Miwako

essay A

mikado a toujours été si fragile et si généreuse de nature. Du haut de son mètre soixante-cinq, de sa longue chevelure brune et soyeuse, de ses yeux pétillants de malice et de fureur de vivre, elle est malheureusement si née. Elle n’ pas eu de modèle féminin à l’état pur puisque sa mère s’est compliquée la vie en enchaînant les hommes, les femmes également et n’était que très peu présente pour s’occuper pleinement de sa fille. Aujourd’hui âgée de 18 ans, entrant dans sa neuvième école, dont son troisième lycée ; elle ne s’attachait pas à ses amis, sachant ‘avance les conséquences.

Elle savait qu’elle aurait de la peine de quitter ses  » nouveaux amis A présent elle a découvert de jeunes personnes aussi différentes les unes des autres. Elle a déjà été invitée par deux fois pour prendre un verre par des garçons dont un qui était très insistant, peut être un peu trop, mais elle avait refusé évidemment. Seulement il n’avait pas été très… Poli par la suite, lui affirmant qu’elle serait à lui d’une manière ou d’une autre, ce qui l’avait inquiétée plus qu’elle tentait de le faire paraître.

Elle avait rencontré une jeune fille du mm de câline qui lui avait fait le tour de l’établissement, l’avait aidée dans ses quelques démarches. La journée s’était passée sans accroc par la suite, la semaine é swaps toi vie nixe page mikado frère boy moto I H0fi6pq 17, 2009 9 pages également et elle n’ plus entendu parler de ce garçon. Les cours se passaient très bien, elle se faisait des  » amies ‘ les professeurs étaient compréhensifs et sambas qui plus est. A la fin, elle se rendait à l’arrêt de bus pour retourner chez elle, quand elle entendit des ricanements autour d’elle, ainsi qu’une bouteille qui se brisait.

Elle n’ prêtait pas trop attention. Puis soudain, quelqu’un la saisie par derrière en plaquant la main devant sa bouche et l’attira derrière un bâtiment, sûrement une ruelle. Elle fut alors plaquée contre le mur et fut face au garçon du lycée mécontent. – Tu aurais du accepter de sortir, ça aurait été bien. Maintenant ça sera douloureux ! Sa main se glissa sur sa cuisse, remontant assez lentement alors qu’elle tentait de se débattre. Elle était terrorisée, elle savait ce qu’il allait faire et cette terreur fut confirmée quand sa main se heurta, sous sa jupe, à son strict.

Ce monstre appuyait dessus, tentant de les faire rentrer. AI lui faisait mal, elle ne pouvait retenir ses larmes alors qu’il commençait à la violer. AI déchira son haut et son soutient-gorge, mettant ses seins à nues, il plongea dessus et les suça goulûment, les mordillant à lui en faire mal. Il sortit ensuite deux foulard : un pour la bâillonner et l’autre pour lui attacher les mains. Une fois fait, il la pencha , retira ce qui lui restait et déboutonna son propre pantalon. La pauvre n fois fait, il la pencha , retira ce qui lui restait et déboutonna son propre pantalon.

La pauvre ne voulait pas, elle voulait être chez elle, elle voulait être n’importe où, elle se maudissait de l’intérieur , continuant de pleurer, sans pouvoir se sortir d’ici, obliger de subir ce supplice. Elle sentit alors quelque chose de dur derrière elle à l’entrée de son intimité inexploré et s’empila d’un coup sans considération, lui déchirant très violemment son hymen. – Tu es toujours vierge ? J’en ai de la chance. La douleur était fulgurante et intense. Elle hurlait, mais on ne pouvait l’entendre.

Il continua ses va-et-vient, lui brûlant le ventre et les lèvres, en gémissant et s’agrippa à ses reins lui fit aller au même rythme que son membre. Elle voulait mourir, elle voulait que ça cesse, pleurer ne suffisait plus, Elle avait le regard vitreux, sans expression. AI alla plus vite et se répandit sur son dos et la fit tomber par terre. Il la détacha puis s’en alla. Instinctivement, mikado se recroquevilla et recommença à pleurer. Elle n’avait plus de dignité, elle était nue sur le sol, pleine de semence et de sang. Elle avait l’impression de n’être plus rien.

Par chance, une vieille femme très gentille passa peu de temps après et entendit des lamentations. Elle fut curieuse t alerta a police en découvrant la jeune fille au sol. Elle la ramena chez elle et attendit, la police n’étant pas t découvrant la jeune fille au sol. Elle la ramena chez elle et attendit, a police n’étant pas très loin, elle serait chez elle bientôt. Elle tenta de la rassurer, de la calmer, d’en apprendre un peu plus, de la couvrir mais elle n’arrivait obtenir qu’un mutisme. Une fois à la demeure de la septuagénaire, ils l’interrogèrent, ainsi que la demoiselle, mais elle refusait de parler.

Elle n’avait toujours aucune expression, refusait de dire quoique ce soit, elle se fichait e tout. Plus tard, voyant qu’elle ne prononçait pas un mot, la police et l’hôpital la renvoyèrent chez elle. Seulement elle n’était plus que ‘ombre d’elle-même. Elle ne sortait plus, n’allait plus au lycée, ne mangeait presque plus. Elle nourrissait sa colère contre ce porc en se repassant inlassablement et inconsciemment le film de cette tragédie. Un jour, une amie vient la voir pour l’emmener hors de ses murs. Elle accepta sans grande conviction et fit alors avec câline les boutiques.

