLAISSES CIMr Khabir, expert en matière de café connait bien les fournisseurs et les pays exportateurs de café. CIMr Fekkar, le directeur. Il connait bien le marché du chocolat et de la confiserie. 05 représentants expérimentés qui connaissent chacun sa zone OHassan, diplômé d’une grande école agroalimentaire en France. DIJn diplômé d’une grande école de commerce pour la promotion du lancement du cho or 11 Sni* to View DIJne usine de torréfaction dans la zone industrielle de Ain Sebaâ. DExpérience dans le conditionnement dans un équipement ultra sophistiqué

Investisement C180 années d’expérience dans d’un café (arabica) sélectionné de qualité. Ce qui implique une bonne connaissance des fournisseurs et du produit. Mazz a une expérience dans la commercialisation de café donc connait le réseau de distribution. C La recinnnu comme etant un café de qualite projet de promotion du lancement du café moulu CIDivision du pays en cinq (5) zones Association de Hassan (jeune donc dynamique et plein de projet) et de son pere Mr Fekkar (experimenté) DPetite entreprise familliale. Ne peut pas se permettre d’echouer DMr Fekkar investit

CIBudget publiés promotionnel de 2 millions de dirhams seulement ETAPE 2 ETUDE DE L’ENVIRONEMENT 2. 1 L’environnement : 2. 1. 1 Environnement politico-juridique : D’une part l’état fournit de grands efforts afin d’encourager l’investissement et accroître le pouvoir d’achat du consommateur marocaln_ D’autre part l’état exprime une grande volonté d’assurer la garantie de la qualité et de l’innocuité des aliments et la mise en place, en tant que politique nationale, des mesures nécessaires à la protection des consommateurs à travers une législation alimentaire complète et diversifiée.

La réglementation sanitaire des aliments au Maroc ne date pas d’aujourd’hui ; elle a été officlellement mise en place dès les années 1914 (dahir du 14 octobre 1914) et des textes d’application concernant l’étiquetage, la présentation des marchandises, les additifs alimentaires… ) ont été promulgués. En 1914 et 1916 des dahirs spécifi ues respectivement au contrôle sanitaire des animaux et p ux à l’importation et 7 1 et des produits animaux a été publié.

Actuellement l’arsenal juridique marocain en matière de contrôle sanitaire des denrées alimentaires est constitué par e Dahir portant loi no 1-75-291 du 24 Chaoual 1397 (8 octobre 1977) édictant des mesures relatives à l’inspection sanitaire et qualitative des animaux vivants et denrées animales et d’origine animale (qui a abrogé le dahir susmentionné de 1919) et la Loi no 13-83 relative à la répression des fraudes sur les marchandises, promulguée par dahir no 1-83-108 du 9 moharrem 1405 (5 octobre 1984) qui a remplacé le dahir du 14 octobre 1914 précité.

Sur la base de ces textes plusieurs textes d’application sectoriels ont été promulgués et ont concerné le lait et produits laitiers, les produits e charcuterie, les aliments de bétail, les additifs alimentaires, l’étiquetage, la durabilité, le transport des denrées périssables… En ce qui concerne le contrôle à l’importation et à l’exportation, ils sont régis par la oi 24-89 édictant des mesures de police sanitaire à l’importation d’animaux, de denrées animales, de produits d’origine animale et de produits de la mer et d’eau douce.

Ce texte a actualisé et a abrogé le dahir du 14 juillet 1914 susmentionné. Sur la base de ce texte le Maroc a pris plusieurs mesures réglementaires interdisant l’importation des nmaux vlvants et des denrées alimentaires provenant de pays contaminés ou lorsqu’il y a risque sanitaire et en absence de données scientifiques crédibles (ESB, OGM, Dioxine… ) En cas d’absence de référence réglementaire, les mesures aux postes frontières s’inspirent des références réglementaires reconnues dans le cadre des accords internationaux (codex, OMC, OIE… Les PAGF30F11 références réglementaires reconnues dans le cadre des accords internationaux (codex, OMC, OIE… ) Les mesures prises par les autorités sanitaires centrales sont exécutées par les Dlrections du Contrôle et de la Qualité aux ostes frontières (Trois Directions à Casablanca (90% du trafic), à Agadir et à Tanger. D’autres services de contrôle sont chargés au niveau des aéroports, ports et postes frontaliers terrestres, ouverts à l’importation et à l’exportation.

Hormis la sécurité alimentaire, la législation marocaine se prononce aussi sur la liberté des prix. La loi 06. 99 porte sur la libéralisation des prix et sur la concurrence. Cette loi vise ? libéraliser les prix des biens, produits et services de manière ? ce qu’ils soient issus du jeu de la libre concurrence. Cependant, es prix peuvent être fixés temporairement par l’état en raison d’obstacles structurels ou légaux empêchant la concurrence exercer son rôle régulateur.

