Percy jackson tome
Ce n’est qu’une visite d’orientation. Et n’oublie pas que c’est l’école de Paul, mon chéri. Alors essaie de ne pas… Enfin, tu vois. – La démolir ? – Oui. Paul Blois, le copain de ma mère, se tenait sur le pas de la porte pour accueillir les futurs élèves de troisième. Avec ses cheveux poivre et sel, son jean et son blouson de cuir, il me faisait penser à un acteur de télévision, mais c’était juste un prof d’anglais. AI était arrivé à convaincre le collège de me prendre en classe de troisième, bien que je me sois fait systématiquement renvoyer de toutes les écoles où j’étais allé.
J’avais essayé de lui expliquer que c’était une mauvaise idée ; il n’avait rien voulu entendre. Je me suis perce Ajaccio tome 4: la bataille du labyrinthe premier boy sérancer amputa 23, 2011 432 pages swaps toi vie nixe page tourné vers maman. – Tu lui as pas dit la vérité sur moi, j’espère ? Elle a tambouriné sur le volant du bout des doigts. Elle s’était mise sur son trente et un pour un entretien de boulon : sa jolie robe bleue et des talons hauts. -J’ai pensé qu’il valait mieux attendre, a-t-elle reconnu. – Pour ne pas le faire fuir. -J e suis sûre que l’orientation va inné se passer, perce.
Ce n’est qu’une matinée. – Super, ai-je grommeler. Je vais pouvoir me faire virer avant de commencer l’année scolaire. – Sois positif. Demain, tu pars à la colonie ! Après l’orientation, tu as ton rendez-vous galant… – Galant ! N’importe quoi ! Ai-je protesté. Ces juste nabote, m’man ! – Elle fait toute la trotte depuis la colonie pour te voir. – huais, bon. – Vous allez au cène. – huais. – Rien que tous les deux. – Ma-man !! Elle a écarté les mains pour dire qu’elle abandonnait la partie, mais je voyais bien qu’elle se retenait de rire. Tu devrais y aller, on chéri, a-t-elle dit alors. Tu me raconteras ce soir. Au moment où j’allais sortir de la voiture, j’ai jeté un coup d’?il vers le perron de l’école. Paul Blois souhaitait la bienvenue à une fille en été-short bordeaux et jean élimé, couvert de traits de marqueur. Elle avait les cheveux roux et frisés. Houillères a tourné la tête, j’ai entrevu son visage et ça ma donné la chair de poule. – perce, qu’est-ce qui se passe ? Ai demandé maman. – Rien rien, ai-je bafouilla demandé maman. – Rien rien, ai-je bafouillé. Tu sais pas s’il ha une autre entrée ? Un peu plus loin sur la droite, urique ? – À ce soir, alors. Ma mère allait ajouter quelque chose, mais je suis sorti de la voiture et j’ai filé comme une flèche, en espérant que la fille aux cheveux roux ne me verrait pas. Qu’est-ce qu’elle fabriquait ici ? Même moi, je ne pouvais pas avoir une poisse pareille. Justement si, et pire encore, comme je n’allais pas tarder à le découvrir. Mon idée était de faire une entrée discrète, mais j’ai dû y renoncer : deux pomme-pomme girls en uniforme blanc et violet étaient embusquées devant l’entrée latérale pour coincer les nouveaux. Salut ! M’ont-elles lancé avec un grand rouerie, et je me suis dit que c’était la première et sans doute dernière fois que des pomme-pomme girls me faisaient un accueil aussi chaleureux. L’une était blonde aux yeux bleu métallique. L’autre fronceraient, avec des cheveux noirs frisés dignes de Méduse et croyez-moi, je sais de quoi je parle. Elles avaient toutes les deux leur nom brodé sur leur uniforme, mais dyslexique comme je le suis, j’avais l’impression d’essayer de lire des spaghettis. – Bienvenue goûté, a dit la blonde. Tu vas a-do-réer !
Elle ma toisé de la tête aux pieds, d’un regard qui signifiait plutôt : « C’est qui, e léser ? » cautère fille s’est approchée de moi, beaucoup signifiait plutôt : « Ces qui, ce léser ? » L’autre fille s’est approchée de moi, beaucoup trop à mon goût. Je me suis concentré sur es lettres brodées sur son uniforme et suis arrivé à déchiffrer son nom : celle. Elle dégageait un parfum de rose, plus une autre odeur que je reconnaissais pour l’avoir sentie à mes cours d’équitation à la col : celle d’un cheval qu’on vient de bouchonner. Un peu bizarre, pour une pomme-pomme girl.
