Le chat noir
Tout au long du XIXe siècle, le surnaturel exprime une inquiétude envers les habitants de Pépoque. Dans le courant fantastique, il y a présence de surnaturel, comme dans la nouvelle d’Edgar Allan Poe qui s’intitule Le chat noir. En effet, le narrateur serait pris de remords, de haine et de peur envers le chat noir dit surnaturel. Tout d’abord, la haine du narrateur face au félin est ressenti de plus en plus qu’on avance dans la nouvelle. Au début, il aime l’animal comme s’il était un ami, un compagnon. II aimait plus cet animal que n’importe quel animal qu’il avait dans sa demeure.
Seul le personnage principal nourrissait le chat. Ce dernier suivait son maître partout où il allait. Un soir, l’homme rentra chez lui très ivre et s’imagina il le saisi, mais l’anim contrôla plus et sorti il fini par pendre le c vie de l’homme, pres Sv. ‘ipe to gnie le fuyait. Alors a. L’homme ne se e Horbite du chat et d chat arriva dans la r. Mais, en v voyant la ressemblance du chat avec le dernier, il éprouva (l. 82 184) puis, il voulu éviter l’animal, mais c’était impossible, car il se jeta partout où son maître allait. (1. 184). Les images du premier crime qu’il avait fait donnaient l’incapacité de malmener le second chat. Bref, la haine et la honte du premier crime envers le premier félin empêchèrent à l’homme de blesser ou de tuer le second. Ensuite, vient la peur du narrateur face à ranimal. En effet, il a peur de la tache blanche sur le second chat, car elle ressemble à un gibet. > (1. 225-226) Cette terrible machine au quelle il a tant eur est la même machine qu’il a utilisé pour tuer le premier chat.
De plus, le narrateur développe une peur bleue à l’écart du chat et va même jusqu’à l’éviter. > (1. 207) pour lui, l’animal n’est plus animal, il est devenu un monstre. Bref, la terreur de l’animal occupa toujours ses pensées et l’emmena dans une sombre fin. pour finir, les remords du narrateur commencent dès Parriver du second chat. En effet, tout acte de violence qu’il voulait infliger ? l’animal étaient arrêté par les souvenirs de son premier acte de violence. (1. 04- 2 voulait infliger à l’animal étaient arrêté par les souvenirs de son premier acte de violence. > (1. 204-206) Les images de son chat Pluton lui reviennent à l’esprit à chaque fois qu’il voit le chat et qu’il veut le maltraiter. De plus, pour vider son âme des crimes qu’il a commis, il écrit ces lignes dans une prison où il va purger sa peine capitale. > (1,5-6) Bref, même s’il se sentait bien après le meurtre de sa femme, il reste néanmoins un humain qui vit avec ses remords des crimes qu’il a commis et il restera avec ses emords jusqu’à la fin de sa vie.
En conclusion, dans Le chat noir d’Edgar Allan Poe, la haine exprimé par la gradation du sentiment et par Pévltement de l’animal, la peur marquée par la tache blanche sur le second chat et de la une peur bleue du félin, ainsi que le remords que le personnage principal laisse en écrivant son histoire et l’incapacité de tuer le second chat, car les images du premier lui vient ? l’esprit. Il serait pertinent d’évaluer si Le chat noir appartient au fantastique-étrange ou au fantastique-merveilleux. 3