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BIOGRAPHIE DE YASMINA KHADRA Yasmina Khadra est un écrivain algérien. Dans un entretien au Monde des Livres, l’auteur révèle que sous cette identité féminine se cache un homme. En effet, Yasmina Khadra s’appelle de son vrai nom Mohamed Moulessehoul. Son pseudonyme est composé des deux prénoms de sa femme. A l’âge de neuf ans, son père l’inscrit dans une institution militaire. En 1990, Yasmina Khadra est le principal acteur de la lutte contre le FIS. En septembre 2000, il quitte l’armée après 36 ans de carrière, alors qu’il a le grade de commandant.

En 2001, il s’installe en France. Yasmina Khadra avait déjà publié des romans en Algérie sous son vrai nom. Lorsqu’il arrive en France, il publie chez Julliard « L ‘Écrivain », ce qui lui et au public. Ses ouv de Kaboul » publié en DZ , Swape nextp g Sirènes de Bagdad » p doit à la nuit » publié dentité à la presse nt « Les hirondelles en 2005, « Les « Ce que le jour à plus de 800 000 exemplaires et pour lequel il a obtenu le Prix Roman France Télévisions. Grâce à ses romans, Yasmina Khadra a construit sa notoriété d’écrivain et il n’y a pas une année où il ne rafle pas un prix.

Pour « Les hirondelles de Kaboul », il a notamment été élu meilleur livre de l’année aux États-Unis par le San Francisco Chronicle et I Swige to next page le Christian Science Monitor en 2005. Pour ce livre, Yasmina Khadra a été finaliste de l »‘lnternational IMPAC Dublin Literary Award » en 2006. En 2003, il a obtenu le Prix de Salon littéraire de Metz ou encore le Prix des Libraires algériens. Enfin, Yasmina Khadra doit aussi sa reconnaissance au public grâce au théâtre et au cinéma. En effet, de nombreux ouvrages ont été adaptés pour le cinéma français par de grands cinéastes comme Zabou

Breitman et Alexandre Arcady. Aujourd’hui, Yasmina Khadra est un écrivain internationalement connu, il est traduit en 33 langues. Yasmina Khadra, de son vrai nom Mohamed Moulessehoul, est un écrivain algérien né à Kenadsa dans le Sahara algérien le IO janvier 1955 dune mère nomade et d’un père infirmier. Sous ce pseudonyme féminin se cache un écrivain prolifique et talentueux qui, au fil de ses oeuvres, a su contribuer à faire connaitre le monde arabe et dénoncer les violences et les injustices.

Les débuts e père de Yasmina Khadra, officier de l’ALN (Armée de la ibération nationale pendant la guerre d’Algérie) depuis 1959 envoie son fils dans une école militaire en 1964 à l’âge de neuf ans. Il y fera toute sa scolarité et en sortira en 1978 avec le grade de sous-lieutenant et servira l’armée pendant 36 ans. A partir de 1973, pendant son service, il écrit des nouvelles et des romans sous son vrai nom puis il prend le pseudonyme de Yasmina Khadra pour plus de liberté. Il publie entre autres « Moriturl 2 OF s puis il prend le pseudonyme de Yasmina Khadra pour plus de liberté.

Il publie entre autres « Morituri » en 1997 et « A quoi rêvent es loups » en 1 999 et il rencontra un immense succès. Un succès considérable En septembre 2000 Yasmina Khadra quitte l’armée et se consacre à l’écriture. En 2001 il publie un livre autobiographique « L’écrivain’ dans lequel il dévoile son identité masculine puis en 2002, il dévoile son passé militaire dans « L’imposture des mots ». En 2002 sort le premier tome d’une trilogie « Les hirondelles de Kaboul » qui sera suivi par l’immense succès de « L’attentat » en 2005 et « Les sirènes de Bagdad » en 2006.

