Ne Pas Vendre La Peau De L Ours Avant De L Avoir Tu

essay A+

Devoir de marketing « Ne pas vendre la peau de fours avant de l’avoir tué » Ne vendez pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué disait un proverbe ancien. Justement ce proverbe est ancien. De nos jours, il faut faire le contraire. Celui qui attend d’avoir tué l’ours avant de vendre sa peau se retrouvera avec un inventaire ; ce qui coûte cher et ne rapporte rien.

Celui qui aura vendu la peau pourra toujours acheter à bas prix l’inventaire du chasseur. De nos jours, les produits et les services peuvent être disponibles rapidement, l’offre potentielle excède la demande. Celui qui centre son activité sur le développement de clientèles pourra toujours se procurer or2 désirent. Celui qui ce e s lutter contre la comp tlon p monde de la comme contraire de celui du que ses clients opérations devra Inventaires.

Le ième siecle est le Pour réussir cette métamorphose, les entrepreneurs doivent imaginer les entreprises à l’envers : la créativité remplace la tradition, les employés ne sont plus au service du patron, la marque devient le premier facteur de choix, fadéquation entre l’offre et la demande doit être parfaite, l’apparence est essentielle, a transaction devient tributaire de la relation et l’émotion est plus importante que le rationnel. Et il est plus important de vendre la peau de l’ours que de le tuer. Paul, vous connaissez le proverbe « il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’ava page l’avant tué n’est-ce pas? J’acquiesçai, « euh, oui, je le connais, et alors ? » – »En marketing, dites plutôt : il ne faut pas tuer l’ours avant de savoir A QUI vous allez vendre sa peau » La leçon tient toujours Rédaction Un proverbe ancien disait «ll ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué Ce qui signifie que le chasseur doit partir à la chasse, traquer l’ours, le tuer, lui retirer la peau, la traiter, puis prétendre à sa vente.

Cette procédure renvoie à l’optique production, où la vente était une activité secondaire, supplantée par le processus de production. Comme l’offre était inférieure à la demande, l’entreprise était sure de pouvoir écouler ses produits. Cependant, dans le marketing actuel on dirait plutôt « il ne faut pas tuer l’ours avant de savoir à qui vous allez vendre sa peau ». En effet, celui qui attend d’avoir tué Pours avant de vendre sa eau se retrouvera avec des stocks et un inventaire à tenir ; ce qui coûte cher et ne rapporte rien.

Dans la conjoncture actuelle l’offre potentielle excède la demande. Les produits et les services peuvent être disponibles rapidement. Celui qui centre son activité sur le développement de la clientèle pourra toujours se procurer les biens et les services que ses clients désirent. Celui qui centre ses activités sur les opérations de production devra lutter contre la compétition pour écouler ses inventaires. Le monde de la commercialisation du vingt et unième siècle est le contraire de celui du siècle précédent.