la rencontre avec l’aumonier albert camus

essay A

l. Meursault face à l’aumonier . La violence de Meursault – attitude violente inhabituelle de M : il y a une violence physique (14), une violence verbale (12-3) et dans la teneur de ses propos. – Soudaine explosion correspond à son refus catégorique que l’aumônier prie – L’âpreté de M coincide avec un phénomène qui se produit en lui (Il réaction très dure exprimé a travers une métaphore (« je déversai or 3 2. L’éloquence de so isc – véritable discours d – Interrogation pour eur ; présence d’anaphore et répétition (elles ont valeurs ‘insistances). – Présence d’opposition très accentuée (Ill).

M se lance dans un discours volubile et passionné Il s’agit d’une profession de foi de M qui rejette les positions de l’aumônier pour affiner sa nouvelle conception de la vie. 3. L’affirmation de soi – M explose ! Pourquoi ? Car l’aumônier au nom de ses convictions religieuses et phllo va s’autoriser a énoncé une vérité non reconnu par M Le prêtre voit M comme un homme égaré de la lumière de la foi Face a cette attitude, M se rend compte de ce qu’il n’est pas, et ejette l’attitude péremptoire de l’aumônier – Il rejette ce que l’aumônier appelle « son Dieu (129)» et va souligner les oppositlons Lul/mol Il. ne Vie Absurde « Cette vie absurde que lavais menée » seul et unique emploi du mot absurde 1. Universalité de la Mort – la mort est formulée de façon direct ou implicite (124-25). Avec sa situation, M va prendre conscience que la mort est universelle. (130-32). Cette découverte va éclairer la vie de M d’une lumière nouvelle. Cette mort qui l’attend va lui apparaître comme la preuve qu’il a aison (118-20) légitimité de sa vie 2.

Des vies équivalentes – selon M, la mort est le destin universel des Hommes les détails de la vie passé n’ont aucune importance – l’homme est voués à l’échec dc il n’y a pas de valeurs supérieurs qui donne un sens à la toute les vie se valent (120-22) par rapport à la mort tout s’égalise (127). – 3 phrases construites selon le rythme linéaire ( «j’avais vécu… ; je n’avais pas fait… ;j’avais fait…. – Construction en chiasme des 2 dernières phrases = équivalence entre action au cours d’une vie

Construction en chiasme des 2 dernières phrases équivalence – Dénonciation des illusion humaine et tourne en dérision la prétention des hommes à vouloir être maitre de leur vie. – M réduit à néant les croyances des Hommes (129) c’est ainsi que M fait comprendre a IA que la croyance en Dieu et une vie futur le fait passer a coté d’une vie sur terre. il apparaît comme libre 3. La vérité de Meursault – Grâce à ce discours, M se définie par ce qu’il n’est pas : sa lucidité se manifeste dans le rejet de la société.

Il a conscience de ce qu’il est (112-14) maintenant qu’il est proche de sa mort, il possède la valeur de sa propre vie – Il martèle les choses (118 : « j’avais eu raison Cet extrait précède la dernière page du roman. C’est un moment fondamental puisqu’il correspond a une prise de conscience de M. Dans un moment de grande Véhémence, il rejette la vérité de l’aumônier pour affirmer la sienne : la vie est absurde et toute les vies se valent. Il fait ici l’apologie de sa vie dans ce qu’elle a de + terrestre avec lucidité et cohérence.