Les ressources en eau en france
Cependant la croissance de la demande en eau augmente. L’homme consomme de plus en plus d’eau mais il en gaspille de plus en plus aussi. Les besoins en eau évoluent au fil des générations. L’augmentation de la pope ôtions y est pour beaucoup ainsi que la croissance de la production agricole et la hausse des niveaux de vie rend la société de plus en plus consommatrice d’eau. Les plus gros consommateurs d’eau en France sont les industries, les collectivités locales, les centrales électriques et le secteur de l’agriculture.
La France met en place des moyens de préserver l’eau en éditant des lois. En France, environ 60% de la demande en eau potable est couverte par les eaux souterraines, par les eaux de surface et 100/0 par les eaux mixtes (eaux souterraines en contact avec les eaux de surface). On constate que l’homme a un grand besoin en eau potable et doit donc exploiter cette eau. On se demande alors Comment l’homme exploite-t-il l’eau potable en France ? Premièrement, nous verrons quelles sont les ressources misent à la disposition de le France et comment celle-ci sont exploitées.
Puis, nous observerons la cône la disposition de le France et comment celle-ci sont exploitées. Puis, nous observerons la consommation et les prélèvements d’eaux ainsi que la politique de l’eau et les gestes à acquérir pour économiser l’eau. Enfin nous exploiterons les différents traitements de l’eau douce et salée et les traitements de demain. I-Ressources d’eau en France I-La répartition de l’eau en France Les eaux de surface et les eaux souterraines sont les principales sources d’eau en France. Pour étudier la répartition de l’eau en France on met en corrélation différentes cartes.
On étudie écartes différentes : une carte de fond hydrographique, une carte des pluies alluvions et ne carte des ressources d’eau de surface. Cependant les pluies en France sont très variables d’une année à l’autre. La carte sera donc sur les pluies efficaces de 2004/2005 comparées à la moyenne sur 50 ans. Écarte sur le fond hydrographique : Comme nous pouvons le remarquer sur cette carte le Nord et le Centre-Nord de la France possède de fortes ressources en eau souterraine ainsi que les Landes, les Vosges et le Jura.
Tandis que le Centre, le Sud et le Nord Ouest possèdent de très faibles ressources en eau. Écarte sur les pluies alluvions : Écarte sur les ressources en eau de surface Les eaux sont éparpillés sur l’ensemble du territoire français cependant on voit une concentration légèrement plus importantes au Sud-Est et à proximité des montagnes. OMise en corrélation des écartes : En étudiant bien ces cartes on observe une forte sécheresse dans les régions du sud-ouest, le sud-est et le nord et pourtant de fortes quantités d’eau y sont installées.
Les régions du Nord et du Sud-ouest ont une quantité d’eaux souterraines non-négligeable. Tandis que la région Sud-est possède une grande quantité d’eau en eau de surface. Alla répartition de l’eau En France, les ressources sont inégalement réparties et varient selon les saisons ce qui influent sur certaine région car certaines d’entre-elles subissent des difficultés face à la sécheresse. Par exemple, en bretonne, la proximité du socle granitique limite la capacité de stockage souterrain et rend les eaux de surface vulnérable aux affluents de l’élevage.
D’autres régions comme la région méditerranéenne subissent un climat sec et violent. Le sud-ouest se voit toucher par un début de sécheresse tout comme la; les eaux sont en moins grandes quantités que dans les autres régions. Alors que la région parisienne se voit muni d’une grande quantité d’eau potable malgré le début d’un climat de plus en plus sec. Les océans -Les eaux continentales -L’atmosphère -La phosphore Le cycle de l’eau s’effectue à 2 niveaux: -Niveau atmosphérique -Niveau terrestre Le moteur de ce cycle est le soleil, grâce à son énergie.
L’échange d’eau est permanent. Le cycle permet de renouveler les nappes souterraines en eau douce qui proviennent principalement des océans et des mers. En effet une partie de l’eau évaporée, grâce l’action de l’énergie thermique du soleil, se condense puis retombe en récupération sur les océans et les continents grâce aux courants aériens, L’eau s’infiltre aussi dans les sols, renouvelant les nappes libres et captives ou ruisselle ( conséquence de l’écoulement fluvial ) pour revenir vers les mers et océans où l’eau se révérera, Le cycle de l’eau est sans fin et permanent. Voici un schéma qui récapitule le cycle de l’eau 3-Les eaux en France a- Les eaux souterraines ?Définitions La nappe d’eau souterraine est une masse d’eau contenue des infiltrations et des prélèvements d’eau. Une nappe souterraine est caractérisée par sa surface soumettriez. Si la surface obstétrique recoupe la surface topographique alors une source apparaît. La position de cette surface permet de définir le type de nappes. On répertorie en France environ 450 chaufferies dont 200 sont des chaufferies régionaux, 25 sont des nappes captives et 175 sont des nappes libres.
