Oxbow

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Alors que ses concurrents coéquipiers ou rupture dégagent des croissance exponentielles depuis le milieu es années 90, sabot reste à la traîne. Aujourd’hui, l’objectif est de rattraper le retard accumulé en développant une offre à la fois plus technique et plus mode. « Nous souhaitons redonner à la marque une légitimité technique pour plus de visibilité », prévient récrie bonne, nouveau directeur général de la marque. Avec, pour la partie textile, des abord-shorts et une gamme méprenne (combinaisons, gilets… ) intégrée à la collection été 2007 et qui sera renforcée cet été.

Côté mode, la marque, qui réalise les deux tiers de son chiffre d’affaires sur l’homme, entend se féminiser et vise es junior, qui représentent 10 % de son activité. Une offre junior garçon (4 à 16 ans) a été intégrée en 2006, et la premier boy babouche I baffle 13, 2009 11 pages première collection junior fille sera lancée à l’hiver 2008. Licences et sponsorisa « La marque est très performante dans nos magasins sur l’Fo l’offre surfacer homme, explique théière briard, directeur du réseau de plaine de teinter.

Les résultats sont plus disparates sur l’offre femme, qui n’est pas présente dans tous les magasins et demande une communication plus soutenue, à l’instar de roux, marque femme de coéquipiers. Sur la cible des junior, marché dominé par Nice et dadas, sabot avait un problème de positionnèrent prix, car elle était trop premier. Mais la marque, qui a baissé ses prix en 2006, est devenue plus compétitive en 2007. » La chaussure et l’accessoire sont un autre axe de développement.

Une offre de ôtons a démarré en 2006, et la marque va développer sa politique de licences pour lancer un téléphone et un parfum griffés à son nom, lesquels s’ajouteront aux lunettes, montres et articles de papeterie qui représentent déjà 10 % de son activité. Par ailleurs, la marque veut réaliser 50 % de son chiffre ‘affaires d’ici à cinq ans à l’étranger. Ce défi passe par l’intensification de sa présence sur ses marchés phares (espagnoles, benzène et Royaume-Uni), mais aussi, surf oblige, par l’ouverture d’une boutique à haï, prélude à un développement aux États-Unis via la calorifère.

cassé figure aussi au programme (licence avec marine au jupon, implantations en malaise, en thaïlandaise et mah-jong). « Le développement en chiné suivra, mais avec des partenaires », promet récrie bonne. Pour atteindre ses objectifs, la marque s’appuie sur des usuriers tels que naît angon ou lard inhalation, véritables thés outre-Atlantique. Elle mise également sur le sponsorisa. Le champ inhalation, véritables mythes outre-Atlantique. Elle mise également sur le sponsorisa.

Le championnat du monde de longera, qu’elle parraine, du 30 avril au 6 mai à Anglet sur la Côte basque, a eu un retentissement mondial avec 150 000 connexions par jour. En France, la marque joue la communication de proximité en presse et via l’affichage dans la zone de achalandées des magasins et sur les zones côtières. Enfin, elle entend jouer des synergies de groupe. « Grâce à alfa, nous avons des conditions d’achats ouvrables, des synergies clients et des sites de production en commun », indique son directeur général.

Forte de ces atouts, sabot espère doubler son chiffre d’affaires d’ici Cinq ans Source nouvel obus Sport sabot, le surf entre en Bourse Difficile d’exister face au géant des sports de glisse coéquipiers, mais son challenger parie sur sa notoriété pour se faire une place La glace, la poudreuse, les grands espaces. Au milieu du silence surgit un hélicoptère. Puis des émotionnes, des camping-cars. A leur bord, des photographes, des cameramen, un réalisateur. Deux skieurs bariolés dévalent es pentes enneigées, sautent par-dessus les précipices. Tous en combinaison sabot.

