Mousson

essay A

Les zones de subsistance qui le recouvrent sont alimentées en altitude par les vents venus des zones d’ascendance qu’entretient alors la SCIE dans les régions humides de l’hémisphère sud, réimplantent au-dessus de l’ondines, du nord-est de l’australe et des côtes orientales de l’africaine]. Dans ces conditions, des alizés prennent naissance au sud de l’anticyclone de sibérien vers le sud-est pour se diriger vers la SCIE qui se trouve au sud de l’équateur.

Du fait que l’océan Indien, se refroidit beaucoup plus lentement que le continent qui le borde, ces alizés vont se mêler aux dévêtions d’air polaire qui contournent l’anticyclone de sibérien et former avec elles des courants du nord-est qui souffleront de la terre vers la mer. Avant d’atteindre l’Inde, l’air doit franchir l’malaria et donc subir un fort effet de f?an, qua swaps toi vie nixe page Mousson premier boy piu I achoppé 16, 2009 4 pages qui l’assèche encore davantage tout en les réchauffant considérablement.

La circulation s’établit ainsi vers le rage dans les mêmes corridors que la mousson estivale avait utilisés durant l’été dans les vallées du gangue et de l’Indus, donnant la mousson du nord-est ou « mousson sèche »[1]. Ce vent dégage le ciel sur le nord du continent mais une soi qu’il passe sur l’océan Indien, il accumule de l’humidité par évaporation de la surface du Golfe du banale. Cette mousson hivernale va alors passer sur les îles et le sud-est de l’Inde et former des nuages en remontant les pentes de ces régions.

Ces pluies sont moins abondantes que pour la mousson estivale mais des villes comme chienne et des États comme le tamis indu en bénéficient. Ce dernier endroit reçoit de à de sa pluviosité annuelle durant cette mousson Mousson d’été Dans le désert du tar et les régions avoisinantes du nord u sous-continent indien, la température diurne en été est très élevée et l’air de surface s’élève en altitude causant une dépression locale.

Ceci est la source de la circulation qui s’établit avec les rives de l’océan Indien. L’air chaud et humide provenant de la mer arrive autant du côté est que de l’ouest et converge vers I’HimaIaya. Cette mousson, qui a mer arrive autant du côté est que de l’ouest et converge vers l’malaria. Cette mousson, qui arrive de direction générale du sud-ouest, se divise en deux sections à cause e la topographie indienne. On a donc la mousson du sud- ouest de la mer d’aman et celle du golfe du banale.

L’air arrive d’abord dans la région des montagnes agates sur la côte de l’État de cercla dans le sud-ouest de l’Inde. La circulation se divise alors en deux : la première branche progresse vers le nord, le long de la pente Ouest de ces montagnes alors que la seconde passe du côté Est du plateau du deçà et subi un effet de f?an, ce qui l’assèche et ne donne que des précipitations faibles et de répartition variable sur la péninsule du deçà[l].

Le vent de mousson de cette seconde branche passe ensuite sur le golfe du banale où il s’humidifie par évaporation de la surface de la mer. AI se dirige ensuite vers l’embouchure du gangue et remonte la pente de l’malaria à l’est des montagnes de barbarie. Cette chaîne de montagnes force l’air à se soulever ce qui le refroidit par la loi des gaz parfaits et l’humidité condense sous forme de nuages et de pluie. Cette branche de la mousson arrose le nord-est de l’Inde, l’État du banale occidental, le bandages et la barbarie.