On estime que 400 chaufferie renferment 4000 milliards m*3 dont 200 milliards de m*3 s’écoulent vers les sources et les cours d’eau. ?Les différents types de nappes On distingue 2 grands types de nappes. Cependant en France 2 autres types de nappes sont mit en valeur : les appas alluvions et les nappes des roches dures fissurées. Commençons tout d’abord par les nappes perméables : les nappes libres. Elles contiennent 50 à 100 L d’eau par m*3. On dit de ses nappes qu’elles sont libres car la fluctuation de la surface supérieur se fait sans contrainte.
Elles ne sont pas recouvertes par une couche géologique imperméable qui confine l’eau. Ces nappes sont généralement constituées de roches poreuses (sable, craie, calcaire). Or certaines de ces nappes sont constituées par des plateaux calcaires où les vides sont surtout des fissures élargies par la solution, elles peuvent atteindre la taille de gouffres ou de cavernes. On les appelle karts*. Elle donne lieu à de grandes sources comme par exemple la Fontaine de Vaucluse. Les vides sont grands et peu nombreux, leur réserve s’écoule vite et le débit des sources varie.
voici une photo de nappe libre : La fontaine de Vaucluse En France, de nombreuses nappes imperméables sont présentes. Elles sont constituées du même type de roche. Mais celle si possèdent une couche géologique imperméable qui retient l’eau. Cette eau est sous pression ; elle peut jaillir dans des forages dits retraites. Le renouvellement de ses nappes ne se fait que par des zones d’affleurement ou houillères communique avec d’autres nappes souterraines. Tandis que dans le désert on dit de ces nappes qu’elles sont fossiles car elle ne se renouvelle plus et sont donc des réserves d’eaux passables.
Ces nappes sont généralement très profondes environ 1000 mètre voir plus. On peut les exploiter pour la égoutteriez. Sous Paris, il existe au moins 7 nappes superposées, captives, potentiellement exploitables. Photo d’une Source rateraient de Port-en-besoin (nappe captive) AI existe aussi des nappes alluvions. Celles-ci sont formées par les grands épandages de sables et de graviers des fleuves et des rivières. Elles sont pour la plupart en contact avec une autre nappe libre. Ces nappes fournissent des eaux captées en France car elles sont faciles l’cessibilité et possèdent un très bon débit.
Elles se trouvent à faible profondeur et sont donc relativement faciles d’accès pour des prélèvements d’eau. Une nappe Une nappe aleviner est le plus souvent la nappe d’accompagnement d’un cours d’eau, avec lequel elle communique jusqu’ rencontrer une barrière géologique imperméable Photo de battante d’une nappe aleviner Et pour finir, il existe des nappes des roches dures et fissurés. En particulier en bretonne, ces nappes constituent un type de réservoir chaufferie aux capacités modestes mais cependant appréciable pour les petites collectivités.
L’eau de ces nappes est proche de la surface et ce sont les failles et fissures des roches qui permettent l’écoulement vers les ouvrages de captage. Ces nappes sont très peu nombreuses. ?on récapitule les différents types de nappes par le schéma suivant : b-Les eaux de surface Les lacs naturels, les barrages et les étangs sont eux aussi es masses d’eau importante en France. Or ces masses d’eau sont très peu exploitées. En France, l’exploitation des eaux de surfaces ne représente que 4%. Seulement 1/4 de l’eau potable provient de ces eaux.
Le stock d’eau en eau de surface est d’environ 108 milliard de mètre cube. Ce sont des eaux de surface utilisées en vue de l’agriculture. Ces 2 photographies sont des exemples d’eau de surface. ?Barrage de montagnard sur le drap dans ses nappes. Actuellement environ 6,5 milliards de mm/ an sont puisés dans les nappes d’eau souterraine. Les recours au puits permettent de prélever de l’eau tout au angon de l’année dans ces nappes. D’autant plus que les quantités d’eau en eaux souterraines sont élevées.
Depuis que nous savons forer, les quantités d’eau exploitées sont de plus en plus grandes. Le forage permet d’exploiter de l’eau à grande profondeur et permet de pomper de l’eau mécaniquement. Tandis que les puits permettent de capter l’eau à petite profondeur. ?Voici la photo d’un puits artistes au Nord-Pas-de-Calais : Quand au puits de surface, ceux-ci s’approvisionne dans les nappes dites libres. A ce jour, on compte 30 000 captage. Ces 30 000 captage d’eau fournissent annuellement 6. Milliards de mètres cubes.