L’Etat peut intervenir aussi pour empêcher une augmentation ou baisse excessive du prix d’un bien d’avoir des répercussions négatives sur le marché (crise d’approvisionnement, sécheresse, inondation ou encore pénurie du produit. Quant au droit de la concurrence, il vise à éviter la commission d’abus, à protéger les consommateurs et à maintenir une concurrence loyale entre professionnels. En principe, tous les agents économiques peuvent user de ous les moyens propres à attirer ou à retenir une clientèle.

Cependant, ils ne peuvent avoir recours à des procédés déloyaux. D’une manière générale, une pratique est considérée comme telle si elle consiste en des manœuvres effectués dans l’unique but de détourner la clientèle d’un concurre PAGFd0F11 consiste en des manœuvres effectués dans l’unique but de détourner la clientèle d’un concurrent. 2. 1. 2 L’environnement international : Caractéristiques générales de la production Les fèves de cacao sont produites dans les grandes plantations et les petites fermes familiales.

Elles emploient 14 millions de travailleurs rémunérés entre 30 et 100 $ mensuellement. Les fèves sont vendues 0,40$/livre par les producteurs. Les petits producteurs n’ont pas de contrôle sur le prix des fèves de cacao. Dans les pays producteurs, le commerce des fèves est tenu par des intermédiaires qui fixent eux-mêmes le prix des fèves, appelés «coyottes» dans certains pays et «traiteur» dans d’autres, ils achètent les fèves au prix le plus bas et les revendent aux exportateurs qui les vendent au prix du marché, fixé par la Bourse de Londres.

Les exportateurs les vendent aux entreprises e transformation qui contrôlent les cours du marché et achètent et vendent aux moments les plus avantageux pour eux. Le marché mondial du chocolat représente 3 milliards de dollars/ 5 entreprises multinationales contrôlent du commerce mondial du cacao dont Callebaut, ADM cocoa, et Cargill. En 2005, l’exportation des fèves de cacao représentait 2,97 millions de tonnes, de la production mondiale car le Brésil et la Malaisie transforment sur place. 5 multinationales occidentales contrôlent 7096 de la transformation, les trois précédemment citées plus Nestlé et Hamester. marché du chocolat est entre les mains de 6 multinationales ; 3 sont a ars, Philip Morris PAGFSOFII Jacobs, Milka, Suchard, Côte d’or) et Hershey, 3 sont européennes : Nestlé qui est suisse, Cadburry Schweppes qui est britannique et Ferrero, italienne. Production mondiale de cacao en 2006 (source FAO) Côte d’Ivoire 34,596 1 400 000 Ghana 734000 t Indonésie 580 000 t Nigeria 485 000 t Brésil 199 000 t Cameroun 164 t Equateur 93 659 t Togo 73 000 t Papouasie Nouvelle Guinée 38 153 t Mexique Autres pays 6 1 l’investissement intérieur.

Bien plus, les taux d’intérêts réels sont en baisse. Ils ont passé de en 1997 à 6% en 2004. La BM ajoute aussi que les entreprises n’ont pas de difficultés pour s’emprunter auprès des banques. pour elle, seules des demandes de crédit sont rejetées par les banques. Les infrastructures, elles-aussi, ne représentent plus un facteur de blocage à l’investissement. Leur niveau est considéré même meilleur que dans beaucoup d’autres pays de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord).

Le seul point « noir » soulevé est le coût élevé de la logistique au Maroc. Elle en ressort que ce système est largement déséquilibré avec es impôts directs rapportant plus que les impôts indirects. Chiffres à l’appui, l’IS et l’IGR ont rapporté 36 milliards de dirhams en 2004 contre seulement 34 milliards de dirhams pour les impôts indirects, dont 25 milliards de dirhams au titre de la TVA En économie de marché, ça doit être l’inverse.

Dans le même registre, il est considéré que les taux appliqués pour les impôts directs sont trop élevés. L’IGR appliqué au Maroc est parmi les 20 plus élevés du monde. La politique de change est aussi pointée du doigt. La BM suggère l’instauration d’un taux de change plus flexible, c’est-à-dire faire es ajustements nécessaires le plus souvent. L’objectif est, bien entendu, d’essayer de dynamiser le commerce extérieur. Ce sont là quelques facteurs qui entravent la croissance au Maroc.

Ce qu’il faut, pour la Banque Mondiale, c’est d’élaborer un pacte national pour la croissance et l’emploi. Le but est de diversifier la production industrielle au Maroc et d’inciter le secteur privé à investir davantage et sur PAGF70F11 secteur privé à investir davantage et surtout dans les secteurs ? forte valeur ajoutée. Envlronnement financier Le Maroc s’est engagé à libéraliser un certain nombre de services ancaires et autres services financiers sans aucune limitation en ce qui concerne la présence commerciale.

