Pascal

essay B

Pascal a écrit des textes importants sur la méthode scientifique. Mathématicien de premier ordre, il crée deux nouveaux champs de recherche majeurs : tout d’abord il publie un traité de géométrie projectile à seize ans ; ensuite il correspond, à partir de 1654, avec Pierre de fermant propos de la théorie des probabilités, qui influencera fortement les théories économiques modernes et les sciences sociales. Après une expérience mystique à la fin de 1654, il délaisse les mathématiques et la physique et se consacre à la réflexion philosophique et religieuse.

Il écrit pendant cette période les Provinciales et les Pensées, ces dernières ‘étant publiées qu’après sa mort qui survient deux mois après son eue anniversaire, alors qu’il a été malade toute sa vie (sujet à des migraines violentes en particulier). Biographie [modifier] premier boy Sarraut horripila 06, 2009 26 pages naturelles et appliquées. AI contribue de manière Né à colleront, en Auvergne, balais Pascal perd sa mère, annotaient bégonia, à l’âge de trot trois ans.

Son père, tienne Pascal (1588-1651) très intéressé par les mathématiques et les sciences, était un juge local et membre de la petite noblesse. balais Pascal avait deux s?ours, jacquerie, née en 1625, et guilleret (née n 1620, mariée en 1641 à Florin prier) qui lui survécut. En 1631, tienne se rend avec ses enfants à Paris. Il décide d’éduquer lui-même son fils qui montrait des dispositions mentales et intellectuelles extraordinaires.

En effet très tôt, balais a une capacité immédiate pour les mathématiques et la science, peut-être inspiré par les conversations fréquentes de son père avec les principaux savants de l’époque : arborera, marronnes, désagrège, endorme, agissent et dessertes. À onze ans, il compose un court Traité des sons des corps vibrants et aurait démontré la eue proposition du hier livre ‘calculé (concernant la somme des angles d’un triangle)l . tienne réagit en interdisant à son fils toute poursuite de ses études en mathématiques jusqu’ quinze ans, afin qu’il puisse étudier le latin et le grec.

Sainte-bévue (dans son Port-Royal, AI, p. 484) raconte : « Je n’ai rien à dire des éléments de géométrie, si ce n’est que Pascal, qui les avait lus en manuscrit, les jugea si clairs et si bien ordonnés, qu’il jeta au feu, dit-on, un essai d’éléments qu’il avait fait lui-même d’après calculé, et qu’arnaquer avait jugé confus ; c’est même ce qui avait ‘abord donné à arnaquer l’idée de composer son essai : Pascal le défia en riant de faire mieux, et le docteur, à son premier loisir, t composer son essai : Pascal le défia en riant de faire mieux, et le docteur, à son premier loisir, tint et gagna la gageure. À douze ans (1 635), il commence à travailler seul sur la géométrie. Le travail de désagrège l’intéressa particulièrement et lui inspira, à seize ans, un traité sur les sections coniques : Essai sur les coniques. La majeure partie en est perdue mais un résultat essentiel et original en reste sous le nom de théorème de Pascal. Le travail de Pascal était si précoce que dessertes, quand il a vu le manuscrit, croyait qu’il était de son père.

En 1638, tienne, opposé aux dispositions fiscales du Cardinal de recueilli, quitte Paris avec sa famille pour échapper à la Bastille. Lorsque jacquerie, s?Ur de balais, dit un compliment particulièrement bien tourné devant recueilli, tienne obtient sa grâce. En 1639, la famille s’installe à Rouen où tienne devient commissaire délégué par le Roi pour l’impôt et la levée des tailles. A dix-huit ans (1 641), Pascal construit la pascale, machine à calculer capable d’effectuer des additions et des structurations afin d’aider son père dans son travail.

Il en écrit le mode d’emploi : Avis nécessaire à ceux qui auront la curiosité de voir ladite machine et s’en servir. Plusieurs exemplaires sont conservés, en France, au Musée des Arts et Métiers à Paris et au musée de colleront-ferrade. Bien que ce soit le tout début du calcul mécanique, ce fut un échec commercial à cause de son coût élevé (100 livres). Pascal améliorera la conception de la mach à cause de son coût élevé (1 00 livres).

