Les metaux

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Les métaux Vénérable Maître et vous tous mes frères en vos grades et qualités, Lorsque Claude m’a annoncé le thème de ma première planche « les métaux ce sujet m’est tout de suite apparu très énigmatique. je me suis remémoré mon initiation, il y a quelques mois, après m’avoir reçu dans la salle humide, Antoine m’a demandé de le suivre. Nous sommes descendus l’escalier pour pénétrer dans la cave du bâtiment. Au bas de l’escalier avant d réflexion, il m’a objets personnels remis mes clés, portable.

Il m’a me seraient restitu saisi alors toutes demande sauf celle ‘être coupée de or fi e cabinet de ui confier mes mon téléphone jets apres l’initiation. Je n’ai pas les raisons de cette peut–être totalement matérielle toute communication avec le monde extérieur, le monde profane. En effet, je ne disposai plus de cet outil auquel nous sommes pour la plupart si attachés « notre smartphone » ! Lorsque l’on évoque dans la société profane des métaux très souvent, l’on exprime avant tout l’argent, l’or ou le cuivre. Chacun de ces métaux a une valeur dans notre langage courant.

L’or est le métal qui représente dans la ociété rexcellence. Les premiers des compétitions sont médaillés d’or, podium ralliage Quelle métaux Si l’on est complété par les médaillés de bronze du cuivre et de l’étain. peut être l’origine de ce symbolisme des recherche l’étymologie du mot « métal », il vient du latin metallum, du grec metallon et de la sanskrite langue indo—européenne matalika. Son origine sémitique de la racine arabe matal signifie « frapper », plus précisément frapper le fer ce qui l’associe à la forge.

Comparativement au bois, ils évoquent la solidité, ais aussi la dureté. Les armes sont en métal selon qu’elles défendent le bien ou le mal, elles évoquent les processus d’évolution ou d’involution. Ce sont les Phéniciens qui auraient introduit ce mot sémitique en Grèce, en Inde et dans la langue latine. Les métaux sont utilisés pour définir les âges de l’humanité qui traduisent le processus d’involution attesté dans toutes les traditions, avec la perte irrévocable de fétat paradisiaque. Selon les anciens quatre âges se seraient succédé. Ils sont décrits précisément poème épique. ar Ovide dans un L’Age d’or définit une période bénie, il n’existe qu’une saison le printemps, la paix règne entre tous les êtres vivants et l’harmonie prédomine. L’homme est dispensé de tout travail. L’Age d’argent, il saisons dont les chaleur de ‘été. de trouver des terre pour est composé de toutes les rigueurs de l’hiver et l’extrême Les hommes se voient contraints abris et de travailler la contraints de terre pour se trouver nourrir. des abris et de travailler L’Age de bronze, les premiers conflits apparaissent. Le partage de la terre est source de querelle sanglant entre eux.

La guerre est adulée les armes introduisent l’horreur. Le monde plonge dans le profane. L’Age du fer est la période actuelle de l’humanité. Elle a vu se développer et s’amplifier tous les travers et les vices nés dans la période précédente. La tradition biblique, elle oppose le fer au cuivre au au bronze comme le métal vulgaire au métal noble : les outils de fer étaient proscrits dans la construction du temple de Salomon. Dans Le mythe hésiodique, la race de fer est elle est définie celle qui vient en dernier, comme la race des « brutalités et des tyrannies .

De même, selon la doctrine hindoue des Yugas, nous sommes actuellement à la fin de l’âge du Fer, le plus matériel et le plus terrible de tous. Le rite initiatique et symbolique du dépouillement des métaux est très ancien et dépasse le cadre même de la Franc—Maçonnerie. Comme évoqué plus haut, Il se rattache au caractère impur attribué au fer et par extension de langage aux métaux. En abandonnant ces « le profane marque son détachement de tout bien matériel et de toute convention, affirmant ainsi sa volonté de recouvrer l’innocen cet