Les chouans
Commencé à l’automne 1828 et presque terminé Fougères, dans la maison du général galber de boy antisociaux I harpe 22, 2009 72 pages I Auteur I Paris Les chansons est un roman d’Honoré de balança publié en pommeler, qui fut l’hôte de balança et qui demeura jours son ami, le roman eut d’abord pour titre le Gars, puis les chansons ou la bretonne il y a trente ans, avant de devenir provisoirement le Dernier échouant. La première finalement le titre le Dernier échouant ou la bretonne en 1800.
En 1834 aux éditions vomiront le titre changea encore pour es chansons ou la bretonne en 1799. Dans l’édition furie de 1845, les chansons paraît dans le tome SI de la Comédie humaine dans la section : Scènes de la vie militaire. Bien que grand admirateur de alter scout, qu’il a pastiché sous des pseudonymes divers dans ses ?ouvres de jeunesse, balança considère ses premiers écrits comme des confiserie, terme qu’il emploie dans une lettre à sa scieur lauréat surveille[l]. Et qu’il maintiendra jusqu’ la parution de la Peau de chagrin.
Les chansons marquent un tournant décisif dans l’?ouvre de balança et pourtant, l’auteur en fera l’auto-critique dans la préface de la première édition du roman. Il évoque la lassitude du public« aujourd’hui rassasié de l’espagnole, de l’Orient, des supplices, des pirates et de l’histoire de France alter-escorte. »[2]. Il va même jusqu’ qualifier ce premier ouvrage signé balança de croûte ( « une de mes premières croûtes »). [3]. balança et l’écriture des chansons
En 1829, balança déclare que la canonnière baigne dans une atmosphère où deux convictions « se permettent tout, comme autrefois les catholiques et les protestants » : c’est une guerre civile de partisans qui ne va pas sans crimes et sans pillage. Le roman peint donc l’impossibilité du compromis entre chansons et Révolutionnaires. Il a été conçu beaucoup plus comme la peinture d’une ambiance que comme un roman historique. L’auteur dit que le romancier qui fait ouvre d’historien ne doit pas faire « de l’histoire un charnier, une gazette, un état civil de la Nation ».
Au contraire, il doit restituer l’esprit d’une époque u d’un événement. Cependant balança a consulté des ouvrages historiques, ce qui prouve qu’il se documente de façon savante : ? La Guerre des vendéen et des chansons, par Jean-juillet savais ? Histoire de la révolution française, par idole théiers Il se rend même en septembre 1828 à Fougères où il habitera chez le général galber de pommeler pour effectuer des recherches sur place.
Dans le roman, les scènes les plus barbares mettent toujours en scène les chansons, ce qui permet de penser que balança était plus proche des Jacobins(républicains) que des vendéen(chansons). Cette violence est, pour l’auteur, ne forme de fanatisme religieux, la férocité des chansons s’appuyant sur une grande crédulité. Leurs excès prennent alors une dimension épique et tragique, que balança met en scène à travers sa peinture du clergé en la personne de l’abbé guida, qui galvanise les troupes.
Le personnage trouble de Jean échouant lui inspire deux personnages contradictoires : Pille-Miche, qui est guillotiné en 1809 dans le dernier roman de la Comédie humaine : L ‘Envers de l’histoire contemporaine , et Marche-à-Terre qui s’enrichit dans le commerce en 1816. Classement et clichés. Le genre du roman A la fois drame, tragédie, histoire d’amour, roman élitiste, roman historique, Les chansons défie les classements selon de nombreux critiques. Parmi ceux-là, mariée mènera s’interroge sur les étiquettes que l’on a pu apposer à ce roman historique[4]: « L’?ouvre défie les classements.
Dernier des romans de jeunesse ou premier vrai balança ? Roman d’aventures ? Roman poétique ? Roman historique à la alter scout ou la lacs ? Roman politique peut-être ? Mais de quelle politique ? Encore libéral, conforme aux opinions prédominantes de balança avant 1830 ? Ou bien anti-libéral, marqué par e tournant de 1832 ? Roman de l’idéologie interpellatrice, méprisant pour l’ethnie bretonne, ce ramassis de sauvages , ou roman fasciné par la barbarie et donnant la parole, poignante, sans espoir, à ce peuple muet ?
