La richesse

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La richesse des USA est fluctuante et dépend des cours de la bourse. De plus, l’argent investis dans la bourse est lui-même « dangereux » puisqu’ est obtenu par de nombreux crédits. On a donc un système où la population investit de l’argent qui ne lui appartient pas dans un monde peu sécurisé qu’est la bourse. 1 929 restera une année encrée dans les mémoires depuis ce fameux « Jeudi Noir » où tout a basculé. Les américains, optimistes, pensent que ce n’est qu’une passade que c’est « un de ces à-coups que la bourse a toujours connus plus ou moins régulièrement ».

Malheureusement, cette crise boursière se transformera en crise économique et premier boy enkikiner I horripila 21, 2009 12 pages 1 918, fin de la deuxième Guerre Mondiale. En européen, les marquera le début d’une période de grande récession non seulement aux USA mais aussi dans le monde entier et particulièrement en européen. Comment cette crise s’est-elle déclarée ? Quelles oc conséquences a-t-elle eu et quelles sont les différentes politiques mises en place pour en sortir ?

La Grande Crise de 1929 Une crise boursière puis financière Le système économique américain était basé sur un estime d’emprunt et de spéculation à la bourse notamment où chacun emprunte pour ensuite jouer en bourse ce qui pose problème lorsque les actions chutent car tous vendent pour pouvoir rembourser leur prêt. Le jeudi 24 Octobre, « thé blanc trahiras » des ventes massives d’actions sans acheteurs déclenchent une chute des cours des actions à hall stérer. Les banques, par l’achat d’actions, tenteront de minimiser les pertes.

Ce jour- là, 13 millions de titres seront échangés : un record dans toute l’histoire de la bourse. Le lundi 28, « thé blanc monnaya » les actions s’effondrent ans aucune aide de la part des banques. A titre d’exemple : les actions « général électrice » perdent 48 points ce jour- là. C’est la panique à hall stérer, on craint l’effondrement d’autres bourses. Le Mardi 29, « thé blanc tueuses » environ 16 millions de titres sont échangés mais le pire est que 14 autres millions ne trouveront pas d’acheteurs ; les cours sont tellement bas que les gains d’une année en période de croissance ont été perdus en moins d’une semaine.

En fin de semaine, la bourse fermera mais cela ne réglera pas le problème. Ces le krach boursier le plus picturale que hall stérer ait connu. La crise boursière devient alors financière ; les banques sont ruinées, le ses stérer ait connu. La crise boursière devient alors financière ; les banques sont ruinées, le système s’effondre. Cette crise était-elle prévisible ? L’ampleur de la crise n’est pas tout de suite comprise pas les américains en raison d’un discours très optimiste, avant le krach, des politiques sur une croissance économique « infinie et illimitée».

Ce discours n’est que très peu modifié après le krach car ces derniers considèrent cet événement homme une occasion d’assainir le marché boursier afin de repartir dans une croissance plus saine. Ce discours se justifie par les quelques rares suicides de courtiers et de banquiers jugés « malsains ». Afin d’éviter la faillite, les banquiers demandent non seulement à leurs clients américains mais aussi aux clients étrangers de rembourser les prêts afin d’assurer une rentrée d’argent suffisante pour compenser les pertes. De plus, ils diminuent fortement les prêts accordés aux entreprises.

De l’autre côté, les clients de ces banques, ?inquiets face la crise, souhaitent récupérer leur dépôt. Les banques perdent de l’argent et ne veulent plus en prêter, les entreprises ne trouvent plus d’argent pour investir, les citoyens n’empruntent plus et retirent leur argent de la banque ; dans un climat de peur, de méfiance et d’incertitude, la crise financière devient alors une crise économique américaine mais aussi mondiale. La crise économique dans le monde s’explique principalement par les événements aux USA.

