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TPE Sujet : Les médias télévisés dans le football : la Ligue 1 Introduction De nos jours, le football est le sport le plus pratiqué et le plus médiatisé dans le monde, malgré cela, il reste avant tout un sport populaire. Depuis des années, le football professionnel a toujours eu une grande place dans la société, notamment au niveau social. Cela ne se limite pas à un seul pays, c’est le monde entier qui est touché par ce phénomène.

L’explication de cet engouement des médias (notamm or 14 intéresse) pour cette • colossales afin de po focaliserons sur le ch rande importance ceux qui nous es sommes s. Nous nous pelé également Ligue 1, qui connaît une r putation de plus en plus grande au sein du football européen puisque la récente mise en vente des droits de diffusion a permis à cette compétition de se rapprocher de celle du championnat anglais et espagnols. Ainsi, nous chercherons a voir comment les médias télévisés participent-ils au fonctionnement de la Ligue 1 ?

Pour commencer nous verrons leur rôle avec la Ligue de Football professionnel (IFP), puis nous nous intéresserons aux relations avec les clubs, et enfin nous nous pencherons sur les conséquences de cette médiatisation / Rôle des médias télévisés avec la Fédération (LFP) La Ligue de football professionnel (LFP) rassemble les clubs français et monégasque à statut professionnel, soit les 20 clubs Ligue 1, et les 20 clubs de la Ligue 2.

Elle gère, sous l’autorité de la Fédération française de football (FFF), les championnats de France de Ligue 1 et de Ligue 2 ainsi que la Coupe de la Ligue. Depuis julllet 2005, des accords ont été signé avec la FFF afin de donner la responsabilité des Équipes de France (senior masculin exclus). Elle a été en 1944 et est actuellement présidé par Frédéric Thiriez. A) L’importance de la publicité La publicité est désormais partout, à la télévision comme dans le sport.

Il ne pouvait donc en être différemment pour la diffusion d’événements sportifs ? la télévision et évidemment la Ligue 1 n’échappe pas à la règle. Car la publicité se présente pour le sport comme indispensable ? son développement, tout comme la publicité trouve son intérêt économique sur ce marché. Lorsque l’on traite de l’influence ou de la place des médias dans le football français et même dans le sport en général, il est difficile de faire abstraction de la publicité.

En effet les matchs attirent énormément les foules, il seraient donc inimaginable de penser que les annonceurs puissent s’y désintéresser tant la possibilité de s’y faire connaître est grande pour eux. La publicité a donc un enjeu majeur pour cette compétition puisque qu’aujourd’hui la diffusion des matches du championnat de France de football est exclusivement sur des chaînes privées dont les recettes dépendent en grande partie des abonnements vendu.

La médiatisation de cette événement annuel est donc primordial car celle-ci permet donc d’attiré le plus de personnes à s’interesser à la Ligue 1 ( en effet lors de la saison 013/2014, les matche 12 plus de personnes à s’intéresser à la Ligue 1 ( en effet lors de la saison 2013/2014, les matches de l’équipe du Paris Saint Germain ont mobilisé à deux reprises plus de 30% des la part total des abonnés dont le match du 31 août qui en a rassemblé ce qui constitues un record qui datait de 2007).

Si la publicité a aujourd’hui une certaine importance dans le milieu du football en général, il faut rappeler qu’avant la fin des années 1960, aucune affiche publicitaire ne se trouvait sur les maillot des équipes. En effet, avant l’autorisation de la Ligue, seul les stades ?taient porteurs de bannières publicitaires. Cependant depuis 1969, les maillots peuvent être abordés de publicités diverses car il s’agissait du point qui avait rendu les choses impossible seulement un an plus tôt.

