Le dossier Marketing final

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e dossier Marketing devra être accompagné d’un PP (IO slides Max) Ces deux documents devront être fournis en version papier et électronique par mail en indiquant noms et de NO groupes TD (objet du mail) : Intro : Intérêt de se réaliser le projet marketing de Partie 1 lancement de produit par l’entreprise. Structure du dossier Partie 2 : Présentation de l’entreprise : Informations générales sur l’entreprise Partie 3 : Etude du marché : Analyse de l’environnement, étude de l’offre, la demande Partie 4: Diagnostic externe et interne.

Minimum un PESTEL, Partie 5 : Problémati diagnostic interne et marketing que vous Partie 6 : Marketing S Positionnement 6 S. wp next page pale découle du par la stratégie n, Ciblage, Partie 7 : Marketing Opérationnel : Produit, prix, place, promotion Conclusion : Conclusion et préconisations futures Bibliographie : faire référence dans le dossier avec des numéros que vous renvoyer en détaillant dans la bibliographie à la fin du document Partie 1) NTRODUCTION Il s’est vendu plus de 72 millions de tablettes tactiles ? travers le monde en 2011 et on prévoit des ventes de 383. millions d’unités en 2017. Depuis sa naissance en mars 2010 avec les têtes de pont de l’informatique mobile, permettant ainsi ? eurs fabricants de prendre d’assaut simultanément les fronts de la téléphonie mobile et des ordinateurs portables. Le marché est désormais hyperconcurrentiel et toutes les marques High Tech qu’elles soient connues ou non souhaitent proposer une tablette au grand public, aux professionnels ou visent plus spécifiquement un marché de niche.

De ce fait, et dans le cadre de notre projet, pour mieux appréhender un tel marché, nous effectuerons une segmentation stratégique du marché des tablettes tactiles dans notre première partie (l), puis nous analyserons le secteur en nous intéressant ux différents acteurs présents (Il), pour enfin nous pencher sur la réalisation d’un diagnostic stratégique (III), et ce dans le but de mieux comprendre le niveau de concurrence sur ce nouveau marché. Partie 2) Raphael Partie 3) I. L’ANALYSE SETORIELLE 1. L’environnement concurrentiel du secteur 1. . Les Barrières à l’entrée : D’après une observation approfondie du secteur, il nous a paru que les barrières à l’entrée sont fortes. En effet, le secteur est très complexe. Il nécessite d’importants investissements en termes de technologie principalement pour les grands acteurs du marché. Mais on assiste également à l’émergence de nouveaux acteurs qui tentent d’entrer sur le marché en proposant des produits bas de gamme avec un minimum de nouvelles technologies et donc avec un niveau de prix plus bas.

Les barrières existent donc bien, mais elles s’estompent de plus en plus. Nous pouvons néanmoins mettre en évidence les principales barrières à l’entrée : Le verrouillage technoloei e la principale barrièr 2 E principales barrières à l’entrée : Le verrouillage technologique : Il s’agit de la principale barrière à l’entrée sur le marché des tablettes tactiles. Les entreprises résentes sur le marché jouissent d’un avantage particulier, car il existe à l’entrée du marché une grande barrière technologique.

Les économies d’échelle et d’apprentissage : Un nouvel entrant aura du mal à s’intégrer rapidement du fait du manque d’expérience sur le marché par rapport aux firmes déjà présentes et de son désavantage en termes d’économies d’échelle. L’importance des investissements à mettre en œuvre pour obtenir une part de marché significative et avoir des économies d’échelle peut paraitre dissuasive pour un nouvel entrant étranger au secteur des nouvelles technologies.

La barrière financière : Les entreprises liées aux technologies de l’information et de la communication (TIC) ont besoin d’un certain niveau de budget pour rester compétitives. Elles sont notamment très « budgétivores » en matière de R. Le cycle de vie d’une tablette tactile ne dépassant pas un an, les entreprises essayent sans cesse de dégager le plus de bénéfice possible afin d’amortir les investissements en terme de recherche. La différenciation : Dans un tel secteur, il faut pouvoir se démarquer de ses concurrents en adoptant une stratégie de différenciation.