Nous sommes au nord de la norvégien en mars dernier. Ce petit groupe réalise l’un des spots de la marque de glisse (ski, surf, VIT… ), qui fêtera l’an prochain ses 20 ans. Et la société ne lésine pas sur les moyens. Une autre équipe sera envoyée aux mal?vues pour découvrir des endroits où l’homme n’ jamais posé sa planche de surf. sabot? Le nom semble angle-saxos. Mais la société, fondée en 1 985 par une créatrice de mode et un adepte du indurer, est borderais. Cette PÂME de 200 salariés a même ait son entrée au second marché de la Bourse de Paris au début du mois de juillet.

Elle en a profité pour lever 12 millions d’héros afin de rembourser une partie de sa dette et financer son plan de développement sur cinq ans. Au programme: l’ouverture d’une quinzaine de boutiques en propre. Pour l’instant, le label est surtout distribué par des magasins multirisques et des corners à l’enseigne sabot. Autre priorité: l’international. Le marché français arrivant saturation, les perspectives de croissance sont plus alléchantes en espagnoles, au Royaume-Uni ou aux Pays-Bas.

Objectif: «Devenir en européen ce qu’sabot est déjà en France», première marque en notoriété, deuxième en parts de marché. [pic] I [pic] [pic] Mais la compétition est rude. L’outrer, le terme employé pour désigner tous ces sports-loisirs, recèle presque autant de griffes que d’adeptes. coéquipiers, le géant américain, a réalisé en 2002 un chiffre d’affaires de 705 millions d’héros et domine de loin. sabot n’en est qu’ 60, mais l’entreprise se fixe comme objectif d’atteindre les 100 millions d’ici trois à cinq ans.

Et surtout, si elle veut se mesurer aussi aux staliniens riper cuir et bâillonna ou au calife retour, si elle veut se mesurer aussi aux staliniens riper cuir et bâillonna ou au califourchon million, il lui faudra améliorer sa rentabilité, encore très faible, avec un bénéfice de 2 millions d’héros. Heureusement le secteur pèse déjà près de 30 milliards d’héros, soit un quart de l’ensemble des articles de sport, et connaît une croissance moyenne de 7% par an, contre 3 à 4% pour l’ensemble du marché sportif. Les grandes marques ont senti l’appât du gain. dadas a rachète saloon, Nice a réactivé sa filiale. Les concentrations sont à l’avenir inévitables car le marché este très fragmenté», confie faible yak d’arroseur. sabot, qui vaut une trentaine de millions d’héros seulement, pourra-t-elle sauvegarder son indépendance? La perspective d’un rachat ne l’effraie pas. «Aujourd’hui, il est prématuré de parler d’alliance avec un grand groupe, mais si l’on a un actionnaire puissant et que nous conservons notre identité, pourquoi pas? », estime le directeur financier, encollais Roux. Pourtant, l’ambition d’sabot est de devenir le chef de file de petits labels. Pourquoi ne pas fédérer autour de nous une constellation de petites entreprises, qui réaliseraient de 40 à 50 millions d’héros de frère d’affaires. Nous pourrions leur apporter notre savoir-faire en marketing», ajoute démoniaque de La tourelle, le président du directoire. [pic] Pas si simple. «Toute la difficulté pour ces marques consiste à se développer vers des cibles de plus en plus larges, femme la difficulté pour ces marques consiste à se développer vers des cibles de plus en plus larges, femmes ou enfants par exemple, sans se couper de la base des adeptes, sans perdre leur identité», juge faible yak.

La parade d’sabot: faire du business en clamant qu’il n’en fait pas, entrer en Bourse «sans esprit de compétition». La société mise sur I’«alternativement» et sur ses valeurs, «le rêve, l’évasion, le voyage», que doivent partager les athlètes sous contrat, comme le sueur haine lard inhalation, ou le champion de VIT muguet martinet. La Bourse suivra-t-elle ? Chez sabot, on affirme regarder plus souvent la météo et la taille des vagues à lacune que le cours de l’action.

C’est peut-être mieux ainsi puisque le cours est très vite passé au-dessous de son niveau d’introduction, à 8 héros environ contre 8,60 le premier jour. «L’entrée en Bourse ne change rien», assure évincent stipule, responsable du superposeraient et de la communication. «c’austère un accélérateur de notoriété. » Les dirigeants, en tout cas, continuent d’aller surf sur les plages voisines. Mais la PÂME est tout de même entrée dans un autre monde. LE COMME-BAC DE ALFA La première génération a inventé le sac à dos.