Et, dès lors, quelle conciliation pour l’histoire d’amour et le récit de guerre La critique de la deuxième moitié du axe siècle a fait une relecture drastique des chansons qui avaient été jugés, selon antre avancions, à la lumière des romans à la mode de l’époque [5]Les « chansons ont été fraîchement accueillis par la critique. Malgré quelques avis favorables sur la vérité des caractères et l’originalité des descriptions, la majorité es recruteurs reprochent à balança une intrigue embrouillée et un style luxuriant.
Un tel jugement s’explique dans la mesure où il envisage Les chansons comme une illustration peu convaincante du roman historique à la alter scout. » Comparaison reprise inlassablement et sans nuance jusqu’ ce qu’un gâtent picotin, ou un juillet grâce[6] viennent apporter un angle d’étude différant sensiblement des clichés habituels à cette « algèbre romanesque originale où poésie et combinatoire se renforcent l’une l’autre[7] On peut également lire les chansons comme un roman d’espionnage moderne où l’espionne Marie tombe amoureuse de sa cible comme cela se produit dans les romans de Ain fulmine à notre époque.
Comme tout roman de balança, situation et personnages peuvent être transposés, transportés quelques deux cents ans p balança, situation et personnages peuvent être transposés, transportés quelques deux cents ans plus tard sans perdre de leur vérité. Résumé Les chansons. En 1799, sous la Révolution française, des paysans bretons s’arment pour le retour du roi et contre la troupe républicaine du commandant hulotte. Une aristocrate, Marie de verrouillé, est envoyée par jouées fauche pour séduire et pâturer leur chef, le Marquis de Montauban, dit le Gars.
Elle doit être aidée par un policier habile, ambitieux et peu scrupuleux, correction. Cependant, elle tombe amoureuse de sa cible. Contre correction et contre les chansons qui la détestent, elle fera son possible pour épouser le marquis. Trompée par correction qui lui fait croire que le marquis aime sa mortelle rivale, madame du gué, elle ordonne au Maréchal hulotte de détruire les rebelles. Découvrant trop tard la tromperie elle se sacrifie pour essayer, sans succès, de sauver son époux le lendemain de son mariage.
Quelques citations clé du roman [modifier] Ces deux troupes se livrèrent alors à un acharnement aiguisé par toute la fureur et la cruauté de l’esprit de parti qui firent de cette guerre une exception ». « Chaque camp diables l’autre ». « Dans cette épouvantable guerre les deux partis ne faisaient pas de prisonniers [pic] LES CHANSONS par antre AVANCIONS l. L’HISTOIRE attaquer par des partisans royalistes, les chansons. Le ministre de la police fauche espère arrêter cette nouvelle insurrection de la bretonne en capturant son chef.
Il s’agit du marquis de Montauban, appelé le Gars, qui doit tomber dans un piège tendu par l’agent secret correction et par la elle espionne Marie de verrouillé. A Eure première rencontre, le Gars et Marie s’éprennent l’un de l’autre. Le récit, à partir de ce moment, alterne les tableaux du combat qui oppose les Républicains aux chansons et les scènes d’un amour tumultueux entre les deux protagonistes. Ceux-ci triomphent des manouvres de me du gué, une rivale de Marie, mais se brisent contre le stratagème de correction.
Leur passion finit tragiquement, peu après que les rebelles bretons ont échoué à prendre d’assaut Fougères. Il. HISTOIRE(S) DU TEXTE Le manuscrit du roman est conservé (liv.. A 13). balança lui a ‘abord donné pour titre Le Gars, puis Les chansons ou la bretonne il y a trente ans avant de s’arrêter (provisoirement) à Le Dernier échouant. Sous la même cote, on trouve aussi 1’« Avertissement du Gars » et l’Introduction de l’édition originale. L’Avertissement, écrit en 1828, mais demeuré longtemps inédit (jusque 1 931 ), annonce Le Gars, roman historique sur la guerre des chansons. Sans préciser davantage ce projet.
Le manuscrit du Dernier échouant, loin de ressembler à un premier jet continu, a fait l’objet de divers aménagements. Les huit premiers chapitres correspondent à la mise au net ‘une version originale dont il ne reste plus de trace. balança a visiblement amplifié cette dernière : il y a inséré des chapitres d’une rédaction antérieure, dans lesquels Marie de verrouillé s’appelle encore mêlé d’malle ; il en a surajouta antérieure, dans lesquels Marie de verrouillé s’appelle encore mêlé d’malle ; il en a surajouté d’autres, en particulier une exposition historique à la alter scout et le récit de la torture de M. ‘urgeront ; enfin, comme le montre la description de Fougères dans l’édition originale, il a procédé à des développements difficiles à dater exquise les épreuves sont perdues. En tout, le manuscrit contient 28 chapitres, dont les neuf premiers portent des épigraphes rayées par balança. Le dernier est Incomplet. – L’édition originale paraît en 1829 chez Urbain ni-12 sous le titre Le Dernier échouant ou la bretonne en 1800 par M. Honoré balança. Elle se compose de quatre tomes dont chacun porte sur la page de titre la même épigraphe du livre de jouait dans l’Ancien Testament. Le texte se divise en 32 chapitres sans titre.