Qu’elle soit par les prix, la qualité, ou encore ‘aspect esthétique, il est primordial de proposer un produit différent, apportant une nouveauté par rapport aux autres. 1*2. Les nouveaux entrants, Le marché de la tablette est un nouveau marché innovant et donc très attractif ce qui attire de plus en plus de nouveaux entrants. C’est pour cela 2E et donc très attractif ce qui attire de plus en plus de nouveaux entrants. C’est pour cela que l’évolution de la pression concurrentielle dans ce secteur est très élevée.

En ce moment, c’est Microsoft qui fait le plus de bruit, après avoir annoncé que Windows 8 va faire son entrée sur le marché des OS en 2012. En effet, Microsoft serait en négociation avec plusieurs marques, telles que Asus, Lenovo, Dell, ou encore Nokia, pour proposer des tablettes sous ce nouveau système d’exploitation qui viendra concurrencer les deux géants du marché, PiOS d’Apple et Android de Google. Au niveau du terminal en lui-même (Hardware), le nouvel entrant qui s’est le plus fait remarquer ces derniers mois n’avait jusqu’à présent rien à voir avec le secteur de l’informatique et de l’électronique grand public.

Il s’agit d’Amazon, un des plus grands acteurs du marché de l’e-commerce, qui a décidé de tenter sa chance sur ce nouveau marché. Nous détaillerons sa stratégie plus bas. Par ailleurs, on assiste à l’émergence d’une autre classe de nouveaux entrants, celle de l’offre des pays émergents Les grands acteurs du marché se montrant peu enclins ? proposer des produits répondant aux besoins des pays émergents, des constructeurs locaux ont décidé de créer leur propre produit. L’Inde semble miser massivement sur les tablettes pour son système éducatif et pour informatiser sa population notamment avec la tablette Aakash.

II s’agit d’une tablette conçue par DataWind en partenariat avec le gouvernement indien qui compte équiper 12 millions d’étudiants. Aakash ne bénéficie évidemment pas d’un équipement dernier cri : écran 7 pouces capacitif, Wi-Fi, système Android, processeur Conexan 4 2E d’un équipement dernier cri : écran 7 pouces capacitif, Wi-Fi, système Android, processeur Conexant et deux ports USB. La facture finale s’élève à 49 dollars, soit dix fois moins qu’un iPad. Il s’agit de la tablette la moins chère du monde.

Autre zone géographique à surveiller de près : l’Afrique, avec notamment la troisième itération du programme OLPC (Un Portable Par Enfant) qui va proposer des tablettes à moins de 100 euros. 1. 3. La concurrence interne Un des moteurs de croissance dans le secteur informatique est la concurrence ardue entre les différents acteurs du marché. Cette concurrence se manifeste d’abord sur la qualité des produits pléthoriques. En parallèle, on assiste à une similitude entre les caractéristiques des produits. Les imitations sont aussi assez fréquentes surtout en provenance de l’Asie.

Des produits comme « HaiPad h, « EePad » ont été commercialisés. Mais les agissements des fabricants informatiques taiwanais ou autres ont été tolérés puisqu’ils confèrent en quelque sorte à la marque copiée un certain prestige : on ne copie que les meilleurs. ? condition bien sûr que ces « copieurs » ne représentent aucune menace aux yeux des dirigeants d’Apple. La concurrence est aussi le reflet de la course au leadership mondial. La taille des entreprises présentes dans le secteur informatique n’a cessé d’augmenter le jeu de fusion et acquisition ou de partenariats.