Pascal améliorera la conception de la machine pendant encore dix années et en instruira une cinquantaine d’exemplaires. Conversion religieuse [modifier] jaunisse D’un point de vue biographique, deux influences de base le guident vers sa conversion : le jansénisme et la maladie. En 1646, le père de Pascal s’est démis la cuisse en tombant sur la glace, il est soigné par deux médecins jansénistes (La bouteille et descendes), disciples de Jean déverguer de rouanne (abbé de Saint-écran) qui introduisit le jansénisme en France.

balais parle fréquemment avec eux durant les trois mois du traitement de son père, il leur emprunte des livres d’auteurs jansénistes, en particulier enthousiasme par le Discours de la réaffirmation de l’homme intérieur écrit par corneille jantes en 1 628, dont il ressort si vivement marqué qu’il communique son admiration à ses proches, certains affirmant donc que ce fut là la date de sa « première conversion ».

Il découvre que marcher sur les traces de copierai et de égaille pour libérer la physique du poids mort d’aristocrate et de la sciatique n’est que la démarche d’une vaine raison, impliquée dans la souillure de l’humanité tout entière, et que tout ce génie qui bouillonne en lui ne le conduit qua le divertir d’une révélation terrible et rédemptrice. Que signifie un savoir qui ne jette pas l’homme au pied de la Croix ?

Dans cette période, Pascal vit une sorte de « première conversion » et commence, au cours de cette année, d’écrire sur des Pascal vit une sorte de « première conversion » et commence, au cours de cette année, d’écrire sur des sujets théologiques. Toute sa famille se met à « goûter Dieu » avec lui. Dès sa dix-huitième année, il subit un mal nerveux qui le laisse rarement un jour sans souffrance. En 1647, une attaque de paralysie l’atteint au point qu’il ne peut plus se mouvoir sans béquilles.

Il a mal à la tête, des maux de entre, ses jambes et ses pieds sont continuellement froids et demandent des soins pour activer la circulation sanguine ; il porte des bas trempés dans de l’eau-de-vie pour se réchauffer les pieds. En partie pour avoir de meilleurs traitements médicaux, il se rend à Paris avec sa scieur jacquerie. Sa santé s’améliore mais son système nerveux est perturbé de manière permanente. Dorénavant, il est sujet à une profonde hypocondrie, qui a affecté son caractère et sa philosophie.

AI est devenu irritable, sujet des accès de colère fière et impérieuse, et il sourit rarement. Pascal s’éloigne de son premier engagement religieux et il vit pendant quelques années ce qu’il a appelé « une période mondaine » (1648-1654). Ce sont les expériences sur le vide, à la suite des travaux de torrentiel, qui l’occupent pleinement. De 1646 à 1654, il mu déplie les expérimentations avec toutes sortes d’instruments. L’une d’entre elles, en 1648 lui permet de confirmer la réalité du vide et de la pression atmosphérique et d’établir la théorie générale de l’équilibre des liquides.

Son père meurt en 1651 et Pascal prend possession théorie générale de l’équilibre des liquides. Son père meurt en 1651 et Pascal prend possession de son héritage et de celui de sa S?Ur jacquerie. Cette même année, jacquerie entre à l’abbaye de Port-Royal de Paris, en dépit de l’opposition de son frère. Quand le temps vient pour elle de prononcer ses V?AUX définitifs, il refuse de lui rendre une part de son héritage pour payer sa dot de nonne ; sans argent elle aura une position moins élevée dans la hiérarchie du couvent.

Ce n’est qu’en 1653 qu’il acceptera de lui constituer une dot, au moment où une bulle d’Innocent X condamne cinq propositions de jaunisse. Ainsi, Pascal se trouve à la fois riche et libre. Il prend une maison somptueusement meublée, avec beaucoup de domestiques et se fait conduire dans Paris avec une voiture tirée par quatre ou six chevaux. Il passe son temps en compagnie de beaux esprits, de femmes et de joueurs (comme son travail sur les probabilités le montre). Il poursuit un temps, en Auvergne, ses travaux et une dame de grande beauté, qu’il appelle la « sapes de la campagne ». Cette époque, il inspire un Discours sur les passions de l’amour (qui ne semble pas être de sa main), et apparemment il a médité sur le mariage qu’il décrit plus arda comme « a plus basse des conditions de la vie permises à un chrétien ». jacquerie lui reproche sa frivolité et prie pour qu’il change de vie. Durant les visites à sa scieur à Port-Royal en 1654, il montre du mépris pour les affaires du monde mais il n’est pas attiré par Dieu. À la fin À la fin de 1654, il a un accident sur e pont de nouille où les chevaux plongent par-dessus le parte et la voiture est près de les suivre.