Entre-temps, il publie « Cuisine K » en 2003, « La part du mort » en 2004 puis « La rose de Blida » en 2005. En 2008 parait « Ce que le jour doit à la nuit’ et « L’olympe des infortunes » en 2010. Le reconnaissance Yasmina Khadra est un écrivain de renommée internationale et ses œuvres sont traduites dans plus de 40 pays. Il a obtenu le Trophée 813 du meilleur polar francophone pour « Morituri » en 1997 et la médaille de vermeil de l’Académie française pour « L’écrivain » en 2001 . Les Hirondelles de Kaboul » a reçu le prix des libraires algérien en 2003, et il a été élu par le San Francisco Chronicle meilleur livre de l’année en 2005. « L’attentat » était en lice pour le prix Goncourt et le prix Renaudot en 2005 et a btenu entre autres le prix des libraires en 2006, le grand prix des lycéens, le prix découverte Figaro magazine, le pri 3 OF s des libraires en 2006, le grand prix des lycéens, le prix découverte Figaro magazine, le prix des lecteurs du Télégramme, le grand prix des lectrices Côté Femmes.

En 2008 « Ce que le jour doit à la nuit » a remporté le prix des lecteurs corses et a été élu meilleur livre de l’année par Lire. Bibliographie de Yasmina Khadra Yasmina Khadra est le pseudonyme de l’écrivain algérien Mohammed Moulessehoul, né le 10 janvier 1955 à Kenadsa dans la wilaya de Bechar dans le Sahara algérien (alors en Algérie française) d’un père infirmier, membre actif de l’ALN et d’une mère nomade.

Son père, officier de l’ALN blessé en 1958, voulut faire de lui un soldat en l’envoyant dès l’âge de neuf ans dans un lycée militaire, où il fit toutes ses études avant de servir comme officier dans l’armée algérienne pendant 36 ans. Durant la période sombre de la guerre civile algérienne dans les années 80-90, il fut l’un des principaux responsables de la lutte contre l’Als puis le GIA, en particulier en Uranie. Mohammed Moulessehoul choisit en 1997, avec le roman Morituri, d’écrire sous pseudonyme.

Diverses raisons ly poussent, mais la première que donne Moulessehoul est la clandestinité. Elle lui permet de prendre ses distances par rapport à sa vie militaire et de mieux approcher son thème cher : l’intolérance. Officier dans l’armée algérienne, il démissionne en 2000, pour se consacrer à sa vocation : l’écriture, et choisi de s’exprimer en langue française. Après un 4 OF S langue française. Après un court passage au Mexique, il vient s’installer en 2001, en France, où il habite encore aujourd’hui.

En 2002 dans L’imposture des mots, Khadra-MoullessehouI épond aux attaques qui fustigent son passé militaire. Il choisit de rendre hommage aux femmes algériennes et à son épouse en particulier, en prenant ses deux prénoms, Yasmina Khadra, et ne révèle son identité masculine qu’en 2001 avec la parution de son roman autobiographique L’Écrivain et son identité tout entière dans L’imposture des mots en 2002. Or à cette époque ses romans ont déjà touché un grand nombre de lecteurs et de critiques.

Bibliographie: Yasmina Khadra est traduit dans quarante-et-un (41) pays : Abou Dhabi,Albanie, Algérie (en rabe pour le Maghreb) , Allemagne, Autriche, Brésil, Bulgarie, Corée, Croatie, Danemark, Estonie, États-Unis, Finlande, Grande- Bretagne , Grèce, Espagne (castillan et catalan),Hongrie, nde, ndonésie, Islande, Italie, Israël, Japon, Liban (en arabe pour le Machrek), Lituanie, Macédoine, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Qatar, Roumanie , Russie,Serbie, Slovénie, Suède, Suisse, Taiwan, République tchèque, Turquie, Vietnam.

Le prix Nobel de littérature 2003, le Sud-Africain J. M Coetzee, considère Yasmina Khadra comme un des écrivains majeurs d’aujourdhui S OF s