La seconde la posé à terre. Aujourd’hui petit-fils reprend la route des sommets. Histoire L’affaire est dans le sac. Et le sac est une affaire de famille: c’est en 1936 que les alfa ont inventé le sac à dos armatures métalliques, devenu l’indispensable compagnon italiques, devenu l’indispensable compagnon de tous les randonneurs, campeurs et autres brodeurs de la planète. «C’est la seule marque française connue l’étranger», indique Jean de rirais, le patron des magasins Au Vieux Campeur, à Paris.

Mieux: alfa vient de racheter pour 13 millions de francs Millet, son principal concurrent français. Son PIED, philtre joufflu, prévoit pour 1995-1996 un chiffre d’affaires de 450 millions de francs, 20 millions de bénéfices, et la mise en Bourse de 20% du capital. La_fuma, pourtant, la échappé belle! L’entreprise revient d’un dépôt de bilan… Son histoire a commencé il y a soixante-cinq ans, à enrayerons, un petit village de la Drôme. Le travail du cuir est une tradition locale. Victoire alfa, bourrelier-sellier, ne peut exercer son métier pour cause de blessure de guerre.

Il devient représentant de commerce. Sa femme, qui tient un café dans le village, confectionne des sacs à ses heures perdues. Victoire les vend. Ces un succès! A tel point que Victoire propose à ses deux frères, élever et gabarrier, de s’associer avec lui pour monter une affaire. Nous sommes en 1 930: les établissements alfa Frères sont nés. Ils équiperont des bataillons de militaires et des générations de scouts. Les années 50, qui voient l’essor de l’automobile et des congés payés, sont prospères pour a petite entreprise.

A la fin des années 70, son chiffre d’affaires atteint près de 100 millions de francs, et, toujours installée à enrayerons, elle emploie 500 personnes. Mais les ateliers sont poussiéreux et en surchauffées. La enrayerons, elle emploie 500 personnes. Mais les ateliers sont poussiéreux et en surchauffées. La société n’ plus le punch. La gestion de père de famille des trois frères alfa n’est plus adaptée. Pourquoi, alors que les conditions de distribution ont changé, que a concurrence lance de nouveaux produits, alfa ne songe-t-elle pas se moderniser? Ses patrons étaient vraisemblablement conscients des problèmes, mais ils étaient coincés, juge un expert du marché de la randonnée. Ils habitaient le village. Ils ne pouvaient pas flanquer à la porte tous leurs voisins. » Encore moins leurs propres cousins! La deuxième génération ne fait pas les bons choix. En rachètent rama et carrée, deux entreprises de la région fabriquant de l’ameublement de plein air, elle précipite a chute de alfa. 1 984: c’est la déconfiture financière, l’entreprise est en cessation de paiement. Son directeur, mariée, fils d’élever, est mis à la porte.

Changement de génération: le conseil d’administration propulsé à la tête de l’entreprise philtre joufflu, le petit-fils de gabarrier, le cadet des frères alfa. AI a quelques atouts dans son sac: d’abord, il a grandi loin d’enrayerons. Pour les alfa et le village, c’est un «étranger». On l’appelle d’ailleurs «le Parisien». Mais, par sa mère, il a a légitimité familiale et une part substantielle du capital. Enfin il connaît la gestion: après une maîtrise de droit et une année de journalisme, il s’est initié au management en travaillant avec vues busard, fondateur du cabinet de consultants busard. Ami intime de m travaillant avec vues busard, fondateur du cabinet de consultants busard. «Ami intime de mon père, c’est lui qui ma convaincu de reprendre alfa», explique-t-il. En 1984, lorsqu’ devient PIED, il n’ que 29 ans. «Et une volonté un peu inconsciente ou présomptueuse», se souvient Bruno Sapin, à l’époque administrateur judiciaire de l’entreprise. Le jeune joufflu dépose immédiatement le élan, licencie 25% du personnel. Le voilà confronté à une grève avec occupation des locaux et séquestration de la direction!