Heureusement, l’attelage se rompt et la voiture reste en équilibre sur le bord du pont. Pascal et ses amis sortent, mais le philosophe hypersensible, terrifié par a proximité de la mort, s’évanouit et reste inconscient. Revenant à lui quinze jours plus tard, le 23 novembre 1654, entre dix heures et demi et minuit et demie, Pascal a une intense vision religieuse qu’il écrit immédiatement pour lui- même en une note brève, appelé le Mémorial en littérature, commençant par : « Feu. Dieu d’barman, Dieu d’sac, Dieu de jacobin, pas des philosophes ni des savants… Et qu’il conclut par une citation du Psaume 119,16 : « Je n’oublierai pas ces mots. Amen. » Il coud soigneusement ce document dans son manteau et le transfère toujours quand il change de vêtement ; un réviseur le découvrira par hasard après sa mort. Pendant sa vie, Pascal a souvent été considéré par erreur comme un libertin et, plus tard, il a été tenu à l’écart comme une personne n’ayant eu une conversion que sur son lit de mort. Sa croyance et son engagement religieux réactivés, Pascal loge dans le plus ancien des deux couvents de Port- Royal pour une retraite de quinze jours en janvier 1655.

Pendant les quatre années suivantes, il fit régulièrement le voyage entre Paris et Port-Royal-des-Champs. Il commence à écrire, immédiatement régulièrement le voyage entre Paris et Port-Royal-des- Champs. Il commence à écrire, immédiatement après sa conversion, son ?ouvre majeure sur la religion, Les Provinciales. Pascal participa aux travaux de traduction en français de la Bible, en utilisant les principes de la Logique de Port-Royal. Pascal est également à ‘origine de l’invention de la presse hydraulique, basé sur le principe qui porte son nom.

On lui doit également l’invention du hoquet, véhicule pommelée conçu pour le transport des marchandises en tonneaux. Derniers travaux et mort [modifier] Épitaphe de Pascal dans l’église Saint-tienne-du-Mont, eue arrondissement de Paris thèmes strates élite décrit Pascal, à cette période de sa vie, comme « un homme mondain parmi les ascètes et comme un ascète parmi les hommes du monde ». Le style de vie ascétique de Pascal venait de sa foi en ce qu’il était naturel et normal pour un homme de souffrir.

Dans ses dernières années troublées par une mauvaise santé, il rejette es ordonnances de ses médecins en disant : « La maladie est l’état naturel du chrétien. » D’après sa s?Ur guilleret, il aurait écrit alors sa Prière pour demander Dieu le bon usage des maladies. En 1659, Pascal, dont la santé n’ jamais été bonne, tombe heureusement malade. Lois SUIVI a interdit le mouvement janséniste de Port-Royal en 1661. En réponse, Pascal a écrit un de ses derniers travaux, Écrit sur la signature du formulaire, recommandant instamment aux jansénistes de ne pas le signer.

Plus tard au cours de cette an signer. Plus tard au cours de cette année, sa scieur jacquerie est morte, ce qui a convaincu Pascal de cesser sa polémique à propos du jansénisme. Grâce à ses connaissances en hydroélectriques, il participe l’assèchement des marais potentiels, à la demande du Duc de Roanne. C’est avec ce dernier qu’il inaugurera la ornière de ses réalisations qui reflète parfaitement le souci d’action concrète qui habite le savant : la première ligne de « transports en commun », convoyant les passagers dans Paris avec « des carrosses à cinq sols » munis de plusieurs sièges.

En 1662, la maladie de Pascal est devenue plus violente. Conscient du fait qu’il a peu de chances de survivre, il songe à trouver un hôpital pour les maladies incurables, mais ses médecins le déclarent intransportable. À Paris, le 17 août 1662, Pascal a des convulsions et reçoit l’extrême onction. Il est mort le matin du 19 au ne de la rue Neuve- Saint-tienne-du-Mont (devenue le ne de la rue roll), ses derniers mots étant « Puisse Dieu ne jamais m’abandonner ».

Il est enterré dans l’église Saint-tienne- du-Mont. L’autopsie pratiquée après sa mort révélera de graves problèmes stomacaux et abdominaux, accompagnés de lésions cérébrales. Malgré cette autopsie, la raison exacte de sa santé chancelante n’est pas connue. Des spéculations ont eu lieu à propos de tuberculose, d’un cancer de l’estomac ou d’une combinaison des deux. Les maux de tête qui affectaient Pascal sont attribués à la lésion cérébrale.