Le PCA et la gestion des risques
Sujet no 12 : Expliquez pourquoi le plan de continuité d’activité constitue un élément essentiel de la gestion des risques Intro : Le Plan de Continuité des Activités est né en 2004 et a pour objectif de compléter le règlement 97-02. 1) Définition Définition Générale : Ensemble de mesures visant à assurer, selon divers scénarios de crises, y compris face à des chocs extrêmes, le maintien, le cas échéant de façon temporaire selon un mode dégradé, des prestations de services essentielles de l’entreprise puis la reprise planifiée des activités.
Application au secteur bancaire : Dans le secteur bancaire page Sui # to page l’importance de l’effic prendre conscience a de la nécessité d’éta explique pourquoi en notoire, par rapport OF4 mation a fait aires et financiers des activités. Ceci onstaté un retard nt à l’établissement des PCA, le secteur bancaire est plus en avance que les autres. 2) Le PCA et la Gestion du risque Risque opérationnel : une des limites de Bâle 1 était la non prise en compte des risques opérationnels dans les allocations de ressources en couverture des risques.
Bâle Il, dans son second pilier a rendu obligatoire ‘intégration de facteurs aléatoires ( risques météorologique, accidentel, faute humaine .. ) Il s’inscrit dans le cadre des recommandations de Bâle 2 au niveau du sec second pilier : amélioration du processus de surveillance prudentielle. Risque systémique : un événement grave peut engendrer outre un risque opérationnel, un risque systémique. Lorsqu’un incident dans un établissement engendre des défaillances d’autres établissements par effet de contagion.
Concernant le secteur bancaire, selon la gravité de l’incident, ce dernier, peut conduire à une perte de confiance des déposants qui conduirait à des etraits massifs des épargnants de l’établissement mais aussi des autres établissements : origine d’une crise de liquidités du système bancaire paralysant l’ensemble de l’économie. Conclusion : Le système d’information étant au centre de Factivité bancaire ( informations internes et externes au quotidien ), il est tout à fait normal d’intégrer les risques qui lui sont liés dans le ratio d’allocation des fonds propres.
Risques opérationnels sont évalués selon un choix entre 3 méthodes : quelle est laplus pertinente ? o Méthode standard : selon une classification du risque pérée par des notations externes ( exemple cotation BDF des entreprises ) o méthode de base : faite à partir de notations internes, où chaque banque estime la probabilité de défaillance. C’est ensuite la réglementation qui fixe la provision adéquate en fonction de la probabilité identifiée. o Méthode avancée : notation interne d’après des statistiques historiques sur des cas similaires.
Question 6: Expliquez pourquoi le plan de continuité d’activité constitue un élément essentiel d 2 e plan de Continuité des Activités est né en 2004 et a pour A) Définition Définition Générale : Ensemble de mesures visant à assurer, selon divers scénarios de crises, y compris face à des chocs extrêmes, le maintien, le cas échéant de façon temporaire selon un mode dégradé, des prestations de services essentielles de rentreprise puis la reprise planifiée des activités.
Application au secteur bancaire : Dans le secteur bancaire l’importance de l’efficacité du système d’information a fait prendre conscience aux établissements bancaires et financiers de la nécessité d’établir un plan de continuité des activités. Ceci explique pourquoi en France, bien u’on ait constaté un retard notoire, par rapport au reste de l’Europe, quant à l’établissement des PCA, le secteur bancaire est plus en avance que les autres.
B) Le PCA et la Gestion du risque : Risque opérationnel : une des limites de Bâle 1 était la non prise en compte des risques opérationnels dans les allocations de ressources en couverture des risques. Bâle Il, dans son second pilier a rendu obligatoire l’intégration de facteurs aléatoires ( risques météorologique, accidentel, faute humaine ) Il s’inscrit dans le cadre des recommandations de Bâle 2 au niveau u second pilier : amélioration du processus de surveillance 3 établissements par effet de contagion.
Concernant le secteur bancaire, selon la gravité de l’incident, ce dernier, peut conduire à une perte de confiance des déposants qui conduirait à des retraits massifs des épargnants de l’établissement mais aussi des autres établissements . origine d’une crise de liquidités du système bancaire paralysant l’ensemble de l’économe. Conclusion . e système d’information étant au centre de l’activité bancaire ( informations internes et externes au quotidien il est tout ? ait normal d’intégrer les risques qui lui sont liés dans le ratio d’allocation des fonds propres.
Risques opérationnels sont évalués selon un choix entre 3 méthodes : quelle est laplus pertinente ? Méthode standard : selon une classification du risque opérée par des notations externes ( exemple cotation BDF des entreprises ) méthode de base : faite à partir de notations internes, où chaque banque estime la probabilité de défaillance. Cest ensuite la réglementation qui fixe la provision adéquate en fonction de la Méthode avancée : notation interne d’après des statistiques 4