On constate entre les années dans le monde s’explique principalement par les événements aux USA. On constate entre les années 1931 et 1932 une chute de la production industrielle de 62 %. Face à la crise, la consommation des américains baisse elle aussi notamment au niveau des achats de biens durables (-20% en 1 930) comme les automobiles. Cela est dû essentiellement à une chute des revenus agricoles : on observe une baisse de 60% entre 1929 et 1933 aux USA. Au total, le PAN américain chute de 300,6 durant cette période.

Les répercussions économiques en européen se ressentiront dès l’été 1 929 où le Royaume-Uni, l’allemande et la biologique voient le début d’une diminution de leur production industrielle. Cependant, on remarque dans la chronologie de la Grande Crise que certains pays européens, notamment l’allemande et la Grande-bretonne, présentaient des signes inquiétants avant le krach boursier. En engrangèrent, la politique de réévaluation de la monnaie de 1925 en est la cause. En effet, ce pays souhaitait hisser sa monnaie au niveau du dollar afin d’être une « monnaie dominante et mondiale ».

En allemande, dès la fin de l’année 1928, on observe un ralentissement des investissements américains. Par conséquent, certains secteurs comme le textile ou le charbon présentent des difficultés. Toutefois, un pays est « épargnée » du moins jusque 932 : c’est la France. En effet, de par son économie peu exportatrice, très tournée vers le marché intérieur et qualifiée parfois « d’archaïque », la France voit une b très tournée vers le marché intérieur et qualifiée parfois « d’archaïque », la France voit une baisse de production dans certains secteurs seulement à partir des 1932-1934.

On observe, par exemple, un point culminant dans l’indice de production industriel français en Mai 1930 alors que la plupart des productions étrangères enregistrent de sévères baisses. Cependant, certains secteurs, comme dans ‘autres pays européens, sont touchés par a crise durant l’année 1928 En trois ans, le commerce international est réduit de 2/3, les PUB des différents pays baissent sur plusieurs années de suite, jamais encore on avait observé une telle chute dans toute l’histoire économique.

Ainsi, par une baisse importante des revenus des pays industrialisés, les pays exportateurs voient leurs ventes s’effondrer ; on observe par exemple une baisse des exportations de 400/0 pour l’Argentine et de 66% pour le brebis entre 1930 et 1 931. On observe donc une « exportation mutuelle de la crise » entre les pays importateurs et exportateurs mais aussi entre les pays exportateurs entre eux. Finalement, cette crise économique devenu mondiale s’est peu à peu transformée en crise sociale et culturelle. Une crise sociale Cette crise sociale est surtout marquée par une forte montée du chômage dans les différents pays touchés.

En effet, aux USA comme en européen, le taux de chômage augmente et est particulièrement élevé pendant cette Cependant, si le chômage touche l’ensemble de la population particulièrement élevé pendant cette période. Pope donation, on dénote tout de même quelques différences élan les régions de chacun de ces pays ou encore selon les secteurs d’activités. En outre, les systèmes d’aide pour les chômeurs étant peu développé ou réservé à une faible part de la population touchée, la plupart des familles de chômeurs se retrouvent dans une situation de grande précarité.

Certaines associations et autres organisations telles que l’Armée du Salut ou MICA aux USA viennent en aide à ces familles mais cela ne suffit pas ; cette précarité amène la malnutrition. La revue Fortune magazine de Septembre 1 932 comptabilise quarante-cinq morts de malnutrition aux USA ; on est bien loin du slogan « No on as starter » de l’époque. On assiste alors à de grandes inégalités sociales ; les Pope ôtions peu qualifiées sont les plus touchées par ce chômage, elles se réfugient dans les bidonvilles.

La classe moyenne est plutôt épargnée par la crise ; au contraire, lorsque celle-ci réussit à garder son travail, elle peut voir son salaire réel augmenter grâce à l’effondrement des prix. De cette crise sociale, on en arrive à une crise culturelle due à un profond changement des mentalités. Un sentiment d’insécurité lié à la part du chômage s’installe. Le statut de chômeur, autrefois considéré comme un « parasite » ou un « léser », change ; il devient quelqu’un pour qui on a de la compassion, « une victime de la c devient quelqu’un pour qui on a de la compassion, « une victime de la crise ».

