Marion de lorme, questionnaire

essay A

Le champ lexical de la pitié est bien présent : « haine, mépris, orgueil, misère, peine, miroir terni, vieux, mal, pauvre, sombre, si maman e orme, questionnaire premier boy collecte I H0fi6pq 1 1, 2009 8 pages swaps toi vie nixe page isolé, meurt, sang ». Dédier veut attendrir marron. AI lui expose les souffrances qu’il a vécu (v. 107 à 123) et ensuite ses sentiments pour elle « enfin troublé d’amour » (v. 124 à la fin de la tirade). AI veut la convaincre qu’il lui est entièrement dévoué « parlez, ordonnez, me voici » A la fin de la scène 2, Dédier entend une voix (v. 139). Dans la rue qui crie « A l’aide, au meurtre !

AI accourt au secours de la personne en sautant par-dessus le balcon. Il crie qu’on « Arrête ! » aux six personnes qui sont ses adversaires (v. 200) Acte AI) Que réponds Cassé… Villa et moments ne sont pas d’accord sur le prestige de Corneille. moments prône qu’il est le meilleur écrivain de théâtre alors que Villa préfère Robert garnie ou encore typhoïde de via. Il cite de nombreux auteurs académiciens qu’il juge hautement supérieurs à la littérature de Corneille. Ils ont l’intention d’en venir au duel au pistolet («J’aimerai mon tour te dire deux mots – A l’épée ? – Oui. – Veux-tu le ? L’un et l’autre. » v. 377 à 381 C’est l’angles, pistolet bouffon du roi, qui les en dissuade en faisant référence français de Montmorency « Souvenez-vous du sieur il s’était battu en duel et avait été de bouteille (v. 382); exécuté en 1627. Le crieur public annonce que des il s’était battu en duel et avait été exécuté en 1627. Crieur public annonce que des édits précédents devaient faire arrêter les duels mais que ceux-ci se répandent toujours. Alors, tous ceux qui s’adonneront en duel dès présent, seront exécutés, « nobles ou vilains soit pendus haut et court » (v. 12) Dédier veut retrouver sévères car il sait qu’il était avec marron de larme avant lui- même la nuit dernière (Acte l, scène 1). Quant à sévères, c’est pour payer la dette qu’il a envers le gentilhomme, en effet, celui-ci l’avait sauvé (scène 2) quand il s’était fait prendre en embuscade par des voleurs. Il estime qu’il lui Ils finissent par s’affronter sera toujours redevable. Pour tout autre sujet. sévères n’avait pas bien vu la tête de Dédier lorsque celui-ci l’avait aidé contre les voleurs, alors il ne sait pas que c’est lui.

Il l’insulte en lui demandant de lire l’édit qui est au dessus de sa tête (« Savez-vous pas l’épeler l’alphabet ? » v. 455 et « ce peuple est insolent ! » v. 461) mais Dédier la reconnu et est piqué u vif, il demande le duel, une épée : « Si nous mêlions notre sang, que t’en semble ? » (v. 470), « Une épée ! » (v. 487). A la fin, le marquis fait semblant d’être mort arrive et échappe donc à la quand le quartier sentence d’être pendu, ce qui mort quand le quartier arrive et échappe donc à la sentence d’être pendu, ce qui n’est pas le cas de son adversaire qui se fait arrêter.

