Ma Soiree Initiatique

essay A

Jean-Claude GIRARD Le 12. 11. 2014 La mémoire de la Loge A La Gloire du Grand Architecte De L’Univers Second surveillant A. e. G. a. D. O. G. O. A. O. D. O. L. O. U. Sous les auspices de la Grande Loge Régulière Française Respectable Loge : Le Pao. ‘is Du Myosotis V. M et Dignitaires qui décorez l’Orient, et vous mes Sœurs et mes Sni* to View Frères en vos rangs, Ma soirée initiatique pour venir à cette soi ans. or7 pagné de Caroline ma femme et de Patrick, qui m’a pr sent la RL (Respectable Loge) dans laquelle je vais être initié ce soir.

Après les avoir laissé à l’entrée du Temple, j’attends à l’écart dans la voiture que l’on vienne me cherche. J’essaye d’être calme et serein mais une légère boule se fait dans mon ventre, le trac. C’est une chose que je connais et que j’arrive à maitriser. Je dois cela à mes années de danseur ou le trac faisait de mon quotldien. Avant chaque entrée sur scène la petite boule montait et redescendait dès le début du spectacle. Après quelques exercices de respiration, quelques étirements et quelques pas dans la rue, et le nœud disparait.

Celui ci revient dès que l’on me signale que je niai pas de veste. La grande panique intérieure, je ne passerai pas les épreuves initiatiques ce soir. Grande décept déception interne et je suis très fâché contre moi pour cet oubli, mais J’essaye de ne rien montrer. une solution est trouvée. Je revis et ma détermination est encore plus grande. une fois la porte d’entrée passée, on me bande les yeux et Camille, que j’avais vu lors de mon passage sous le bandeau, me demande de ne suivre qu’elle et personne d’autre. Je m’abandonne à elle car je lui fais une grande confiance.

Le bandeau m’est enlevé une fois que je suis dans une petite pièce noire avec une faible lumière et quelques objets posés sur la table et une tenture au mur. Camille me demande de faire mon testament philosophique. Je m’y attelle. Au départ, je me demande quoi écrire et pour m inspirer j’observe la pièce et les différents objets qui s’y trouvent. Le pain et le verre d’eau sur la table me font penser au dernier repas du condamné. Je regarde la tenture et je la détaille. Une suite de lettre m’interpelle: V. I. T. R. I. O. L. Cela commence bien je vais être dissous.

Puis un coq, l’animal qui chante au lever du jour, donc je vais me relever. Cest à ce moment que mes idées se mettent en place et d’un jet je réponds aux questions et rédige mon testament se mets en place dans ma tête. Puis en continuant de détailler la tenture je vois un sablier et l’idée du temps qui passe me traverse l’esprit. Et avec les deux calices la soif du savoir et la soif tout PAG » rif 7 passe me traverse l’esprit. Et avec les deux calices la soif du savoir et la soif tout court me viennent à l’esprit. Dois-je boire le verre d’eau sur la table ou pas? Je ne le boirais pas.

Je me mets ? rédiger mon testament qul devient de plus en plus clalr dans ma tête. Entre chaque ligne écrite, je lève les yeux et je vois cette tête de mort avec cette faux qui m’observe. une fois mon testament rédigé, Camille vient prendre mes métaux. Elle m’explique que les métaux sont mes bijoux, ils ne reflètent que la brillance et le paraitre, l’envie et qu’il faut que je les lui donne pour repartir avec une nouvelle vision des choses. Je les lui donne en embrassant une dernière fois la plaque avec le nom de mes enfants et je dis out bas que je les aime et qu’ils vont pouvoir être fier de leur papa.

Une fos mon testament terminé je regarde la tenture et j’essaye de me souvenir de tous les symboles. Le temps me parait interminable. J’ai hâte de passer les épreuves afin de savoir si je suis digne d’entrée en franc-maçonnerie. Camille vient me chercher pour me préparer pour les épreuves. A partir de ce moment je suis prêt à suivre Camille partout et à subir n’importe quel épreuve, même donner mon sang si il le faut. Camille me bande les yeux à nouveau. Je m’en remets omplètement à elle tout en restant fier dans ma chaussure.

De toute façon rien ne peut m’arrive PAGF3C,F7 remets complètement à elle tout en restant fier dans ma chaussure. De toute façon rien ne peut m’arriver elle est à mes côtés. Je me mets à quatre pattes pour rentrer dans le lieu des epreuves. On me redresse et première sensation, une épée me pique le torse. Je me recule légèrement puis je me remets en appuis sur cette lame qui, si elle doit me pénétrer la peau et bien fait ton travail lame, je suis prêt. une voix forte me rappelle pourquoi je uis là et me demande si je suis toujours sur de mon choix.

Je réponds par l’affirmative. Une main me donne une coupe avec de l’eau pour que je boive. Je bois cette eau claire et agréable. La première voix me fait prêter serment et une personne me donne à nouveau une coupe pour que je bolve. Cette fois ci le breuvage est fortement amer et ce gout va raster longtemps dans ma bouche. Toujours la même voix m’explique que l’eau est devenue amère car c’est le symbole du remords qu’il y aura dans mon cœur si je trahi le serment de ce soir. Par la suite je marche sur un ol instable et un bruit de lames qui se heurtent arrivent à mes oreilles.

Je ne suis pas impressionné, juste surpris car d’autres épreuves doivent venir derrière. Ce n’est pas du bruit qui va m’empêcher d’aller jusqu’au bout. Une personne m’explique que le voyage que je viens de faire représente la vie humaine et que le chemin accidenté représente voyage que je viens de faire représente la vie humaine et que le chemin accidenté représente lui les aléas de la vie que fon doit surmonter. L’on me pose des questions entre chaque « voyage pour ce deuxième voyage je rencontre un sol mons ccidenté, puis un souffle d’air me fouette le visage.

Les épreuves s’enchainent. Lors de l’épreuve du feu une forte chaleur m’atteint au visage. Ce n’est pas après cette épreuve que je vais demander d’arrêter mon initiation. Cette chaleur me réchauffe et emplie mon corps comme si on brulait toutes le importées que l’on peut accumuler pour finir en cendre afin de faire comme le Phénix renaitre de ces cendres. Quant à l’épreuve de l’eau cela m’a fait penser au baptême et à la purification des pensées du début de la cérémonie.

Mals ces deux ?preuves n’ont pas été très forte émotionnellement car mon esprit était prêt à subir des épreuves plus physique. A la fin des épreuves je reste droit et fier, et j’ai un drôle de sentiment. Le faite d’avoir passé toutes ces épreuves symboliques avec succès me remplie de joie, mais je ressens comme un parfum d’inachevé car dans mon esprit j’étais parti pour subir des épreuves mettant mon mental et ma vrai détermination en jeu. J’étais prêt à être brulé, d’avoir la tête dans une bassine d’eau et d’être coupé pour que mon sang coule. A ce moment une forte lumière m’aveugle qu