Les liaisons dangereuses
Lettre 81 des liaisons dangereuses ( Il à 31) L’auteur : Pierre Choderlos de Laclos (1741 – 1803) Pierre Ambroise François Choderlos de Laclos, né à Amiens le 18 octobre 1741 et mort à Tarente le 5 septembre 1803, est un écrivain français — longtemps considéré comme scandaleux – militaire et franc-maçon Fait paraître la liaison dangereuse en 1782, roman épistolaire Son ouvrage en gestation contient ses frustrations militaires – n’avoir jamais pu fair aussi les nombreuse long de sa vie, de la qu’il pense inaccessi aussi pour lui une so
Le roman : or 3 Sv. ige to d’une guerre – mais e avoir subies au si que des femmes euses sont donc hérapie. Il présente une femme libertine, la marquise de Merteuil, qui a développé l’art de la manipulation. La marquise de Merteuil est une libertine accomplie, qui a passé sa vie à se jouer des hommes tout en préservant son honneur sous des apparences de vertu.
Libertin : 1- athée, libre penseur 2- amoureux des plaisirs charnels multipliés Lecture : non mariée, pas de statut « vouée au silence et à l’inaction » ne joue aucun rôle important, tatut d’enfant Première étape « observer et réfléchir » apprentissage dans la solitude « Tandis qu’on me voyait étourdie ou distraite » Cl elle trompe déjà son entourage Elle va au-delà des apparences pour chercher à comprendre les ravages du monde (la société) L6à9: Ensuite elle apprend à « dissimuler » Donne des exemples Jeu dangereux, délicat « j’essayerai de guider.. ? « a mon gré » : selon mon désir « prendre à volonté ce regard distrait » : elle se domine, est maîtresse de ses yeux art subtil I – IJne comédienne talentueuse : Apprentissage d’actrice ; elle perfectionne plus les manières de l’esprit.
Art du paraître Verbe très fort (Il 4/25) : « je me suis travaillée » « ce travail sur soi-même » Etymologie de « travail » : « tripalium » : instrument de torture Difficulté et douleur de chan er l’a arence des sentiments (1 1-13) de l’Eglise ainsi que des codes moraux de la société La répétition de « je » : indication d’une grande solitude Ce libertinage ne conduit pas à la débauche : plutôt à une liberté t maitrise de soi : liberté de penser par soi-même La morale, absente de son éducation sera dénuée de scrupules Ill- L’art du paraître : Champ lexical de la dissimulation : celle de la société ; de la jeune fille Deux principes d’apprentissage : dissimulation et observation Education empirique ( par l’expérimentation ) La société Pa poussée à construire un personnage pour acquérir une autonomie intellectuelle Force de volonté unique pour sortir de sa situation de femme Art de paraître redoutable, mais faille : seul danger, c’est laisser ntendre à Valmont qu’elle est manipulatrice machiavélique. Elle veut se mettre au même niveau que Valmont. En livrant la clé de sa personne, offre des armes dont il pourrait se sen’ir. Son orgueil la rend imprudente La suite du roman montre que malgré ses efforts, la femme reste une créature inférieure. Conclusion On a l’approfondissement du portrait de Merteuil : elle apparaît égocentrique, hypertrophiée, et son côté libertin ressort. On voit également le côté roué avec le jeu sur les apparences.