Matilda

essay A

De nos jours, les progrès techniques en médecine sont tels qu’ un couple désireux d’avoir un enfant n’est plus obligé de passer par un rapport sexuel; fait q ui aurait été impensable il y a à peine quelques années. Ces progrès sont souvent utilisés dan s le cadre d’un couple qui ne peut avoir d’enfant. Mais ces techniques soulèvent aussi grand nombre de polémiques. Ainsi quel prix l’être humain estil prêt à payer pour avoir un enfan t? Nous présenterons donc trois différentes techniques de procréa ion assistée.

Tout d’abord Sni* to View fécondation in vitro la gestation pour autrui GPA ) et enfin le diagnostic préimplantatoire DPI (fécondation or 3 héréditaires. Mais la pratique de la FIV a ses limites : alors que ce rtalns pensent que l’embryon peut être considéré comme un humain à part entière, I a congélation d’embryons ainsi que leur potentielle destruction suite à un abandon du proje t familial met en relief la question de la dignité humaine. De même, plusieurs remettent en uestion les chances de réussite faibles de la pratique (environ 25%).

Le diagnostic préimplantatoire ( ) consiste en une sélection d’embryons parmi plusieurs afin de choisir ceux qui ne portent pas de maladies génétiques. O r, cette pratique est de plus en plus controversée, étant pour plusieurs source d’eugénisme. E n effet, alors que le DPI était utilisé pour diagnostiquer «les maladies fatales», il devient de plus en plus fréquent pour les «anomalies mineures» : selon le document , le DPI en cran eBretagne est utilisé pour empêcher le bébé d’hériter du strabisme, maladie pourtant moins fatale que certains types de cancers.

Le monde seraitil à la recherche de «bébés parf aits» ? De même, selon le document 2, 42% des cliniques aux EtatsUnis offrant le DPI perme ttent le choix du sexe du bébé. Or, dans plusieurs cultures orientales (Inde par exemple), ‘h omme est privilégié à la femme. Ainsi, la crainte de Peugénisme se p ose encore : existeratil un sexe dominant ? or, cette pr