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UNIVERSITÉ DE LOMÉ Master —Marketing (promotion Ill) ARTICLE: Qu’est-ce qu’une bonne gouvernance ? Présenté par • BONFOH Nandja Ahmed Chargé du cour : Dr Tank0A. ANKPE plan Sni* to View Biographie des Auteurs Contexte et problématique Objectif et Intérêt de la recherche Evolution du concept Conclusion une gouvernance d’entreprise peut être « bonne » ou « mauvaise » compte tenu de sa pratique au sein de l’entreprise.

Ce pendant, la défnition de la « bonne » gouvernance a suscité au sein de la communauté scientifque des de gestion à l’université d’Orléans Thèse de doctorat en sciences de gestion Publication Revue française de gouvernance d’entreprise, n 4, P 9-29 Revue science de gestion (économies et société) n 45 , p 105-135 l- Biographie des Auteurs (suite) • Stéphane ONNEE, professeur spécialiste de rattachement Financestratégie , Professeur agrégé des Université , science de gestion. ?? Responsabilité administrative : • Membre élu de la sixième section (science de gestion) du conseil National des universités : mandature (2003-2007) et ‘2008-2012) • Membre du jury National du Diplôme d’Expertise Comptable, depuis 1997 Travaux et publication : • 1 ouvrage de recherche • 2 ouvrage s, dont un en collaboration ?? 34 articles • Auteur, seul et en collaboration de 17 chapitres d’ouvrages Il.

Contexte et problématique • Apparu au début des années 1990 la gouvernance d’entreprise recouvre l’ensemble des principes touchant la direction et la surveillance d’une entreprise. La gouvernance s’intéresse donc à la manière dont les entreprises sont dirigées et contrôlées et s’assure de la qualité des organes de gestion. Ce pendant, la défnition de la « banne » gouvernance a suscité au munauté PAG » OF d gouvernance ?

C’est à cette question que les auteurs de cet article se sont intéressés. Ill- Objectif et Intérêt de la recherche ?? L’objectif de cette étude est d’analyser le concept de la « bonne » gouvernance sous l’angle des pensés développées par les auteurs contemporains. • L’intérêt de cette étude est de compléter l’approche actionnariale et disciplinaire sur le concept de la « bonne » gouvernance en utilisant la rupture épistémologique.

Cette étude va permettre également aux opérateurs économiques d’intégrer le caractère humaniste dans la gestion de l’organisation. IV- Évolution du concept convergence entre approches théoriques, mécanismes de régulation et dispositifs de notation : l’installation d’une pensée dominante ?? protéger les actionnaires des comportements opportunistes du dirigeant • La « bonne » gouvernance dans les dispositifs de régu ation généalogie d’un consensus.

La notation de la gouvernance, élément de renforcement de la pensée dominante • L’émergence de dissonances En conclusion, plusieurs sont intervenus dans la pensé dominante à trave PAGF3Cfd actionnaires à une gouvernance élargie aux autres parties prenantes • D’une logique disciplinaire à une logique cognitive • une remise en cause mesurée de l’hypothèse d’opportunisme • la théorie de l’intendance. Malgré la contribution forte de la héorie de l’intendance au concept de la « bonne » gouvernance, Davis et al. op. cit. ) ne remettent pas en cause le paradigme dominant et continuent ? retenir l’hypothèse d’un individu maximisateur d’utilité ; seule la nature de la fonction d’utilité change. Pour une nouvelle approche de la gouvernance : la nécessaire rupture épistémologique • Hypothèse humaniste versus hypothèse opportuniste : la question éthique. • une reconceptualisation de l’entreprise : communauté de sujets libres et responsables engagée dans un projet • une reconceptualisation de l’entreprlse : communauté de

V- conclusion La défnition de la « bonne » gouvernance dépend étroitement du paradigme auquel la réponse se réfère. Les limites tant théoriques qu’empiriques du paradigme dominant, qui est fondé sur l’utilitarisme et défnit l’entreprise comme un nœud de contrats, se manifestent de plus en plus clalrement. L’article invite à une rupture épistémologique. En défnissant l’entreprise comme une communauté d’être humains libres et responsables engagée dans un projet au service du bien commun, il propose de nouvelles voies our re enser la gouvernance propose de nouvelles voies pour repenser la gouvernance