Enfin, peut-être qu’elle avait un cheval, après tout? Elle était si près de moi que j’ai eu l’impression elle voulait me pousser au bas des marches. – Comment tu t’appelles, tête de veau ? – Tête de veau ? – Tête de nouveau. – eue, perce. Les filles ont échangé un regard. -Ah, perce Ajaccio, a fait alors la blonde. On t’attendait. Un frisson glacé ma parcouru l’échine. À elles deux, elles me barraient le passage, et leurs sourires n’étaient pas des plus bienveillants. Instinctivement, ma main s’est glissée dans ma poche pour saisir Turbulence, mon stylo-bille mortel. Ce moment-là, quelqu’un ma appelé de l’intérieur du bâtiment : – perce ? Citait Paul Blois, quelque part dans le couloir. Je n’avais jamais été aussi heureux d’entendre sa voix. Les pomme-pomme girls ont aussitôt battu en retraite. Je me suis rué l’intérieur et, dans ma hâte, j’ai bousculé celle sans le vouloir. Gang, a fait mon genou contre sa cuisse. Celle-ci sonnait creux, avec un tintement métallisé creux, avec un tintement métallique, comme un mât de drapeau. – Aie, a-t-elle grommeler. Fais attention, tête de veau. J’ai baissé les yeux : sa jambe avait l’air parfaitement normale.
Trop horrifié pour poser des questions, je me suis engouffré dans le couloir sous les ricanements des pomme- pomme girls. – Te voilà ! ‘est écrié Paul. Bienvenue à goûté ! – Salut Paul… Eue, monsieur Blois. J’ai jeté un coup d’?il en arrière, mais les pomme-pomme girls bizarres avaient disparu. – perce, on dirait que tu as vu un fantôme. – bien, Eue… Paul ma donné une petite tape dans le dos. – Écoute, je sais que tu es inquiet, ma-t-il dit, mais rassurerai. Nous avons beaucoup d’élèves qui souffrent de dyslexie, de déficit de l’attention et d’hyperémotivité. Les prof savent comment les aider.
J’en aurais presque ri. Si seulement la dyslexie et le HÂTA Trouble Déficit de l’Attention/père activité – étaient mes seuls soucis ! Paul avait de bonnes intentions, je le savais, mais si je lui révélais la vérité à mon sujet, soit il me prendrait pour un fou, soit il partirait en hurlant. Ces pomme- pomme girls, par exemple. Mon intuition me disait qu’elles allaient me causer des ennuis… J’ai tourné la tête vers le bout du couloir et je me suis alors souvenu que j’avais un autre problème. La rousse que j’avais vue sur le perron de l’école venait d’entrer dans l’école venait d’entrer dans le vestibule principal.
Faites qu’elle ne me remarque pas, ai-je prié. Elle ma remarqué. Et elle a écarquillé les yeux. – C’est où, l’orientation ? i-je demandé à Paul. – Au gymnase. Par là. Mais… – Merci. – perce? Ai lancé Paul, dans mon dos car je courais déjà. J’ai cru que je l’avais semée. Un groupe de jeunes se dirigeait vers le gymnase et je me suis vite fondu parmi les trois cents adossa entassés dans les gradins. Un orchestre défilait en jouant un chant de combat strident, genre concert de chats de gouttière hurlant à la lune.
Des élèves plus âgés, sans doute des délégués de classe, occupaient le devant de la salle en arborant fièrement l’uniforme du collège ; ils avaient vraiment l’air de se la jouer. Des professeurs, tout sourire, allaient et niaient en serrant les mains des élèves. Les murs du gymnase étaient tapissés de grandes bannières blanc et violet qui annonçaient BIENVENUE, FUTURS NOUVEAUX ÉLÈVES ! GOÛTÉ C’EST COL ! NOUS SOMMES UNE GRANDE FAMILLE ! Et autres slogans dégoulinant de bonheur qui me donnaient franchement mal au c?Ur.
