Leadership

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Qu’est-ce qu’un leader? Bien que ce livre ne soit pas axé sur cette question directement, elle y apporte pourtant certaines réponses. Tout d’abord, il semble que le leader a comme rôle, non pas de donner des ordres, mais plutôt de favoriser le partage du pouvoir ; une bonne distribution des tâches. De plus, afin de s’adapter aux nouvelles exigences, celui-ci doit savoir concevoir différemment ses erreurs et celles des autres. Car « la créativité et l’innovation sont impossibles sans le droit à l’erreur » (p. 1 0). Les compétences de communication interpersonnelles deviennent une habileté fondamentale à développer. Il est important de favoriser un climat d’ouverture et de développer « habileté de considérer Sni* to View l’autre dans toute sa exige aussi de dévelo er du feedback positif e égz„:. aussi de bien se con réactions défensives. coute active. Elle tionner et de donner ais, elle exige itriser ses propres e de comprendre l’autre avant de s’élancer dans son propre discours intérieur.

Quelles sont les compétences qui font que des gestionnaires sont reconnus comme leaders? Sont choisis des individus qui semblent faire preuve de leadership et d’autonomie, qui sont capables de s’affirmer et qui manifestent ne certaine confiance en soi. Toutefois, ce leadership est souvent étroitement associé à leur compétence spécifique. Quelles sont les difficultés parfois vécues par les spécialistes venant des sciences exactes quand on parle de communication?

En effet, la transition entre le rôle de spécialiste et celui Swlpe to vlew next page celui de gestionnaire est plus difficile lorsque les personnes proviennent du domaine des sciences exactes. Les gestionnaires qui ont reçu une formation où l’objectivité et la logique cartésienne sont de rigueur éprouvent certaines difficultés ? omposer avec les problèmes de gestion ambigus, peu structurés et s’inscrivant dans une logique de la complexité.

Les gestionnaires doivent composer quels nouveaux paramètres de nos jours? Les attentes sont de plus en plus élevées, en même temps que les conditions d’exercice de la gestion deviennent de plus en plus difficiles. Les gestionnaires sont, aujourd’hui, souvent responsables d’équipes multidisciplinaires ou virtuelles, constituées de spécialistes, réparties sur plusieurs sites, et cela avec moins de temps et de ressources disponibles. Ils doivent également composer avec le vieillissement de leur personnel.

On demande aux gestionnaires d’être des visionnaires, de mettre en place des changements majeurs et de faire évoluer la culture organisationnelle, le tout dans un contexte de turbulence, de chaos et d’incertitude. Qu’est-ce qui transforme le paysage organisationnel de nos jours? Au point de vue culturel, l’arrivée massive des femmes sur le marché du travail et leur accès à des postes de gestion, l’intégration des minorités ethniques, la complexité croissante des réseaux d’interdépendance et l’accroissement des niveaux d’instruction et d’éducation pour tous transforment le paysage organisationnel.

En outre, la présence accrue des femmes et de personnes d’origine ethnique différentes à tous les niveaux de gestion augment la diversité des modèles culturels, des valeurs, des manières de communiquer et de gérer, ce qui modifie considérablement PAG » OF d culturels, des valeurs, des manières de communiquer et de gérer, ce qui modifie considérablement les normes organisationnelles. Que cherche la nouvelle génératlon dans le travall? En quoi cela diffère des attentes des X ou des Boomers?

La nouvelle génération est plus scolarisé et plus informé et ils manifestent de fortes aspirations d’autonomie, d’initiative et ‘implication et exige que leur travail ait un sens. Ils ne veulent plus vivre uniquement pour l’organisation dans laquelle ils travaillent, ils se préoccupent davantage de leur qualité de vie. L’intégration des exigences familiale constitue une problématique qui le rejoint de plus en plus et traverse toute l’organisation.

Ils sont plus crltlques, plus exigeants face à la manière de gérer de leur supérieur immédiat, plus difficiles à intimider, ces personnes exigent de comprendre le bien-fondé des directives venant d’en haut et, de ce fait, posent davantage de questions. Comment peut-on rééquilibrer le pouvoir dans l’organisation? Il faut souligner la responsabilité et la contribution de chacun plutôt que le pouvoir et l’autorité.

Cela exige des «rapports hiérarchiques extrêmement fluides et des rapports horizontaux plus dynamiques et plus vivant, rouverture des champs de parole à tous les niveaux, la remise en question personnelle par les gestionnaires de leurs pratiques de la décision, de leur façon d’exercer l’autorité et de faire face à leurs responsabilités» Que veut dire « intégration ? Que le gestionnaire s’efforce d’inspirer les personnes dans ‘apprentissage quotidien de leur orientation de base et dans leur cheminement vers une plus grande autonomie sur le plan des moyens.

L’encadrement sert de balise aux personnes et grande autonomie sur le plan des moyens. L’encadrement sert de balise aux personnes et non à leur tâche. En mode de gestion favorisant l’intégration, les gestionnaires s’assurent que les personnes, quelles que soient leurs responsabilités, disposent de tous les moyens disponibles pour régler des difficultés qu’elles éprouvent sans devoir rendre compte au niveau hiérarchique supérieur. Quel est le rôle de la communication dans la théorie des relations umaines ?

Dans un premier temps, le modèle des relations humaines misait sar la qualité des communications interpersonnelles pour assurer le respect, la dignité, la satisfaction et le développement des personnes. Par la suite, dans une optique culturelle, la qualité des communications interpersonnelles dans les organisations est devenue une condition de leur survie. Quelles sont les compétences indispensables pour mettre en œuvre un mode de gestion privilégié?

La mise en application d’une nouvelle gestion implique la redistribution et le partage du pouvoir et des opportunités, n systèmes de communication décentralisé, ouvert et fluide, une approche intégrative à la résolution de problèmes, l’encouragement à relever des défis dans un environnement de confiance, la reconnaissance et la valorisation des personnes de façon à encourager la haute performance et la responsabilité personnelles et, la capacité non seulement de composer avec l’ambiguité organisationnelle, l’inconsistance, le paradoxe et le changement.

Croire au bien-fondé de la participation, ne pas avoir une attitude autoritaire, avoir une forte confiance en soi et ne pas être ébranlé facilement.