élèveras est un juge du tribunal, lieutenant-criminel du seigneur le Roi (v. 1 061-1062). Le marquis de Nancy est l’oncle de sévères : « Comment le marquis de Nancy a-t-il pris la mort de son neveu ? (v. 485) élèveras reçoit une lettre de l’état qui l’informe qui Dédier s’est échappé avec marron de larme dans la scène 4 « Lieutenant criminel, on vous fait ici part que Dédier, l’assassin du feu marquis gaspacho, s’est échappé… Une femme qu’on dit marron de larme l’accompagne. » (v. 65, 666) Dédier et marron de larme se sont déguisés en espagnols, ils se fondent dans ce groupe de comédiens qui demandent l’asile dédicaçais p. 218 : Entre une troupe de comédiens de campagne, hommes, femmes, enfant, en costumes de caractères. Parmi eux, marron et Dédier, vêtus à l’espagnole. Dans la scène 7, sévères et Dédier ont une discussion. Le marquis apprend alors au gentilhomme que marron de larme a sans doute « pour vous, fait les yeux doux, sans doute à quelque archer » (v. 860). Ce dernier est immédiatement éprit de jalousie et lui en veut énormément, il dit : « l’ange était un démon » (v. 64). Donc, alors qu’il pouvait s’enfuir avec elle à ce mm l’ange était un démon » (v. 864). Donc, alors qu’il pouvait s’enfuir avec elle à ce moment, avant de révéler son identité à élèveras, il ne fait rien et se rend, dit marron « Madame » (v. 990), propos froid pour des amants. sévères, peut-être afin de payer sa dette, dévoile sa réelle identité. Rappelons qu’il s’était fait passé pour mort pour ne pas être exécuté lors de son duel avec Dédier. Il dit « celui qu’on croit mort n’est pas mort. – Le il en découle que cet acte les fait voici ! » (v. 022). Mais tous les deux condamnés, en effet l’édit disait que même s’il y avait deux survivants, les deux serait pendus. Acte AV C’est le marquis de Nancy, oncle de sévères, et marron de larme qui viennent demander grâce au roi (« Grâce ! » v. 1270). Malheureusement ils n’ parviennent pas et le roi les congédie. C’est l’angles, le bouffon du roi qui y parvient. AI discute avec le roi et le mène là ou il veut en venir, c’est-à-dire, à lui rappeler que deux jeunes de vingt ans chacun vont mourir (« Et bien, il en est deux qui vont mourir sous peu » v. 1475).

Mais cela ne suffit pas, le roi, toujours refuse de leur faire grâce. Alors l’angles parvient à faire dire au roi tout haut qu’il aime la présence de son fou (« Si je ne t’avais pas pour m’égayer un peu… » v. 1514), et à partir de là, un peu… » v. 1 51 4), et à partir de là, il se range lui aussi dans le rang des condamné (puisque il avait donné son épée à Dédier lors sur duel Acte AI), sachant pertinemment que le roi ne voudra pas le voir mourir également et obtient donc l’acte de grâce (« Bouffon, un parchemin ! Je vous fais grâce à tous ! » v. 1542).

Acte V L’ordre du roi n’est plus valable car, élèveras en détient un autre de la nuit précédente qui le révoque. Dans la scène 2, élèveras propose à marron de faire évader Dédier et sévères par a brèche du mur qu’on percé les ouvriers de la scène 1 : « Et vous les sauveriez ? -Oui. » (v. 1629). Elle explique toute la façon avec laquelle elle veut s’enfuir dans sa tirade du v. 788 à 1794. A l’aide du geôlier et des deux hommes sentinelles, ils extirperont Dédier et sévères déguisés hors de leur cellule et de leurs chaînes puis s’en iront avant que recueillie n’arrive.

Une fois arrivée devant Dédier, elle veut se dépêcher mais celui-ci insiste et ils commencent à discuter sur ce qu’aurait fait marron pour arriver à le faire sauver : « pour que devant vos pas, la prison s’ouvre ainsi, à qui vous êtes- vous prostituée ici ? (v. 1869). Il est jaloux et refuse alors de s’échapper. Mais lorsque ici ? (V. 1 869). AI est jaloux et refuse alors de s’échapper. Mais risque vient le bourreau, il va pour embrasser sévères et finalement cède et embrasse marron aussi.

AI ne veut plus mourir, mais on l’emmène c’est trop tard. Le drame romantique La pièce ne respecte pas la règle des trois unités car elle se situe dans plus d’un lieu, en effet, dans l’acte I et AI, les personnages sont à Blois chez marron de larme, dans un café, puis dans le château de nantis, puis à la salle des gardes au château de chambrer, au donjon de bégayent. Elle ne se passe également pas en vingt quatre heures, il se déroule plusieurs jours, voire semaines entre le duel de sévères et Dédier et leur exécution.

Enfin, on peut dire que la pièce comporte, une seule principale intrigue (est-ce que marron va réussir à sauver Dédier, son amoureux ? ), seule règle respectée des trois unités. La référence à Corneille dans la dispute de Villa et moments est un lien avec la comédie classique puisqu’ a écrit six pièces comiques avant d’écrire des tragédies. La pièce peut également s’apparenter avec les pièces de maritaux du sixième qui mettait en scène des comédies sentimentales comme c’est le cas avec l’histoire d’amour entre Dédier et marron de La pièce contient des éléments tragiques car larme.