La politique du « chacun pour soi » montre ses limites. La photographie, le cinéma affiche clairement ces familles dans le besoin ; sans l’évoquer directement, la crise est montrée du doigt. En allemande, la montée des parties extrémistes et notamment du nazisme montre un changement idéologique. Ailleurs en européen, c’est la gauche qui fait son entre en politique notamment en France avec le Front Populaire. Tous ces changements montrent une réelle envie de remédier à cette crise. Quelles ont été les politiques de sortie de crise dans les différents pays.

Les politiques de sortie de crise Politique anglaise En 1925, la Grande-braguettes confronté à une situation d’prolifération et subit un différentiel vis-à-vis des USA, leur indice se situe à 227 tandis que celui des USA est 194. Pour résoudre ce problème, deux solutions majeures s’offrent à elle : dévaluer pour retrouver une compétitivité Ar rapport aux américains ou lancer une politique déflationniste pour relancer le marché intérieur. La deuxième solution est mise en ?ouvre. La Grande- bretonne comprend qu’il faut à tout prix rétablir la balance commerciale notamment en diminuant les allocations chômage.

Sa nécessité ne fait aucun doute notamment au regard de la réévaluation de la livre en 1 925 pour des raisons de « prestige monétaire ». En Septembre 1 931, la Grande-bretonne est alors obliger de détacher sa monnaie de l’or. Au début En Septembre 1931, la Grande-bretonne est alors obliger de détacher sa monnaie de l’or. Au début des années 30, le problème n’est toujours pas résolu ; la Grande-bretonne accuse un déficit de 70 millions de livres, le chômage est au plus haut et la production industrielle enregistre des baisses significatives.

Les prix trop hauts bloquent l’exportation et ont pour conséquence une baisse du PAN de 15% en 1931 par rapport à 1929. Les dépenses publiques sont, en outre, bien trop élevées. La lutte contre la crise s’appuie désormais sur la création d’une « zone stérilise ». La déflation continue mais devient moins stricte étant donné les résultats attendus de ce nouveau principe. En effet, la Grande-abracadabrante de se rapprocher économiquement de ses dominions ainsi que d’autres états déjà proches de celui-ci.

En effet, afin de concrétiser cette zone, les accords d’ôta sont préparés et durent de mi-juillet à mi-août 1932. Ils aboutissent sur le concept de « préférence impériale » ce qui est tout à fait favorable à la Grande- bretonne. Ainsi, ses dominions : l’australe, la Nouvelle- salade, la rodées, Inde, le canard, Terre-Neuve et l’affaire Du Sud et d’autres pays déjà liés : le pourtour, la grec, La soudé, la norvégien, la finlandaise, l’airain, l’arc, ‘Argentine et le brebis alignent leur monnaie sur la livre stérilise.

Un « marché commun impérial », fermé hors de ses frontières, se forme peu à peu et fait remonter doucement les exportations de la Grande-bretonne à partir de 1 forme peu à peu et fait remonter doucement les exportations de la Grande-bretonne à partir de 1934. Il avait déjà mis en place des tarifs préférentiels mais renforce ce principe avec « l’importe dédiés acte » de 1932. Politique allemande La politique allemande commence tout d’abord par la déflation et le développement d’un état autarcique.

Ainsi, les dépenses de l’état sont fortement diminuées notamment par la réduction des allocations chômage ou des subventions à l’achat de logements. Les prix ainsi que les salaires sont beaucoup diminués. Cette politique déflationniste a de lourdes conséquences sociales, avec un fort taux de chômage, et économique puisque la production industrielle de 1 933 est égale à seulement la moitié de la production de 1929. La politique de relance consiste ensuite à augmenter fortement la consommation de l’état. Cette politique officiellement antiaériens aura pour réel but e préparer l’allemande nazie à la guerre.