L’homoséxualité

Aucune organisation d’occident ne consid maladie ni un sujet d’ out essai de change souvent dénoncé fer nécessaire ou inefficace. Ripe next page logique majeure me étant une tel. Au contraire, Ile est aujourd’hui angereux, non Après avoir décrit et parler de l’homosexualité, nous abordons maintenant la partie la plus délicate de la question que pose l’homosexualité : arriver à en définir les causes probables, et déterminer si l’on peut volontairement évoluer et changer. Les causes de l’homosexualité On ne connaît pas avec certitude les causes de l’homosexualité.

Notons cependant d’emblée que l’homosexualité a rarement des auses d’ordre biologiques. Ce qui signifie que les causes Swige to vie' » next page de l’homosexualité sont principalement psychologiques. Il est certes difficile, voire impossible de définir plus précisément les causes de Ihomosexualité, celles-ci étant trop complexes et multiples. Nous pouvons cependant essayer d’en discerner quelques unes. L’homosexualité est-elle innée ? Il semblerait que certains « naissent comme ça » et sont, depuis toujours, attirés par les personnes du même sexe.

On dira alors que l’homosexualité est « innée », qu’elle est ‘origine génétique. Mais on n’a rien trouvé pour confirmer cette hypothèse. Il convient cependant de noter que l’homosexualité possède rarement des causes d’ordre biologique. Ainsi certaines sportives de haut niveau, auxquelles des hormones mâles avaient été injectées, ont été en proie à des pulsions homosexuelles, alors qu’elles n’y étaient guère disposées préalablement. Cette attirrance sexuelle due à un trouble hormonal se soigne comme une maladie par un simple rééquilibrage médicamenteux.

Il serait abusif de s’appuyer sur ces troubles pour induire que ‘homosexualité puisse être biologique. Dans l’état actuel de la recherche, il n’y a aucune preuve sérieuse qui permette d’affirmer que l’homosexualité ait des causes physiques ou génétiques. 3- A qui la faute ? Ce n’est de la faute de personne : pas la vôtre, pas celle de votre partenaire, pas celle de votre enfant non plus. L’homosexualité comme Phétérosexualité ou la bis 2 votre partenaire, pas celle de votre enfant non plus. L’homosexualité comme l’hétérosexualité ou la bisexualité n’est pas un choix. On ne choisit pas son orientation sexuelle.

Les seuls choix qui s’offrent à la personne sont les suivants : vivre en aspirant à un certain degré d’authenticité avec soi (et les autres) et s’assumer ou non en tant que personne d’orientation homosexuelle, hétérosexuelle ou bisexuelle. L’important est d’arriver à s’accepter « tel que l’on est ». 4- Conclusion pour conclure, Ihomosexualité reste toujours pénalisée dans certains pays, la peine encourue peut être une amende voir une peine de prison ou même une peine de mort. La religion reste une entrave importante à l’acceptation de l’homosexualité, n particulier dans les pays où la religion a toujours un poid important.

Enfin l’homosexualité reste, même dans les pays où elle n’est plus pénalisée, un sujet menant à controverses. Les opinions par rapport à l’homosexualité divergent beaucoup selon les catégories de population, l’incompréhension et le rejet persistent donc. Cette homophobie peut se manifester par un regard malveillant voire des violences physiques menant parfois à la mort. Mais elle peut aussi se manifester dans la sphère familiale et engendrer alors des situations très conflictuelles voir dramatiques. 3