En 1968, la Ligue voulait imposer ? toutes les équipes le même partenaire afin de rester dans un système de stricte équité. Seulement, les grandes refusaient de devoir se contenter d’un sponsoring commun. C’est ainsi que les clubs de IOlympique de Marseille et de Nîmes Olympique furent les premiers à avoir une annonce publicitaire sur leurs maillot pour les matchs de championnats de France. A partir des nnées 1982 et 1995, la fédération européenne acceptera que les équipes puissent jouer les matchs de compétitions européenne avec des malllot où la publicité y était présente.

Il s’agit d’un système qui aujourd’hui a réussi à s’imposer. stades B) L’influence sur le calendrier sportif Le championnat de France de Ligue 1 a subi depuis quelques années déjà des modifications significatives dans l’organisation des matchs de football. Si auparavant il s’agissait de raisons sécuritaires, en avançant les matchs dans l’après midi au lieu du soir afin de permettre aux forces de l’ordre de maintenir le calme utour de la rencontre, une nouvelle donne est apparue en 2010.

En effet, le championnat de France de Ligue 1 2009-2010 a vu ses matchs répartis entre plusieurs diffuseurs. La réponse à l’appel d’offre d’Orange a permis au distributeur d’obtenir la diffusion d’un match de chaque journée de championnat en exclusivité. Cependant, cette exclusivité présente une particularité puisque ce match, fixé à chaque fois le samedi soir à 21 heures, ne peut être mlS en concurrence avec un autre match de championnat. Ainsi, aucun autre match ne pourra être diffusé et donc joué au même moment.

L’aménagement de chaque journée de championnat en a été décidée ainsi d’ailleurs, ce dispositif tiens encore aujourdhui même si les diffuseurs ont changé et que désormais plusieurs matchs peuvent être joués en même temps mais ils seront diffusés sur la même chaine. Cependant, Fon peut se demander s’il s’agit bien ici d’un intérêt sportif. Car lorsque les horaires sont décalés ainsi, de nombreux paramètres ne sont pas pris en compte.

En effet, cela ne devrait pas être au sport de s’adapter aux chaînes de diffusions mais plutôt l’inverse. Cependant, ce système actuel permet à la fédération de ne pas avoir certains spects des matchs a gérer afin de se concentrer permet à la fédération de ne pas avoir certains aspects des matchs a gérer afin de se concentrer primordialement ? leurs bon déroulement, car du coup se sont les chaînes qui doivent s’en préoccuper.

Cependant l’intérêt des diffuseurs est essentiellement dû à l’attractivité des matchs et leurs dates de programmations dépendront également de celui des téléspectateurs. e sport étant avant tout un phénomène de société rassemblant les foules de manière exponentielle, on peut comprendre que cet aménagement soit justifié par la volonté de roposer au plus grand nombre le plus de matchs possible. Mais un autre aspect, soulevé cette fois-ci par les professionnels eux- même car il touche au plus prêt les sportif.

En effet, le football, comme tout autre sport de haut niveau, relève d’une compétition qui met en concurrence plusieurs équipes, et dans laquelle chaque élément compte. Le fait de programmer un match ? un horaire ou à date différente peut avoir des conséquences plus sportive car cela peut désavantager une équipe sur l’autre encore plus lorsque une ou les deux ont des responsabilités dans les compétitions européennes.

Le motif des décalages, qui ’empêche pas les dirigeants de club de protester contre cela, reste le problème des intempéries cependant ce système n’en reste pas moins problématique car tout le calendrier, initialement prévu, se retrouve chamboulé. Tableau de diffusion des matchs de Ligue 1 pour la période 2012-2016 PAGF s OF redistribution qui ne prend pas en compte le classement Les sommes reçus par la LFP des chaînes de télévisions diffusant les matchs du championnat de France sont reversés au vingt clubs qui ont pris part a cette compétition.

