La communication interpersonnelle
La relation est donc une communication sur la communication ou une méat-communication. Une relation saine est spontanée et donne priorité aux interpersonnelle premier bu rouillée empâta 23, 2011 | 4 pages I- « On ne peut pas ne pas communiquer. 2- ‘Toute communication présente deux aspects : le messages, donc au contenu. Une relation perturbée ou malade est une relation qui pose problème et parasite le contenu qui passe en arrière plan et finit par perdre perdre toute importance. 3- « La nature d’une relation dépend de la ponctuation des séquences de communication entre les partenaires. » De l’extérieur, une interaction peut être considérée comme un échange ininterrompu d’échanges de messages, mais, de l’intérieur, chacun ponctue ces messages à sa façon.
Le problème en jeu est donc un problème de dépendance, de prééminence ou d’initiative. Il existe foule de conventions culturelles admises qui structurent notre vie sociale, avec de telles ponctuations. Dans la vie de tous les jours, on parle de leader, de suiveur, mais qui commence, et que deviendrait l’un sans l’autre?. Exemple : Monsieur Boit et Madame Crie Monsieur a tendance qu’ ne voir que la hargne de Madame : il boit donc en conséquence; Madame à ne voir que la beuverie de Monsieur : elle crie. Ils ne ponctuent pas leurs échanges de la même façon.
Ils ont surtout des difficultés à parler de leur relation, à méat-communiquer. Leurs communications s’organisent en dents de scie. 4- « Les êtres humains usent simultanément de deux modes de communication : digitale et analogique. » Le langage digital possède une syntaxe logique très complexe et très commode mais manque d’une sémantique appropriée à la relation. Par contre, le langage analogique possède bien la sémantique mais non la syntaxe se sa ch. pou qui pp -o cc dira di de me être épée toi bée les fonctions » ou bien… Ou bien », « si… Ors », et plu: encore, elle ne sait pas exprimer la négation. On ne nier une émotion ou un sentiment, on ne peut que Pour lever dans certains cas l’ambiguïté propre à ce de communication, il faut le traduire, c’est-à-dire pp l’analogique au digital, ou encore parler sur la relate c’est-à-dire méat-communiquer. Naturellement, cet traduction, comme toute traduction, soulève le port de la distorsion et de la perte d’information. 5- « Tout échange de communication est symétrique complémentaire, selon qu’il se fonde sur l’égalité 01 différence. »
Une relation symétrique est une relation d’égalité q minimise la différence. Une relation complémentaire, au contraire, maxima: différence, avec deux positions, l’une est dite haute, basse. Chacun toutefois se comporte d’une manient présuppose et en même temps justifie le comporter l’autre. Exemples de relations complémentaires : les couple enfant, médecin-patient, professeur- élève. Symétrie complémentarité sont les concepts de base de l’âne transactionnelle et renvoient naturellement l’antagonisme et à la complémentarité de l’approcha complexe.