Option facultative du bac
Au cours de l’entretien, le candidat peut être invité à établir des relations entre ses marchés et des documents que lui soumet l’examinateur. Présenté dans un carton à dessin au format libre, mais pas moins d’un format demi-raisin, le dossier est précédé de la liste des travaux et d’une fiche pédagogique, établie par le professeur et signée par le chef d’établissement, faisant apparaître la manière dont a été traité le programme, notamment l’ensemble libre, ainsi que les musées ou galeries visités et les artistes rencontrés.
AI comprend, sous forme de planches portant le nom du candidat et le cachet de l’établissement, des productions plastiques (esquisses, croquis, travaux aboutis) réalisées au lu a Ul a L v premier boy campa I phoque 04, 2009 9 pages épreuve facultative, toutes séries générales et cours de l’année terminale en relation directe avec les questions du programme de l’option facultative. Le candidat a recours à la photographie pour rendre compte des travaux qui ont été réalisés dans l’espace (volumes, total, le dossier ne doit pas excéder une dizaine de planches.
Les candidats individuels et les candidats issus des établissements scolaires hors contrat d’association avec l’État présentent l’épreuve dans les mêmes conditions que les candidats scolaires. Dans ce cas, il n’est pas exigé de fiche pédagogique ou de visa du chef d’établissement. Modalités de l’évaluation L’épreuve est notée de zéro à vingt, seuls les points acquis au-dessus de la moyenne sont pris en compte. L’évaluation porte sur les « compétences attendues » figurant au programme de l’enseignement de l’option facultative en classe terminale.
I – DÉFINITION En classe terminale comme en classe de première, l’enseignement de l’option facultative se caractérise par la place faite au projet de l’élève et se fonde sur l’entraînement à une pratique critique. AI est ouvert à tout lève de terminale, quelles que soient sa série, ses connaissances et compétences en arts plastiques. AI est assuré par les professeurs de la discipline. Le appartenait (avec des institutions, des artistes) n’est pas obligatoire mais est envisageable à l’initiative du professeur en fonction de ses projets et du déroulement de l’enseignement.
Il OBJECTIFS ‘se à placer l’élève L’enseignement des Ar PAGE 2 FO g dans une situation de production d’ordre artistique, cherche à favoriser l’autonomie de ses diversité (technique, méthodologique et poétique). Il s’attache à entraîner l’élève à : formuler ses intentions ; – construire une expression plastique personnelle ; – s’interroger sur quelques grands aspects de la vie artistique du examen siècle. Il – PROGRAMME 111. 1 Les deux composantes fondamentales du programme L’enseignement de l’option facultative s’organise à partir d’une composante artistique et d’une composante culturelle.
Il apporte des éclairages sur quelques grandes attitudes et des ?ouvrés particulièrement significatives, notamment du examen siècle. La composante artistique Considérant la diversité des parcours des élèves comme une richesse, elle permet à chacun de choisir et de évoluer ses propres moyens d’expression, d’expérimenter de nouveaux supports bai ou tridimensionnels, et notamment d’exploiter les ressources offertes par les technologies numériques.
L’exercice d’une pratique critique conduit l’élève s’interroger sur sa production dans ses dimensions techniques et artistiques. La composante culturelle Fondée sur la connaissance et la compréhension d’?ouvrés significatives, nettement repérées dans l’histoire, elle permet par ailleurs à l’élève de nourrir et développer sa curiosité, de mieux situer ses démarches personnelles et claire ses centres d’intérêt. ‘horaire global entre trois quarts pour le premier et un quart pour le second. 111. 2. 1 L’ensemble commun obligatoire Après avoir traité de la « représentation » en classe de première, l’enseignement en terminale pose plus particulièrement la question de la « présentation », question qui détermine à la fois la pratique artistique et l’approche culturelle.
Tout en prolongeant le questionnèrent sur la « représentation » abordé en classe de première, et ce qui constitue l’?ouvre, l’enseignement s’attache en classe terminale à la problématique de la « présentation ». Les élèves sont conduits à découvrir et exploiter les dispositifs et les stratégies conçus par les artistes pour donner à voir et ressentir leurs couvres et impliquer le spectateur.