Les principaux acteurs du marché Toutes les études montrent que le marché des tablettes tactiles évolue plus rapidement que prévu. D’abord parce que le nombre de concurrents de l’iPad se multiplie. Certains analystes prédisent même que 2012 sera fannée de la tablette « non – IPad E multiplie. Certains analystes prédisent même que 2012 sera l’année de la tablette « non – iPad En effet, la majeure partie des fabricants met actuellement en œuvre des stratégies de conquête de part de marché ? commencer par Amazon et sa tablette Kindle Fire. En vendant cet écran à perte, l’E. commerçant choisit de miser sur la vente de contenus. Surtout, il répond à l’un des principaux freins au développement du marché : le prix des tablettes, jugé encore trop élevé. Cette stratégie est pour l’instant plutôt payante puisque ce nouvel acteur du marché est parvenu à placer ses ablettes (la Kindle Fire et la liseuse classique) parmi les produits les plus vendus durant les fêtes de fin d’année aux États-Unis. Selon RBC, une société de conseil en investissements, qui a réalisé une étude concernant la rentabilité du Kindle Fire pour Amazon, chaque Kindle Fire vendue rapporterait 136 dollars ? Amazon.

Cela compenserait largement les pertes de quelques dollars sur le prix de vente de la tablette compte tenu de celui de ses composants. L’étude révèle que les livres numériques sont le moteur principal de ces bénéfices. 80 % des possesseurs de la Kindle Fire ont acheté des ebooks sur l’Amazon store. Les applications prennent la deuxième place derrière les ebooks. Toujours selon la même étude, le possesseur typique du Kindle Fire achètera 5 ebooks par trimestre, générant ainsi 15 dollars pour Amazon, et 3 applications par trimestre ce qui rapportera 9 dollars.

La vidéo à la demande complète le tableau pour atteindre les 136 dollars. Amazon est donc un nouvel acteur du marché à ne surtout pas négliger. Face à un tel engouement, il convient en effet d’analyser to 6 E marché à ne surtout pas négliger. Face à un tel engouement, il convient en effet d’analyser toutes les actions de ce nouveau oncurrent. Le constructeur français Archos a plutôt bien réussi son entrée sur ce marché essentiellement grâce à des produits simples et fonctionnels et une politique de prix bas.

Ses tablettes ne semblent pas rencontrer de succès auprès des « Geeks » et autres technophiles, mais les tablettes premiers prix trouvent auprès du grand public une cible qui souhaitent disposer de cet objet que l’on voit partout, mais à un prix raisonnable. Il semblerait surtout qu’Archos ai réussi à s’imposer en Asie où il a réalisé une augmentation de plus de 400 % de son chiffre d’affaires entre 2010 et 2011. Selon les diverses estimations, Archos le le troisième ou quatrième vendeur de tablettes dans le monde avec ses 1. 6 million d’unités vendues en 2011.

La réussite de cette année est en partie due au fait qu’Archos ai décidé d’arrêter sa production « made in France » et de délocaliser une grande partie de sa production en Asie. Cela a permis à la société de proposer des produits très attractifs, d’améliorer ses parts de marchés et de devenir leader sur le segment des tablettes de moins de 400 euros. Pour l’avenir, Archos souhaite également se concentrer sur le design et l’innovation, point qu’il faut donc urveiller même si jusqu’à présent les tablettes Archos donnent plus Fimpression de suivre le mouvement que de l’impulser.

Sony, qui a du mal à se faire une place sur le marché mondial, a annoncé sur son site une baisse de prix de 100 dollars aux États unis pour ses tablettes 16 Go et 32 Go pour arriver aux prix de 399 $ et 100 dollars aux États unis pour ses tablettes 16 Go et 32 Go pour arriver aux prix de 399 $ et 499 $. En France, une opération commerciale a été lancée remisant les prix des tablettes Sony de 90 euros. La société nippone a récemment lancé une tablette, la Sony SP, disposant de deux écrans tactiles.

Mais celle-ci n’a pour l’instant pas su trouver son public. HTC a décidé de s’attaquer au marché professionnel, les ventes grand public du Taiwanais montrant des signes de fatigue. Android étant parfois perçu comme pas assez sécurisé, HTC a décidé de former un partenariat avec IBM, un acteur de poids dans l’entreprise. HTC fournira donc des terminaux Android et IBM développera des applications orientées business ainsi que des couches de sécurité spécifiques aux produits HTC sur Android.