Cependant, lorsque l’on s’intéresse au sommes perçues par ces derniers on onstate que le classement de la redistribution n’a aucun rapport avec le classement sportif. En effet, pour la saison 2013-14, la CFP a reversé la somme de 487,9 millions d’euros de droits TV. Cette dernière est en léger recul (-1,8 millions soit une diminution de par rapport à la saison 2012-13 qui s’explique par une plus forte taxation. Comme dis précédemment, cette redistribution ne correspond pas au classement sportlf.

En effet, aujourd’hui, du montant est divisé à parts égales, sont distribués selon la notoriété, 15 % sur l’exposition médiatique, le reliquat restant ?tant renvoyés au football amateur. Si le club du Paris Saint Germains occupe logiquement la tête du classement avec 44,685 MC (progression de 1,26% par rapport à l’an dernier), l’Association Sportive de Monaco ne se situe qu’au septième rang alors que le club de la Principauté a terminé dauphin du PSG.

Ces différences entre classement sportif et revenus télévisuels s’expliquent par les critères retenus par la CFP pour realiser son calcul, en effet, ces derniers s’effectuent sur la basse des résultats obtenu pendant la compétition mais pas seulement car le choix es matchs diffusés jugés « Premium » par les chaînes est aussi un argument très important ce qui permet donc aux équipes concernés de recevoir un avantage non négligeable comparé 6 2 important ce qui permet donc aux équipes concernés de recevoir un avantage non négligeable comparé aux autres matchs dit « secondaires Cependant un autre critère instauré depuis la saison 2012-2013 a également un rôle dans cette redistribution, il s’agit de la notion de « Licence Club » qui consiste à faire en sorte que les équipes professionnelles soient obligées de garder des infrastructures relativement décentes.

En cas de non-respect de cette règle, les clubs seront pénalisés de 10% des droits télévisés qu’ils auraient du avoir, ce critère est fortement pénalisant pour les équipes promus de la division inférieure car ce système est aussi appliqué pour la Ligue 2 mais avec une contrainte moins importante, c’est ce qui explique la raison de la place modeste dans le classement de la redistribution pour le dauphin du leader. Tableau de la redistribution des droits télévises de la saison 2013-2014 B) L’impact de cette redistribution Grâce à la concurrence entre Canal + et belN Sports, la CFP a pu égocié des prix pour les droits télévisés de la Ligue 1 pour les saisons 2016-2020 jamais atteint au aravant. Cependant comme vu précédemment, une er s ces droits sont reversés de 150%, grâce à la lutte entre Canal+ et TPS qui avaient pour l’époque fait des offres exceptionnelles pour l’attribution des droits de diffusions.

On peut donc penser que l’histoire va encore se répéter car ces droits entre 2008 et ceux pour les saisons prochaines n’ont rien a voir en terme de hausse. Cependant, l’augmentation salarial des joueurs arrivera certainement plus tard car à l’heure d’aujourd’hui beaucoup de clubs sont dans des ituations financières relativement précaires. En effet, le déficit de ces derniers au 30 juin 2013 s’élevait à 39,5 millions d’euros. Cela est du en partie à la suppression des droits à l’image de 2010 qui permettait aux équipes d’être exonérés de près de 30% sur les charges sociales sur la rémunération versée aux joueurs mais également à la mise en place de la taxe à qui a fait beaucoup de mal aux plus petites équipes.

Donc la tendance principale serait de voir une réduction partielle ou total du déficit avant de voir une quelconque hausse des salaires des footballeurs du championnat de France. On peut aussi imaginer que cette hausse de la redistribution des droits télévisés peut changer pas mal de choses pour les équipes. Effectivement, aujourd’hui le budget total des clubs est ? 54% composé des ces revenus, donc il est facilement imaginable qu’une augmentation puisse rendre les clubs encore plus dépendant de ces droits mais ils peuvent aussi permettre aux équipes d’améliorer leurs structures sportives et ainsi respecter les contraintes de la « Licence Club ». De plus, avec l’organisation de l’UEFA EURO 2016 par la France, des clubs comme l’Olympique Lyonnais et les Girondins de