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Au début, il y a des réflexions sur les coups de fouets de sa mère, puis on volt la réaction de la voisine qui aide l’auteur en faisant croire à la mère qu’elle le fouettait, il y a aussi un souvenir de son père se coupant le doigt en lui fabricant un chariot avec un bout de sapin et sa mère lui donnant une fessée et reproche du gamin quant au fait que c’est sa faute si son père s’est coupé.

Il fait une description de son lieu de vie et de sa rue comme étant un endroit sales où les voitures ne passent pas et , avec la prison au bout, description des prisonniers comme étant des ?tres sympathiques et de l’amusement qu’il a avec le fils du goelier, amusement qu’il n’a pas à la maison, il dépeint de sa famille comme étant une famille catholique et faisant la prière à chaque début et fin la campagne voué ? paysanne, descriptio es abbé se grisant pas second Monsieur Gr ‘Vipe next page origines : père de sa part et mère ans sa demeure : un iselle Henriette, au st montré comme infidèle ICI, au troisième Madame Toulier. Petit il engraissait les dindes. Il va à l’école en passant devant une auberge où il y a du foin , foin où ils perdaient leurs livr Suipe to View next page ivres.

Il décrit tous les membres de sa famille un par un, définis ce qu’est une béate, il va de temps en temps chez sa tante Agnès, il parle de ses rideaux (à Agnès), son oncle l’emmène quelque fois à la mère des menuisiers, ils boivent et chantent, joue avec lui, jacques n’aime pas l’école, un jour son oncle partit avec la nièce de madame Garnier, et jacques tomba amoureux de cette fille, et en voulut à son oncle. Il raconte ses journées passées avec sa cousine, Apolline qui l’emmenait à la campagne faire du cheval, Il décrit son collège : celui-ci donne sur une rue sombre, et n’est as loin du Martouret la grande place. II n’aime pas le collège aussi. Cest mademoiselle Balandreau qui ly emmène et que le ramene. Son père s’occupe de la première étude, celles de mathématiques de rhétorique et de philosophie : il n’est pas aimé. Il a obtenu du directeur, la permission de garder son fils pendant sa dernière heure d’étude.

Il entend les « grands » insulter son père. Des fois quand Mlle Balandreau est en retard, il reste à l’école en l’attendant, il maudissait Mlle Balandreau d’arriver en retard car il avait très faim puis il sut que c’était sa mère qui la retenait exprès en disant ue son père pouvait très bien lui amener à manger de la cantine.. Le lampiste se moque de lui car il n’aime pas son père mais le petit ne dit r 2 la cantine.. Le lampiste se moque de lui car il n’aime pas son père mais le petit ne dit rien, on lui a dit qu’il en fallait pas rapporter. Puis il décrit le professeur de philosophie qui passe ses journées ? prouver l’existence de dieu.

Il détaille la ville, il commence par la porte Pannesac qui d’après son père, en le regardant on peut se faire une idée de tous les monuments romains. Il raconte une histoire passée sur le pain : un jour il vait jeté un croûte et son père lui avait expliqué, sans le disputer, que le pain était précieux. Il parle la rue où elle se trouve : on y trouve des boulangeries (mitrons, patrons). Il y décrit comme ce qui ressemble à un marché. Le fils du directeur joue quelque fois avec lui mais sa mère l’interdit d’aller sur les jeux. Jacques est habillé pauvrement et un jour un homme à cheval ? demandé à sa mère qui lui avait fait cet habit, et bien sur c’était elle. Ils ne l’ont plus jamais revu.

Sa mère l’habille honteusement pour le carnaval à un bal d’enfant, tout le monde s’est moqué e lui. Même pour la remise des prix de fin d’année il est habillé honteusement, de sortes qu’un officier le fait sortir lui faire vêtir des vêtements plus décent. Il va en vacance soit à Soubeyrou, puis à Farreyrolles. Il y trouve un goût de liberté qu’il perd tout de suite en rentrant chez lui. Chez Soubeyrou il 3 Farreyrolles. Il y trouve un goût de liberté qu’il perd tout de suite en rentrant chez lui. Chez Soubeyrou il s’amuse avec son fils malade à qui son père donne des leçons. Puis il se rappelle d’une jeune fille s’étant suicidé après avoir attendu longtemps une connaissance qui evait venir : il en garde un amer souvenir.