Aucun des autres nouveaux n’avait l’air emballé d’être là, d’ailleurs. On les comprend : qui aurait envie de suivre une session d’orientation en juin alors que la rentrée n’est qu’en septembre ? Mais à goûté, comme dit la brochure, « l’excellence se prépare en âme n’est qu’en septembre ? Mais à goûté, comme dit la brochure, « l’excellence se prépare en amont ! ». L’orchestre s’est tu. Un type en costume à fines rayures a pris le micro, mais ses paroles résonnaient avec un tel écho dans le gymnase que je n’en comprenais pas un seul mot. Quelqu’un ma attrapé par l’épaule. Qu’est-ce que tu fais là ? Citait elle : mon cauchemar aux cheveux roux. – arraché élisaient dard, ai-je dit. Elle en est restée bouche bée, l’air de trouver que je ne manquais pas de culot de me souvenir de son nom. – Et tu es perce quelque chose. Je n’ai pas compris ton nom de famille l’année dernière, quand tu as essaye de me tuer. – Écoute, je n’ai pas… Je ne… Et toi, qu’est-ce que tu fais là ? – Pareil que toi, j’imagine. La session d’orientation. – Tu habites à née Y ? Rock – Tu croyais que j’habitais au barrage verve ? Ça ne m’était jamais venu à l’idée.
Quand je pensais à elle (ce qui ne signifie pas que je pensais à elle, son image apparaissait de temps en temps dans mes pensées, c’est tout, on est bien clair ? ), je la voyais toujours vivant dans la région du barrage verve, rien que parce qu’on s’était rencontrés là-bas. On avait passé ensemble une dizaine de minutes, au cours séquelles j’avais failli lui donner un coup d’épée par erreur, elle m’avait sauvé la vie et j’avais pris la fuite, poursuivi par une meute de machines à tuer surnaturelles. Une rencontre de hasard, en son fuite, poursuivi par une meute de machines à tuer surnaturelles.
Une rencontre de hasard, en somme. Derrière nous, un type a chuchoté : – La ferme, vous deux. Les pomme-pomme girls parlent ! – Bonjour à tous ! Ai babiole une fille au micro. (Citait la blonde que j’avais vue à l’entrée. ) Je m’appelle tamis, et voici celle. Comme pour ponctuer, celle a fait la roue. arraché, à côté de moi, a glapir comme si on naît de lui enfoncer une épingle dans le dos. Quelques gamins se sont retournés en récriant, mais arraché a continué de fixer les pomme-pomme girls d’un regard terrifié. tamis n’avait rien remarqué, apparemment.
Elle s’est mise à nous décrire les multiples façons dont nous pourrions nous investir dans notre année de troisième. – Sauve-toi, ma glissé arraché. Tout de suite. – Pourquoi ? Pour toute réponse, arraché s’est frayé un chemin vers le bout de la rangée en ignorant les froncements de sourcils des prof et les grognements des élèves dont elle écrasait les pieds. J’ai hésité. tamis expliquait qu’on allait se répartir en petits groupes pour visiter l’école. celle a croisé mon regard et ma gratifié d’un sourire amusé, comme si elle attendait de voir ce que j’allais faire.
Si je partais maintenant, ça ferait mauvais effet. Paul Blois était en bas, avec tous les autres prof. AI se demanderait ce qui se passait. Et puis j’ai pensé à arraché élisaient dard et au don particulier qu’elle avait manifesté passait. Et puis j’ai pensé à arraché élisaient dard et au don particulier qu’elle avait manifesté l’année dernière au barrage verve. Elle avait repéré un groupe de vigiles qui ‘étaient pas de vrais vigiles, qui n’étaient en fait même pas humains. Le cure battant à se rompre, je me suis levé et je suis sorti du gymnase.
J’ai retrouvé arraché dans la salle d’orchestre. Elle était cachée derrière une grosse caisse, parmi les percussions. – Viens là ! ma-t-elle lancé. Baisse la tête ! Je me sentais un peu bête, à me tapir derrière des bonbons, mais je me suis quand même accroupir à ses côtés. – Elles t’ont suivi ? – Tu veux dire les pomme-pomme girls ? arraché a hoché la tête, l’air inquiète. -Je crois pas, ai-je répondu. C’est qui, ces filles? Qu’est-ce que t’as vu ? La peur faisait ruiler ses yeux verts. Elle avait le visage constellé de taches de rousseur, ça ma fait penser à une pluie d’étoiles.