L’olive

essay A

simple « Je vis sortir ( Dans ce sizain au rim termes fort sont ass mettre en valeur : l’a comparaison méliora L’olive Premium gy chichepo 15, 2014 4 pages 1. La composition du poème Ce sonnet en décasyllabe est un modèle du genre : les deux quatrains formes une unité farte puisqu’il mette en place le décor dans lequel le poète va voir surgir la femme aimer. Cette unité est bien marquer par l’anaphore de « déjà » au début de chaque quatrain, prélude à l’évocatlon dun cadre enchanteur et d’un moment privilégié, la naissance des jours.

Les tercets de leur côté introduise une autre unité thématique autours de la figure de la femme : la subordonné de temps « quand d’occident, comme une étoile je vis sortir » (vers 9-10) comme le marque aussi le changement des temps de l’imparfait de description « amassait (vers 1) rougissait (vers 5) » au passé Swipe to page on Snivxto embrasser) des contribue à la intérieure d’une t (vers 11) » qui montre cette femme tous dans le mouvement en fin le terme aurore qui renvoi à la mythologie de déesse gréco-latine.

Tout cela permet de l’idéalisation de la femme aimer. . Le décor Les deux premier quatrains son riche en indlcatlon de temps car le poème insiste ici sur [‘évolution su temps qui s’écoule et vois naitre le jour. Le premier quatrain évoque ainsi la fin de la nuit au moyen d’une image traditionnel emprunté à la mythologie (voir travaille de recherche) : la nuit et ainsi la déesse montée sur son char précéder de « noirs chevaux).

Les verbes d’actions mis à la rime amassait et chasser donne du dynamisme a la scène tous comme la métaphore filer du berger qui rassemble qui rassemble un grand troupeau d’étoile. Une grande ambiance de clair-obscur un peu mystérieuse : « la nui » et « ses noirs chevaux » forme un contraste avec la faible lumière des étoile. Le deuxième quatrain au contraire marque la production du temps avec la naissance de la lumière et des couleurs : « le ciel.. ougissait » l’aube elle-même est représentée au travers de l’allégorie d’une belle jeune femme : ces tresses tant blonde mise valeur par la discret allitération en consonne dentale t et pas la consonne sifflante s. La poésie magique de ce moment est soulignée par la métaphore es « perlettes » vers 7 la rosée : c PAG » OF d des « perlettes » vers 7 la rosée : cette métaphore est appuyé par le néologisme crée en additionnent le mot perle et le suffixe ette qui souligne tout la beauté du moment présent chers à l’auteur et prolongé par les termes trésors et enrichissait. . Le regard ébloui sur la femme aimée. L’apparition de la femme aimer dans le 1er tercet et d’abord mise en valeur par le choix du verbe au passé simple je vis sortir » vesr 10 placer en début de vers cette femme n’est pas directement nomé puisque le poète a recours a une périphrase ui contribue d’ailleurs à la diviniser IJne nymphe (divinité féminine de l’antiquité gréco-romaine) pèrsonifiant certain très de la nature et souvent nue en littérature jeune fille gracieuse et bien faite.

On peut remarquer aussi les indications de lumière couleur une étoile vive vers 9 et verte rive vers IO l’indication spaciale attaché a sa proveunance (« quand d’occidant » vers 9) crée une simétrie av la naissance du jours au inde c’est-à-dire à l’est la rupture sintaxique crée par l’apostrophe au fleuve par le recours au ossésife de marque la relation de tendre fammiliarité qui unie le p fleuve par le recours au possésife de marque la relation de tendre fammiliarité qui unie le poète a se fleuve qui coule dans son Anjou natale ce cadre aimer sert donc d’écrin à la beauté de la femme amer.

Dans le deuxième tercet la beauté de cet nymphe est encore augmenté par son association à l’aurore vesr 12 et la rivalité qui s’établie entre deux image de dées associé a la beauté. Less deux beauté ce trouve ainsi mise en concurrence face au jours honteux le derneir vers du poème étable d’ailleur grace à sa construction n tricte parallèle entre les deux beauté, designé par deux périphrase mise en valeur par la diairèse et concurencé par ce lui d’Anjou L’éxpression du sentiment amoureux Cl indircet passe par la élébration fervante de la beauté de la femme aimer.

Cet célébration s’installe dans une sructure calssique dans lequel la mise en place d’un cadre enchanteur les deux catrins annonce et prépare l’apparition de la femme aimer les tercets insiste particulièrement sur la beauté de cette femme aimer indication de couleur de sensation et rivalité entre elle et l’aurore. S