Le secteur des assurances a été assaini, par la liquidation de certaines societés, et la mise en place d’un plan de redressement pour celles en difficultés. Un nouveau Code des assurances a été publié en octobre 2002. La présence commerciale en ce qui concerne les services d’assurance est condltlonnée par l’établissement d’un siège social sur le territoire marocain. Les capacités institutionnelles de la Direction de la Supervision des Assurances du Ministère des Finances et de la Privatisation ont ?té renforcées.

Dans le cadre de la nouvelle loi bancaire, cette direction fera partie de la commission jointe de supervision du secteur financier. En ce qui concerne les valeurs mobilières, la Bourse de Casablanca poursuit systématiquement ses efforts de modernisation. Elle est par sa technicité et sa supervision performantes. Les nouveaux textes légis atifs concernant le renforcement de l’organe de contrôle et la transparence dans le fonctionnement du secteur financier pourrait redonner confiance et aider au développement de ce marché.

La bourse reste, toutefois, caractérisée par la concentration de sa capitalisation, insi que par le manque de papiers nouveaux, de liquidité et de profondeur. « Au niveau mondial, le secteur se défend correctement, alors que sur le marché local, il est fortement perturbé », indique Ha B1 correctement, alors que sur le marché local, il est fortement perturbé », indique Hakim Marrakchi, président de l’AB2C (association des biscuitiers, chocolatiers et confiseurs).

En effet, sur le plan national, le secteur est soumis à une concurrence déloyale très vive. A l’instar des autres industries de transformation, l’activité se dit plombée par l’informel, la ontrebande et la sous-facturation, d’un côté. Et de l’autre, l’accord de libre-échange conclu récemment avec les pays arabes, notamment l’Egypte, la Jordanie et la Turquie, fait que le chocolat importé de ces contrées se commercialise à un prix beaucoup moins cher par rapport au produit local.

Par conséquent, la part de marché des producteurs locaux a enregistré une forte baisse depuis 2001 atteignant ainsi près de 70%. Les prix sont grevés par les droits de douane appliqués sur les achats de matières premières. Alors que les produits finis des concurrents entrent ibrement sur le marché marocain, sans avoir à s’acquitter de taxes, dans le cadre des accords conclus avec le Royaume. Pour Marrakchi, « il est essentiel de procéder rapidement ? l’alignement des droits à l’import appliqués au Maroc sur ceux des pays exportateurs ».

Ceci permettra de renforcer la position du produit marocain sur le marché local. En revanche, sur le plan international, le chocolat marocain défend bien ses couleurs. « Considéré de bonne qualité, il arrive à se tailler une part de marché conséquente dans les pays importateurs », indique Marrakchi. De plus, ajoute-t-il, la grande ajorité des entreprises marocaines répondent aux normes internationales en termes de qualité puisqu’elles ont fait l’objet d’une certification. La produ PAG » 1 d’une certification.

La production à l’export est essentiellement dirigée vers certains pays de l’Union européenne, plus précisément l’Allemagne et la Belgique. Sans oublier quelques pays du Maghreb tels que l’Algérie. Cependant, le prix du produit fini à l’export va en augmentant. Cela est dû au coût des matières premières entrant dans la fabrication du chocolat, tels que le cacao, les produits chimiques ou encore l’emballage. D’ailleurs, le chiffre d’affaires à l’export reste encore peu significatif, représentant moins de 3% de la production totale.

Sur un montant global de plus de 2 milliards de DH en 2003, les exportations, en croissance régulière, selon Marrakchi, ne sont que de l’ordre de 80 millions de OH. Mais l’avenir semble prometteur. En effet, l’accord d’association signé avec l’UE et l’ouverture sur le marché américain élargiront le champ d’intervention des opérateurs de ce secteur et donneront lieu ? la naissance de nouveaux débouchés. « Pour suivre l’évolution, le secteur doit impérativement opérer sa mue », souligne le résident de l’association.

Pouvoir le faire suppose dans un premier temps de lourds investissements. Et pour 2003, ils n’ont pas dépassé une moyenne de 60 millions de DH. Côté consommation, le Maroc fait figure de petit Poucet avec ses 300 grammes par habitant et par an face aux 7 kg que dégustent les Français annuellement. « Même avec une politique de démocratisation du chocolat, et des prix de plus en plus accessibles, la consommation moyenne demeure très faible », rappelle Amine Berrada, vice-président de l’AB2C. Pourtant, les chocolatiers marocains ne lésinent 11