Sa copiée commençait à perdre espoir jusqu’ moment où elle fut intrigué par des gants en vitrine. C’était la seconde expression qu’elle manifestait depuis deux semaines. Elle firent le tour de la boutique et achetèrent finalement les gants noirs en satin. mikado les enfila promptement et son visage changea du tout au tout. – mikado ? Est-ce que ça va ? – Beaucoup… Mieux… ! Je dois y aller, désolé. Je te remercie de m’avoir sorti. Ça va ? – De rien, ne t’en fais pas. câline s’interrogea sur son brusque changement de comportement et se dit finalement que ce n’était rien.

Durant deux jours, la jeune fille se fascinait de son achat. Quand elle les portait, elle se sentait différente. Plus forte, plus chaleureusement mais, paradoxalement, plus agressive. Parfois elle sentait une colère monter en elle pour une petite chose. Plus tard, alors qu’elle était dehors regarder les étoiles, elle repensait de nouveau à cette soirée. Elle fut prise d’une colère puissante et frappa fortement au sol. Le gazon venait de noircir et ses mains de s’enflammer. Sa première réaction ne fut pas d’être paniqué, mais subjuguée.

Depuis toute petite, elle était heureuse de voir des flammes et, elle le savait, cette découverte allait changeait sa vie. Mais comment ? Le jour avant, elle tenta vainement de s’entraîner à contrôler son nouveau pouvoir, sans succès. Elle reprit des couleurs au fil du temps et, n’étant malheureusement pas rétablit du traumatisme, retourna en cours. Tout le monde lui posait des questions, voulant savoir ce qu’il s’était passé, à un point elle finit par hurler qu’on lui fiche la paix. Plus personne n’osait la déranger par peur. On commençait à avoir peur d’elle, de son caractère qu’elle s’était forgée.

Plus le temps passait, plus commençait à avoir peur d’elle, de son caractère qu’elle s’était forgée. Plus le temps passait, plus cela devenait évident pour elle que la cause était les gants. La Cayenne ne pouvait cependant pas les retirer, il y avait un charme dans ses gants, comme-ci ils étaient liés à elle… Une semaine plus tard, elle dut reprendre le bus, au même endroit, presque à la même heure. Elle se disait qu’elle ne risquait plus rien, mais elle tremblait tout de même. Un bruit de poubelle attira son attention. Un jeune homme était assis dessus, un autre à côté discutant, en la regardant parfois.

Tout à coup, on l’attrapa, la poussant vers eux, une main jours sur la bouche.  » ! Ça y est… Ça recommence… Je ne veux pas – Tiens tiens, nous avons une demoiselle qui vient nous rendre visite. Je crois bien que c’est celle que j’ai attrapé la fois dernière ? Mais oui ! Je reconnais la courbe de ses fesses et de ses seins. Il toucha les parties de son corps fermement pour souligner ses propos alors que les deux autres récriaient en se rinçant l’?il. – Espèce de ! AI l’empêcha de parla en la giflant violemment. -Tu vas te taire ? Ces rare que j’ai le droit de profiter deux fois du même corps.

Et je crois bien que je ne serais pas le élu cette fois. Tu vas être très gentille avec nous je crois bien… Il déchira son T-short et demanda aux autres d’enlever le reste de ses vêtement crois bien… Reste de ses vêtements. Elle se retrouva nue devant eux, incapable de bouger à cause de la main puissante qui tenait les siennes dans son dos. Ils la poussèrent de nouveau dans la ruelle, identique et elle savais que le même schéma allait se reproduire, par trois fois cette fois. Seulement quelque chose se produisit en elle, un changement, comme si quelqu’un la contrôlait… Vous voulez jouer ? Et si on jouait à mon jeu ? Dit-elle avec une voix ténébreuse Celui qui la maintenait prisonnier la lâcha subitement et secoua ses mains, légèrement brûlé. La jeune prodige créa une barrière de flamme les empêchant de sortir de la ruelle et envoya une boule de feu sur l’entre-jambe d’un des violeurs. Il se mit à hurler de douleur en se courbant et elle en profita pour faire jaillir en continue des braises sur lui, mettant le feu à ses vêtements et à sa chair. Il hurlait, un son horrible émanait de sa chair en combustion.

Elle se détourna de lui, continuant de brûler, et se dirigea vers le icône. Pris d’une terreur infinie, il essaya de trouver un moyen de s’enfuir. Comme pour s’amuser, elle fit avec ses pouvoirs un lasso de feu et le tira vers lui. Elle l’attrapa par la gorge et le souleva à dix centimètre du sol. Elle s’amusait et pourtant était dans une rage incommensurable. – Pourquoi tu veux partir ? Tu n’aimes p s’amusait et pourtant était dans une rage incommensurable. – Pourquoi tu veux partir ? Tu n’aimes pas mon jeu ? Je croyais que tu aimais ce qui était CHAUD !

Sa main s’enflamma, mettant un terme à la vie du second en carbonisant sa tête. Elle avait gardait le meilleur pour la fin : Celui qui était la cause de ce qui lui arrivait. Ce qu’elle disait elle le pensait, c’était bien mikado, mais avec un côté extrêmement maléfique. -Je t’en veux tu sais ? Dit elle avec une voix de fantôme. On ne doit pas s’attaquer à la pureté d’une fille… – Je suis désolé… Pardonne-moi je ne sais pas ce que j’ai fais, je n’étais pas moi-même. – Pas toi-même ? Pas toi-même ?! Tu SAIS ce que ça fait de se faire violer ?! Hurla-t-elle en l’agrippant par les vêtements.