Samsung quant à lui propose des produits toujours plus ophistiqués, très design et de plus en plus performants. Le conglomérat sud-coréen s’est lancé très tôt sur le marché pour avoir un minimum de retard sur son principal concurrent Apple. Aujourd’hui, les produits Samsung se vendent très bien partout dans le monde, et commencent même à être appréciés aux États-Unis. La stratégie de Samsung est claire : proposer des produits innovants et très design, tout comme Apple, mais le plus régulièrement possible.

Samsung mise donc beaucoup sur la communication. L’entreprise a d’ailleurs investi dix millions d’euros en France en 2011 à travers des campagnes de télé, resse, portail web, et opérateurs téléphoniques. La stratégie Samsung est donc de forte inspiration des succès d’Apple. À tel point que sa gamme de tablettes qui fonctionne le plus (les Galaxy Tabs) est très proche des iPad. Tel point que sa gamme de tablettes qui fonctionne le plus (les Galaxy Tabs) est très proche des iPad. Tellement proche que l’une des dernières versions, la Galaxy Tab 10. a été interdite ? la vente en septembre 2011 en Australie puis en Allemagne pour cause de violation de brevets déposés par Apple. La Galaxy Tab a donc dû être modifiée pour pouvoir être commercialisable. S’en est suivi une guerre de procès entre ces deux principaux acteurs du marché, ce qui ne les empêche pas d’être également partenaires. En effet, Samsung et LG sont les principaux fournisseurs d’écrans du nouvel iPad. Android, système d’exploitation de Google, est le principal concurrent d’Apple sur le marché des OS. En effet, sur ce marché, ils possèdent à eux deux 98 % du marché.

Parallèlement, de par le nombre grandissant de nouvelles tablettes en circulation hors iPad, Android sera dans quelques années surement leader de ce marché. Pour atténuer cette évolution, il faut donc miser sur a qualité proposée et donc y faire très attention. Une récente étude menée par la société CritterCism qui montre que l’iOS 5 ferait planter les applications plus souvent qu’Android Ice Cream Sandwich (le dernier des systèmes Android). Un OS relativement nouveau plante forcément un peu plus avec de vieilles applications.

Mais d’un autre côté ce n’est pas le cas avec le nouveau système Android. Il faut donc être très attentif à ce point qui sera de plus en plus sensible avec le temps. Malgré tout, Apple n’est pas resté les bras croisés et a lancé son iPad troisième génération. Ce nouvel iPad n’apporte pas vraiment e « révolution » comme l’on fait l’iPad et l’iPad 2. Sa principale innovation reste le nive de « révolution » comme Hon fait l’iPad et l’iPad 2. Sa principale innovation reste le niveau de technologie de l’écran.

L’écran du nouvel iPad fait une taille de 10 pouces (7 pour l’iPad 2) avec 3 millions de pixels, chose qu’aucun autre constructeur n’a su faire à Iheure actuelle. La précision et la résolution de l’écran en sont donc exacerbées. Mais l’énergie consommée aussi, et c’est bien là le nerf de la guerre, Pautonomie. Apple a réussi à ne pas descendre sous la barre critique des 10 heures d’autonomie, oyennant tout de même un surcroit de chaleur par rapport ? son prédécesseur, ce qui est aujourd’hui la principale critique à l’encontre de cette nouvelle tablette.

Apple propose donc un produit au bord de l’innovation compte tenu des contraintes techniques et des choix stratégiques de la firme. Le nouvel IPad est donc à saturation aussi bien au niveau de la consommation d’énergie que des prix des composants (un seul écran coûte 80 euros à Apple). Par ailleurs, la société américaine travaille également sur un iPad mini qui sortira dans les semaines à venir en proposant bien ?videmment des innovations et de nouvelles fonctionnalités. 1. 4.

Le pouvoir des Fournisseurs Nous avons constaté qu’il existe une multitude de fournisseurs aussi bien pour le hardware (matériels) que le software (logiciels). Aux vues du succès qu’accumulent les tablettes, la demande est d’une importance telle que l’opportunité de signer un marché pour les fournisseurs existe réellement. Les fournisseurs sont de plus en plus nombreux, il se crée alors une concurrence en aval du produit ce qui oblige les fournisseurs à devenir le plus flexible possible face aux constructeurs. 0 6