Une introduction se situe aux pages V à SI du premier tome. balança y insiste longuement sur le sous-développement de la bretonne. Il entend, par une dramaturgie originale, dépasser le simple relevé de faits historiques. Pour ne pas heurter des personnages redevenus puissants sous la Restauration et qui pourraient se reconnaître dans le roman, il atténue et transpose certaines scènes. Après Juillet 1 830, qui entraîne l’éviction des mêmes personnes, ces préoccupations s’avèrent caduques, de sorte que l’introduction sera abrégée puis supprimée dans les éditions ultérieures.
L’auteur expose enfin les raisons qui lui ont fait signer pour la première fois une ouvre de son vrai nom – qui s’adjoindra bientôt la particule. Une deuxième édition du roman paraît en 1834 chez ch.. vomiront sous le titre Les chansons ou la bretonne en 1 799, par M. De balança. L’auteur rectifie donc, conformément Les chansons ou la bretonne en 1 799, par M. De balança. L’auteur rectifie donc, conformément à la vérité historique, l’année où reprend a guerre civile en bretonne et, en passant du Dernier échouant aux chansons, il déplace l’accent de l’individuel vers le collectif.
Les deux volumes ni-80 de l’édition vomiront ne portent plus d’épigraphe, mais sur leur page de faux titre figure le texte suivant : ?ouvres de M. De balança – Romans historiques. Cette nouvelle édition témoigne d’importants remaniements. balança y procède à de nombreuses contractions dans le but de réduire l’exubérance du style romantique qu’il avait pratiqué en 1829. Ainsi disparaît, par exemple, tout un vocabulaire satanique qui avait servi, d’après la recette du roman gothique, à désigner la perfidie de correction et de me du gué.
Ou encore, certaine longue rêverie nocturne qui ressemblait d’abord à une envolée assainisse fait place à une brève notation atmosphérique. La même volonté de simplifier s’applique aux dialogues entre Marie de verrouillé et le Gars. Plusieurs de ces échanges sont ramenés à un tiers de leur ancien volume : balança non seulement les abrège, mais il les purge des nombreux tirets intérieurs au discours, qu’il avait encore préconisés dans l’Introduction de 1829.
Cette mise au jour du style d’abord assez entortillé, « hérissé de fautes » (balança dans la Préface de l’édition furie) entraîne deux conséquences majeures. D’un côté, elle conduit à la recomposition de certaines scènes, comme la description de Fougères ou la rencontre des amoureux dans la maison de Galope-échoppe. De l’autre, elle induit une perception différente du caractère e Marie. Celle-ci possède, dans l’édition originale, une personnalité excessive, scinda caractère de Marie. Celle-ci possède, dans l’édition originale, une personnalité excessive, scindée entre l’angélique et le diabolique.
L’édition vomiront, tout en précisant les antécédents de Marie – de protégée de tantôt elle devient son ancienne épouse – en fait plus nettement une passionnée à la recherche d’un amour sublime. – balança apporte par a suite des modifications à l’édition vomiront, travail dont témoigne un exemplaire corrigé, conservé, comme les épreuves du furie, à la collection lovent sous la cote A 14. Il insère au début du roman, sous le titre, une dédicace à détordre déblai (Au premier ami le premier ouvrage) et compose une brève préface qui remplacera l’introduction.
Les têtes de chapitres, propres aux états antérieurs, sont supprimées alors qu’apparaissent trois grandes subdivisions introduites par des titres : L ‘Embuscade ; Chapitre AI / Une idée de fauche ; Chapitre il / Un jour sans lendemain. – En 1845 paraît chez furie le tome SI de La Comédie humaine (Scènes de la vie militaire et Scènes de la vie de campagne). Les chansons ou la bretonne en 1799 y sont vis par Une passion dans le désert, Le Médecin de campagne et Le Curé de village.