Chez Farreyrolles, il aime flâner dans une prairie, puis il se rend compte qu’il veut devenir ouvrier et non homme de lettre comme ces parents le veulent. Sa mère le prive de tout, même de ses étrennes, alors que les autres enfants en ont, celui-ci ne comprend pas pourquoi lui n’en a pas. Jacques échoue lors de la fête de son père : il se prépare durant des semaines à lire le poème qui lui est destiné et à lui donner des fleurs mais le jour de sa fête, il se trompe durant la récitation et renverse le vase sur le pantalon à son papa. D’après sa mère, il la gâche. Sa mère est très économe, elle négocie pour chaque chose, chaque objet. Il se rappelle des messes de minuit, des odeurs et des goûts de repas.

Jacques raconte ses promenades en forêt à la promenade d’Aiguille et et ses voyages au fer à cheval où sa cousine l’emmenait pour donner des nouvelles de sa famille à Pierre André. Il se rappelle d’avoir vu un cirque et d’être tombé amoureuse de Paola, l’écuyère, il avait trouvé ça très impressionnant de vo 4 amoureuse de Paola, l’écuyère, il avait trouvé ça très impressionnant de voir tous ces animaux. e père de Jacques est muté comme professeur de septième ? Saint-Etienne. La mère et Jacques arrivent après et le père est en retard pour les emmener dans leur nouveaux chez eux. Jacques en entrant tombe en glissant à cause d’une peau d’orange par terre. Jacques se fait des amis et va Jouer chez eux. Sa mère pour le punir l’y en empêche.

Il travaille bien à l’école, est le meilleur de sa classe Puis un jour sa mère arrête de le battre, quelques jours plus tard elle s’évanouit et du coup son père reste à la maison, il a peu de répits car maintenant c’est son père qui le bat et sa mère qui le défend. Son père est nommé professeur de grammaire ? Nantes par une connaissance. Ceux-ci déménagement donc ? Nantes. Il défend son père face à sa mère qui le montre à tout le monde comme ayant une maîtresse et étant faible. Il est comme toujours, habillé très mal. Sa mère l’habille comme « une personne du Moyen-Age », et sa cravate fait trois fois le tour de son cou. Ils ont une domestique mais la nourrisse mal donc celle-ci démissionne ils sont donc obligé d’en engager une nouvelle qui cette fois-ci est recommandé par le proviseur et est donc bien nourri.

On engage un homme pour lui apprendre les bonnes manières : celui cl les expérimentas av S nourri. On engage un homme pour lui apprendre les bonnes anières : celui ci les expérimentas avec la femme du proviseur et c’est un lamentable échec. Les parents de Jacques se disputent de plus en plus, sa mère montrant son père comme un individu irrespectueux devant tout le monde. Puis après une dispute concernant de l’argent, il se réconcilie. Étant toujours premier au Lycée, madame Devinol l’emmène au théâtre et il a une aventure avec celle-ci. On le découvre et on décide de l’envoyer en pension a Paris. Il travaille moyennement et a la fin de l’année, il n’a pas de prix.

Sa mère vient a Paris pour lui demander ce qu’il veut faire plus ard. Elle arrive a le convaincre de passer son baccalauréat alors que lui veut devenir imprimeur. e père a Jacques leur envoie une lettre pour leur dire de rentrer a Nantes pour que Jacques prépare son bac avec lui. II ne l’a pas à cause d’une information donnée par un ami a son père qui était erroné. Il se dispute avec des parents car il veut retourner a Paris pour aller y travailler mais ceux ci ne veulent pas. Un jour il défend son père en provoquant un homme en duel, car il l’a insulté : il est blessé et il se réconcilie avec son père. Ces parents l’autorisent enfin a partir a Paris.