L’enseignement prend appui notamment sur les pratiques du examen siècle, la « présentation » y occupant une place importante au point d’être parfois l’objet principal de certaines démarches de création. En relation avec cette problématique, un programme limitatif de trois questions renouvelé par tiers chaque année porte sur la mise en relation de trois couvres importantes, choisies de manière à favoriser une étude approfondie de différents dispositifs de « présentation » (techniques, plastiques, symboliques et poétiques).
Les deux premières ?ouvrés sont inscrites dans la production du examen siècle, la troisième appartenant obligatoirement à une période antérieure. La problématique de a présentation est à conduire en considérant tout à la fois les opérations techniques et intellectuelles d’élaboration des ?ouvrés, les m tout à la fois les opérations techniques et intellectuelles d’élaboration des ?ouvrés, les modalités de leur réalisation et de leur mise en situation ou de leur mise en scène.
Elle permet d’ouvrir la réflexion et d’acquérir des connaissances sur : – le support, a nature, les matériaux et le format des ?ouvrés ; – la tradition du cadre et du socle, ses ruptures et renouvellements contemporains ; – l’inscription des ?ouvrés dans un espace architectural ou naturel (privé ou public, institutionnel ou non ; pratiques de l’ni situe) ; – le statut de la production ou de l’?ouvre, sa reconnaissance artistique et ses éventuelles mises en question (« ruade-madame » ou création élaborée, caractère éprenne ou éphémère, unité ou éclatement des supports… . 111. 2. 2 L’ensemble libre Respectant les objectifs de formation fixés par les programmes et prenant en compte le niveau et les goûts des élèves, les ressources de l’établissement et de l’environnement et, d’une façon générale, le contexte sous toutes ses formes, le professeur dispose librement de cet ensemble, qu’il s’agisse d’une démarche interne à la discipline, d’une ouverture à l’environnement pédagogique et culturel, d’une mise en perspective de l’enseignement proposé au cours des trois années ou de toute autre question.
En conséquence, les item ci-dessous sont donnés à titre d’exemples et d’exemples seulement. Ils n’imposent rien. Ils visent simplement à éclairer e propos. Dans une démarche interne à la discipline, on pourra notamment : – revenir en cas de nécessité, sur tel ou tel point du prof la discipline, on pourra notamment : – revenir en cas de nécessité, sur tel ou tel point du programme commun obligatoire qui n’aurait pas été assimilé par l’ensemble des élèves ou par certains d’entre eux ; – aborder de nouvelles questions afin de donner une ampleur accrue à l’enseignement tout en en soulignant la cohérence, en s’ouvrant par exemple au monde artistique sur le plan international ? examiner des textes théoriques sur l’art, des écrits d’artistes, quelques grandes problématiques esthétiques (celles du goût et du beau par exemple) ; réfléchir au statut de l’art dans la société notamment à celui des arts contemporains ; – approfondir les démarches de création s’appuyant sur les nouvelles technologies et poursuivre une réflexion sur les relations entre technique et arts ; – réfléchir sur les projets de TYPE de chacun, les problématiques qui les orientent, les savoirs, savoir-faire et méthodes, qu’ils mobilisent pour une mise en ?ouvre réussie. Dans une démarche d’ouverture à l’environnement autoguidé et culturel, on pourra notamment : – entrer en relation avec les autres domaines artistiques et les autres disciplines enseignées au lycée pour travailler sur des thèmes ou des questions complémentaires qui peuvent donner lieu à des approches croisées et instaurer ainsi une véritable interdisciplinaires conduisant les élèves à mieux percevoir la cohérence de leurs études ; – consolider les relations entre l’enseignement et la création, l’école et les lieux de vie artistique et culturelle, en utilisant au mieux, de façon continue ou l’école et les lieux de vie artistique et culturelle, en utilisant u mieux, de façon continue ou ponctuelle, les ressources offertes par l’environnement et le calendrier des manifestations (institutions, monuments, rencontres avec des artistes sur leurs lieux de travail, expositions temporaires).