Le Droit La Paresse
économistes et les moralistes qui ont sancti ié le travail. Ils ont voulu réhabiliter ce que leur dieu avait maudit n. La description qu’il nous fait du travail n’est pas des plus délicates : le travail est pour lui torture l’humanité et crée des misères. Le Droit La Paresse Premium gy Tb-Et anpenq 21, 2015 S pages Beauvalet Thomas, Sociologie des loisirs Le droit à la paresse Paul Lafargue Swp to page 20/12/13 Paul Lafargue est né en 1942. Il est connu pour deux faits principaux : la sortie de son essai « Le droit à la paresse » en 1880 t le fait qu’il soit le gendre de Karl Marx.
Il a tout de même éc it 6 autres livres. Il a écrit « Le droit à la paresse » en prison, après avoir était incarcéré pour propagande révolutionnaire. Il a été proche de la condition ouvrière toute sa vie. « Le droit à la paresse » est un essai nous parlant du travail et de l’importance qui lui est accordée, les valeurs qu’il intègre. Avant de rentrer dedans étape par étape, en faisant un résumé très rapide, on peut dire que fauteur les classes ouvrières s ors un dogme désastreu Dans ce cours chapit est né cet amour du Sni* to View passion et folie dans l’amour du travail. ue comment les prêtres, les «Le travail est la cause de toute dégénérescence intellectuelle, de toute déformation organique Dans une société capitaliste, on ne peut retrouver les bases de ce qu’est un Homme : il est détruit par le travail. L’amour du travail ne date pas de la nuit des temps et est localisé. Dans l’antiquité, le travail était méprisé et dans les récits bibliques, l’apologie de la paresse est faite. pour lui, toutes es misères individuelles et sociales des prolétaires viendraient de leur amour pour le travail.
Bénédictions du travail L’idéal des moralistes et philanthropes du XVIIIème siècle était ? 12 heures de travail par jour. La société a fait du travail et des ateliers des lieux d’incarcération où l’on ne fait que travailler, tant homme que femme qu’enfant. Mais les prolétaires déj? réclamaient et étaient fiers du « droit au travail », ce qui, pour P. Lafargue, est de la « bassesse » des esclaves. Ce droit au travail es pères de famille à fait rentré dans le monde du travail leurs femmes et leurs enfants, détruisant toute vie de famille.
Et un enfant qui travaille 12 heures par jour ne peux se développé correctement, car il n’y a pas plus abrutisseur et corrupteur que le travail. Toute la vie sociale est ruinée : il nous est donné l’exemple de Mulhouse, où le travail commence à 5 heures pour finir à 17 he ruinée : il nous est donné Hexemple de Mulhouse, où le travail commence à 5 heures pour finir à 17 heures. Lorsque les hommes, femmes et enfants rentrent du travail, la seule chose u’ils ont en tête c’est de dormir jusqu’au lendemain, pour ne pas être en retard à [‘usine.
C’est à cause du « progrès Une journée de 12 heures, voir IS, est énorme pour l’être humain lorsque l’on sait que les bagnards ne travaillaient que 10 heures par jour. Le travail est pire que le bagne. Mais les économistes restaient sur leurs positions en faisant l’apologie du travail, pour expliquer le bien-être apporté par celui-ci. Mais les ouvriers travaillaient plus pour gagner moins. Ils s’appauvrissaient. Ce qui suit la surproduction Dans ce chapitre, p.
Lafargue nous démontre que le progrès et l’apparition de la machine n’a pas eu l’effet escompté : Au lieu de remplacé et de diminuer le travail de l’Homme, la machine est rentrée en concurrence avec lui, une concurrence « absurde et meurtrière Il y a surproduction, et donc surconsommation de la part de la classe bourgeoise, paresseuse, que Vidée de travaille révulse. Le prolétariat a voulu infliger le travail à la bourgeoisie, mais celle-ci, puissante, c’est entourée de magistrats, policiers, geôliers, prétoriens. La bourgeoisie, pour lutter contre cette surconsomm